La délivrance
Je suis atteint de priapisme depuis de longs mois. La médecine classique n’a pas pu soigner mon mal. Je me rends alors chez un professeur peu conventionnel pour subir un traitement très spécial…
Proposée le 16/09/2022 par MrPoivre Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominéPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Suite à un choc psychologique, et sans vraiment savoir pourquoi, je ne me suis retrouvé atteint de « priapisme ». Un mot que je ne connaissais pas mais que j’ai bien vite appris à mes dépends…
Il s’agit tout simplement, d’après le dictionnaire, d’une « érection pathologique prolongée, souvent douloureuse, apparaissant sans excitation sexuelle ». Dit comme ça, ça n’a l’air de rien, mais cela m’empêche de vivre depuis des semaines.Les douleurs sont atroces. Le matin, enfiler un pantalon est un calvaire, en journée chaque pas est une souffrance, aller aux toilettes relève du casse-tête. Et puis le regard des autres a changé, et j’en ai peur. Dès que quelqu’un, une femme en particulier, remarque la bosse anormale que forme mon entrejambe, j’ai honte, je rougis, et je prends très vite mes distances. Ma vie sociale s’est peu à peu appauvrie.Cela fait maintenant 3 mois que je n’ai eu aucun rapport sexuel. Au début j’ai essayé de dépasser mes craintes et j’ai pensé que le sexe serait un bon remède. Mais les femmes que j’ai abordées ont toutes pris peur et m’ont sûrement pris pour un pervers, elles ont toutes fuit avec plus ou moins de tact…
J’ai essayé de me masturber, de nombreuses fois, au point de m’en irriter la peau, rien n’y fit, je n’ai jamais débandé.J’ai fini par consulter mon médecin traitant qui m’a renvoyé vers un urologue. De nombreux examens plus tard (prise de sang, échographie, IRM, scanner, etc.), mon cas semble désespéré. Les réponses sont bien souvent décourageantes : « Ca va finir par passer » ou même : « Vous devriez consulter un psy ». Me voilà bien seul.J’ai alors consulté de nombreux forums sur internet, tous aussi douteux les uns que les autres. Même si ce mal semble rare, des groupes de discussion spécialisés existent, j’ai passé des heures à tous les lire, en long, en large et en travers. De nombreux charlatans semblent profiter du mal des autres pour proposer des « remèdes miracles » à des prix indécents. Comment peut-on être aussi naïf pour faire appel à ce genre de « magnétiseurs », « marabouts » ou même « énergéticiens »…
Mais une discussion au sujet d’un certain « Léo Nore » a suscité mon intérêt. Une personne avait commenté ses services et plusieurs internautes l’avaient remercié : « Le remède est spécial, mais efficace, je revis, un grand merci ! »
Le forum donne même les coordonnées téléphoniques de cet énigmatique « Léo Nore », qui semble être un pseudo pour garder son anonymat.
Un soir où les douleurs étaient plus fortes que d’habitude, j’ai fini par l’appeler. Une femme m’a tout de suite répondu, sa voix douce et ses paroles posées m’ont mis en confiance, mais elle a refusé de m’expliquer les détails de la séance. Elle m’a juste précisé qu’une séance efficace dure environ 1h30 et me coûterait 500 €. J’ai trouvé ce prix exorbitant, mais mon désespoir m’a poussé à accepter. J’ai pris rendez-vous pour le samedi suivant à 15h.* * *Nous sommes samedi, il est 14h55, me voilà maintenant au pied d’un immeuble des beaux quartiers parisiens, m’apprêtant à sonner chez la personne qui sera, soit ma délivrance, soit une arnaque à 500€. Tant pis je me lance.Je sonne à l’interphone, me laisse guider au fond d’une cour, monte deux étages et une femme m’ouvre, probablement celle que j’ai eu au téléphone. Elle est belle, souriante, avenante. Son joli visage est subtilement mis en valeur par un maquillage discret mais soigné. Ses longs cheveux noirs tombent sur une robe parfaitement ajustée à son corps svelte mais gracieux. Des bas, il me semble que ce sont des bas, mettent en valeur ses fines jambes jusqu’à des escarpins à talon haut prolongeant sa silhouette déjà bien élancée.
Elle me tend la main, et me dit : « Bonjour, je suis le docteur Eléonore, et c’est moi qui vais m’occuper de vous aujourd’hui. »
Pas de doute, son pseudo m’a induit en erreur, je m’étais mis en condition pour être reçu par un homme. Mais pourquoi pas, une femme sera probablement mieux, même si son charme ne va pas faire du bien à la terrible bosse de mon pantalon.Elle m’accompagne dans un salon coquet et m’invite à m’installer dans un fauteuil club en cuir vintage. Un simple « Racontez-moi ce qu’il vous arrive » m’encourage à raconter mon histoire que j’essaie d’expliquer de la façon la plus fluide possible. Elle prend des notes sur son calepin, concentrée, silencieuse. Seul le croisement et décroisement de ses jambes me perturbent : Ce sont bien des bas qu’elle porte…
Elle m’interroge longuement sur l’événement qui a déclenché mes souffrances et me demande plus de précisions sur les désagréments que je vis au quotidien.Elle conclut alors notre discussion par « Votre cas est sérieux, mais pas incurable, vous avez dû beaucoup souffrir. Je vais me permettre de vous ausculter pour déterminer le remède le plus adéquat. »
Elle m’invite alors à m’allonger sur le canapé. Elle me prend le pouls, la tension, m’interroge sur les diagnostics de tous les examens que j’ai passés. Elle dégrafe mon pantalon et libère délicatement mon sexe. Il se retrouve dressé comme un « I », fier comme un paon. Moi j’ai honte de me présenter ainsi devant le docteur Eléonore.
Elle l’observe et le manipule avec attention et sérieux. Je me laisse faire et me fait peu à peu une raison.Son diagnostic semble être arrêté : « Je pense savoir ce qu’il vous faut. Vous n’êtes pas cardiaque j’espère ? ». Un peu affolé, je lui réponds que non.
Elle m’explique alors :
« Votre sexe est désorienté, il ne sait plus distinguer une excitation sexuelle d’un agression physique. Et comme, bien dressé, le moindre contact l’agresse, il ne débande jamais.
Le remède consiste à pratiquer un « choc sensoriel » lui permettant de retrouver un comportement normal. Un peu comme les chocs électriques permettent de relancer un cœur qui s’est arrêté de battre.
La séance va durer environ une heure, nous verrons à son issue, si une deuxième séance est nécessaire. Vous allez devoir me faire entièrement confiance et suivre à la lettre mes consignes. Je vais devoir vous bander les yeux et vous attacher les mains pour que vous puissiez vous concentrer sur ce que vous allez ressentir.
Est-ce clair ? Acceptez-vous mon traitement ? »
Un peu intrigué, pas très serein, j’accepte en hochant la tête.* * *Elle me guide alors vers une chambre équipée d’un grand lit. La lumière tamisée et l’odeur subtile dégagée par une bougie odorante rendent la pièce agréable. Elle m’invite à me déshabiller entièrement et m’allonger sur le dos. Je m’exécute sans trop d’assurance. Elle me bande alors les yeux, m’attache les mains au montant du lit au-dessus de ma tête. Je la laisse faire. Elle me demande de bien écarter les jambes et de rester immobile.
« Ce premier exercice, suivi de deux autres, a pour objectif de vous faire redécouvrir des sensations positives. Concentrez-vous uniquement sur une seule chose, votre sexe ! »Je l’entends dézipper, enlever sa robe et s’installer entre mes jambes. Elle me masturbe alors d’une main douce mais experte. Bientôt, elle déroule délicatement de sa bouche un préservatif sur ma verge et commence alors un exquis va-et-vient entre ses lèvres. Sa langue habile caresse mon gland et sait s’attarder sur les endroits les plus sensibles.
Je ne pense plus à rien, m’abandonne complètement, toute mon attention se focalise sur les gestes précis du docteur Eléonore. Ma respiration s’accélère, ralentit, s’accélère à nouveau. Sans m’en rendre compte, je pousse quelques râles de plaisir.Elle caresse alors mes testicules, et d’un doigt humide effleure mon périnée et mon anus. J’écarte mes jambes pour l’encourager à poursuivre. Que c’est bon ! Je me livre à elle, dans l’espoir qu’elle ne s’arrête jamais. Mon corps réagit au moindre stimuli, au moindre contact. Très vite l’excitation monte et devient intenable, et pour la première fois depuis très longtemps, mon corps tout entier explose, l’éjaculation arrive enfin comme une délivrance. Je gesticule dans tous les sens tirant sur les liens serrés pour me libérer de l’intense caresse imposée par mon bourreau. * * *Je reprends peu à peu mes esprits, ma respiration ralentit, le battement de mon coeur se calme. Mais mon sexe, même complètement vidé, reste dressé…
« Vous avez parfaitement réussi ce premier exercice, je vous félicite. » Me dit-elle.
« Maintenant, nous allons faire la chose inverse. Je vais vous demander de complètement oublier votre sexe, oubliez même qu’il existe, et pour cela vous allez devoir porter votre attention ailleurs. Votre défi sera de me faire jouir comme je vous ai fait jouir. Attention, ce sera plus difficile, il va falloir vous appliquer et écouter mon corps, seul lui vous guidera. L’exercice ne s’arrêtera qu’une fois votre objectif atteint. »Je suis toujours allongé sur le dos, les yeux bandés, les mains liées. Elle enjambe délicatement ma tête et pose doucement son sexe sur ma bouche. Par de petits baisers je découvre des lèvres entièrement épilées, douces comme de la soie. Je ne vois rien mais je devine une chatte parfaitement entretenue. Son odeur est fraîche, agréable, suave, presque enivrante.Je risque alors ma langue et fendille ces deux belles lèvres et libère un clitoris encore timide. D’un geste lent, mais précis, peu à peu insistant, ma langue humecte cette adorable fente. Le clitoris se découvre et se gorge de plaisir.
Cette fois-ci seul le plaisir d’Eléonore compte. Chaque coup de langue est savamment réfléchi. Doser la bonne pression, ni trop forte, ni trop faible. Impulser le bon rythme, ni trop rapide ni trop lent. Varier les gestes ou au contraire répéter le même geste pour lui laisser le temps d’apprécier. Ecouter les réactions de son corps et s’y adapter.Impossible de dire combien de temps s’écoule. Aucune importance, plus elle prend du plaisir, plus j’ai envie de lui en procurer. Elle semble effectivement apprécier mes attentions, son sexe se fait de plus en plus lourd sur la bouche. Le va-et-vient de son bassin me donne le tempo. Mon visage se retrouve presque entièrement trempé de sa sève.Elle me prend alors la tête dans ses mains pour la coller toujours plus fort contre son entrejambe. Les mouvements de son bassin s’intensifient. Je comprends que je dois les suivre quoiqu’il arrive. Le temps n’est plus à l’initiative, mais à l’efficacité. Mes coups de langue deviennent réguliers, constants. Je me concentre sur ma respiration car je suis presque en apnée tant la pression sur ma bouche est forte.
Et soudain son corps se met à vibrer, à se contracter puis se détendre. Il se détache enfin de ma bouche. Je peux alors déglutir et apprécier le goût savoureux de ce suc précieux.Elle s’allonge à côté de moi, nous restons silencieux. Je reprends mes esprits, je prends conscience que mon sexe est encore bien dressé, encore…* * * »Bravo pour ce second exercice, vous vous en êtes pas mal sorti. Maintenant que vous avez fait vos gammes, il s’agit maintenant de reprendre goût à la vie, vous reconnecter aux femmes. »Elle m’enfourche après avoir fait coulisser un préservatif d’une main habile. Sans aucun difficulté, ma verge pénètre bien profond dans son vagin. Seule la contraction de sa vulve opère une résistance entre nos deux corps. Pour le reste, mon sexe semble s’ajuster parfaitement à son fourreau.
Elle commence un très lent mouvement de son bassin, d’avant en arrière, bien cambrée sur mon corps immobile, ses mains plantées sur mon torse. Je me laisse faire, je profite essayant de percevoir le moindre frottement de nos deux parfaitement emboîtés.
Tout à coup, un téton vient caresser mon visage. Et par réflexe, je l’aspire au plus profond de ma bouche. Il est bien dressé, ferme, savoureux. Eléonore semble jouer de moi, en retirant à plusieurs fois ce sein tant convoité. Je dresse ma tête, autant que mes liens le permettent, pour attraper ses seins de mes lèvres.D’un geste assuré, elle me délivre enfin les poignets et dégage le bandeau de mes yeux. Elle plante ses mains dans les miennes et les tient immobiles. Mon regard ne peut se détourner de ses yeux, j’ai envie de l’embrasser. Je commence alors un mouvement régulier pour faire coulisser mon sexe au plus profond de son corps, les coups de rein sont plus en plus amples et rapides. La communion semble parfaite.Toujours incapable de me détourner de son intense regard, je sens la sève monter, le point de non retour est atteint, nos deux bassins claquent encore et encore, nos râles s’amplifient. L’instant de jouissance, arrive enfin, presque trop rapide, trop furtif, mais tellement puissant.
Nos deux corps se séparent déjà, le docteur Eléonore quitte la pièce, probablement pour une toilette intime.
Mon sexe tombe tout flasque entre mes deux jambes. Enfin !© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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