La pension 03
Melle Bernier, l’infirmière, reçoit un châtiment sĂ©vère, mais elle semble en aimer la conclusion. Elle perd enfin son pucelage.
Proposée le 4/01/2017 par Donatien Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: InclassableType: Roman
Dans l’après-midi j’ai encore appliqué deux châtiments. Toujours de deuxième catégorie, la troisième étant sûrement culotte baissée, ce que je n’osais pas encore aborder quelle qu’en soit mon envie. Dans la classe de terminale, le sort est tombé sur Charlotte, la voisine d’Eulalie. À la fin des cours, l’état de mes nerfs était préoccupant, et j’envisageais d’aller me masturber dans ma chambre pour faire tomber la pression quand j’ai vu Violette Bernier se diriger vers l’infirmerie. Je suis monté en hâte chercher le cliché que je lui avais dérobé et après avoir vérifié que personne n’était en vue, les pensionnaires étant au réfectoire pour le goûter, je me suis dirigé vers son local. Je suis entré sans frapper.
Le lieu est sommairement équipé. Deux lits d’hôpital côte à côte, une petite armoire métallique. Mademoiselle Bernier était occupé à rembobiner la pellicule de son Kodak, dont je devinais aisément qu’elle contenait les vues arrière de mes trois punies. Il y avait bien un pied portant un flash et son réflecteur dans un coin. À mon entrée elle a sursauté au point de manquer laisser échapper l’appareil.
— Monsieur B. ? Mais que…
— Ah ! Mlle Bernier, j’ai besoin de vos services.
— Mes services ? Mais je… Oui, bien volontiers. Si je peux…
La pauvre fille Ă©tait Ă©carlate.
— Voilà , je souffre énormément.
— Vous souffrez ? Mais c’est que je…
— Vous êtes bien infirmière ?
— Oui, enfin, c’est-à -dire que j’ai suivi… des cours…
— Bien. Voilà , il s’agir plutôt d’une raideur.
Elle a posé l’appareil photo. Ses yeux cherchaient autour d’elle un endroit où se cacher. J’ai ôté mon veston et l’ai jeté sur un des lits. Puis je suis allé jusqu’à la porte fermer le verrou.
— Mais Monsieur… a-t-elle bafouillé.
J’ai défait ma ceinture, déboutonné ma braguette et baissé mon pantalon. Ma verge tendait mon caleçon de coton blanc. Elle a poussé un cri strident.
— Ah ! Monsieur ! Que faites-vous ? Je vais appeler !
Elle m’a bousculé et s’est jetée sur la porte. Elle ne parvenait pas dans son affolement à tourner le verrou.
— Violette !
L’énoncé de son prénom l’a figée. J’ai sorti de sous ma chemise la photo volée.
— Je crois que ceci est la cause de ma raideur.
Elle a regardé la photo, s’est appuyée contre la porte, les bras ballants et la bouche ouverte. Au bout d’un moment, elle a lâché d’une voix faible :
— Vous allez me dénoncer ?
— Voyons, ma chère, je n’y pense pas un instant. Mais il faut que vous vous occupiez de la raideur que vous avez causée. Venez, approchez-vous.
Elle a fait quelques pas chancelants.
— Plus près. Donnez votre main. Sentez-vous ce que vous avez causé. N’ayez pas peur de serrer, oui, comme cela.
La pauvre fille était presque évanouie. J’ai déboutonné son corsage. Le haut de ses seins blancs est apparu, débordant d’un soutien-gorge couleur chair bardé de baleines. J’y ai plongé mon visage. C’était tiède et doux.
— Monsieur ! Oh ! S’il vous plaît ! Je n’ai jamais… Je suis une jeune fille !
J’ai pensé à part moi que la jeune fille tenait fermement ma bite et ne manifestait pas d’intention de la lâcher. Tout en malaxant sa poitrine abondante, je lui ai dit que j’avais trouvé sa collection passionnante.
— Mais il y manque un cliché.
— Je ne comprends pas… a-t-elle réussi à dire tandis que je réussissais à extraire un de ses seins, à l’aréole d’un rose pâle mais dont la pointe se dressait.
— Il manque le vôtre, chère Violette. Vous avez bien mérité, il me semble, de figurer au catalogue. Allons, en position !
— Mais… Vous n’allez pas…
— Oh si, je vais, et si vous tardez trop, la punition va être doublée.
Je me suis emparé d’une lampe de chevet posée près d’un lit. J’en ai arraché violemment le fil électrique gainé de coton et je l’ai plié en deux. Violette s’est mise à trembler.
— Oh ! Seigneur ! Oh ! Je vous en prie !
— En place ! Vite ! Troisième catégorie, cela va sans dire.
Elle s’est enfin résignée à obéir. Elle a soulevé sa jupe. Ses jambes, rondes mais fuselées, étaient gainées de bas blancs. Elle a défait ses jarretelles, Laissé tomber sa jupe pour baisser sa culotte jusqu’à ses genoux.
— Voulez-vous bien soulever cette jupe !
Elle a obéi, exhibant une toison couleur de cuivre. Puis sans plus tergiverser elle a pris position, les mains appuyées au pied d’un des lits. J’ai pris le temps d’admirer sa croupe d’un blanc de lait, d’en apprécier de la main la tiède élasticité. Violette sanglotait.
— Qu’utilisez-vous pour soigner les élèves ? Vous allez en avoir besoin.
— La… p… pommade… le pot vert… là .
J’ai posé le pot sur le lit, me suis reculé et j’ai cinglé ses fesses avec le câble, sans retenir mon coup. Elle a poussé un hurlement. La double trace s’est aussitôt mise à enfler et à prendre une teinte presque bleue. Violette haletait.
— Retenez vos cris, si vous ne voulez pas que tout le château débarque ici. Encore neuf coups. Comptez-les à haute voix !
Elle a comptĂ©, passant de temps en temps ses mains tremblantes sur ses fesses pour sentir les dĂ©gâts. Ă€ huit son cul Ă©tait si ravagĂ© que j’ai mis fin Ă la punition, d’autant que j’avais d’autres projets. J’ai ouvert le pot de pommade, j’en ai enduit ma bite tendue Ă exploser. Violette, crispĂ©e, attendait le coup suivant. J’ai Ă©cartĂ© ses fesses de mes deux pouces. Son anus Ă©tait comme ses arĂ©oles, d’un rose pâle. J’y ai pressĂ© mon gland. Elle a sursautĂ© Ă nouveau.
— Mais que faites-vous ? Vous n’allez pas…
— Ne bougez pas et tâchez de vous détendre. Et demandez-vous si ceci ne vaut pas mieux qu’un cierge !
J’ai poussé avec ardeur, d’abord en vain, elle était trop contractée. J’ai saisi son chignon qui s’est défait, libérant une magnifique crinière orangée et ma queue est entrée. J’ai empoigné ses hanches et je me suis enfoncé à fond, puis je l’ai pilonnée avec rage. Elle poussait des grognements, des « Ah ! » et des « Mon dieu ! » dont je ne savais pas s’ils étaient de douleur ou de jouissance.
J’ai pris sa main droite et l’ai dirigée vers sa motte. Elle a vite trouvé son clitoris et s’est mise à le masser avec vigueur. Ses gémissements ont redoublé. Mes cuisses claquaient contre les siennes, de plus en plus vite. Le cri qu’elle a poussé quand j’ai lâché mon foutre n’était certes pas causé par la souffrance. Je me suis retiré doucement. Elle s’est laissé aller à terre, pleurant encore. Ses lunettes étaient tombées, ses vêtements en désordre et sa longue chevelure dénouée lui donnaient la beauté d’une martyre. Je lui ai ordonné :
— Nettoie ma queue.
— Comment ? a-t-elle demandé en levant les yeux vers moi.
— Avec ta bouche, naturellement.
Elle s’est avancée, a pris maladroitement mon membre ramolli et l’a pris en bouche. Il ne restait pas assez de temps avant l’étude pour un second tour, aussi je l’ai laissée à son rhabillage et j’ai rejoint ma chambre. J’ai croisé le flot des pensionnaires qui sortaient du réfectoire. Eulalie traînait au bout de la file. Elle s’est arrêtée, me fixant du regard, puis elle s’est glissée dans l’embrasure d’une porte. Je l’ai rejointe, intrigué. Elle m’a tendu un objet.
— C’est votre couteau, Monsieur ? Il y a vos initiales.
C’était bien mon couteau suisse.
— Où l’as-tu trouvé ?
— Sous mon lit.
Nos regards se croisent. Quelque chose se passe, j’ignore quoi. Puis je quitte Eulalie sans prononcer un mot.
Après l’étude, au repas du soir, Je croise Melle Bernier en me rendant à l’office. Elle regarde obstinément ses pieds. Sa démarche me semble un peu raide. Elle ne manque pas de raisons d’avoir du mal à s’asseoir. Maheux, qui marchait derrière moi, a vu son manège. À table, il me lance un de ses regards égrillards.
— Il était temps que quelqu’un s’en occupe, me dit-il seulement.
Le nez dans son assiette, Melle Bernier ne prononce pas un mot. Dans l’obscurité de la cour, je guette le moment où elle retourne à sa chambre. Je la surprends en sortant de derrière un pilier. Elle sursaute, effrayée. Je m’empare de sa taille et la serre contre moi. Elle se débat faiblement. Ma main glisse entre nos deux corps et je m’empare de sa motte à travers ses vêtements. Le souffle lui manque pour protester.
— Je viendrai à minuit dans ta chambre. Fais-toi belle pour moi.J’attends l’heure dans les combles. Je ne surprends plus rien que deux filles qui se cachent pour partager une cigarette et s’embrasser avec passion. Puis le silence se fait, les lumières s’éteignent. Dans l’obscurité, je repense à Eulalie, à ce qu’elle a compris de la présence de mon couteau sous son lit, de ses images déplacées. Elle est intelligente, elle a compris qu’au moment où elle me rendait le couteau et où je l’acceptais, un pacte se signait entre nous. Nous verrons jusqu’où il ira.Minuit enfin aux aiguilles lumineuses de ma montre. Je descends l’échelle, défais à nouveau les vis de la gâche. Silence et obscurité. Je me glisse dans l’escalier, il me semble sentir la présence et l’odeur des cent vierges qui dorment et rêvent autour de moi. Enfin sans doute pas autant de vierges que ça. Et toutes ne dorment sans doute pas. Je dois être prudent.Je parviens sans encombre à la porte de Violette. Cette femme me plaît, je dois le reconnaître et l’envie brutale de soumettre cette bigote à ma volonté, de forcer cette virginité tardive, me fait bander au moment de tourner la poignée.
J’entre. Elle a préparé ma venue. La chambre est éclairée par une douzaine de cierges disposés sur les meubles et même au sol. Elle est assise au bord de son lit défait. Elle se tourne vers moi à mon entrée, une main pressée sur son cœur. Elle porte une longue chemise de nuit blanche ornée de dentelle, elle a brossé ses longs cheveux roux qui descendent jusqu’à sa taille. Je m’approche d’elle, la contemple un moment sans parler. Elle lève les yeux vers moi. Son souffle est rapide, oppressé. Ses yeux verts de rousse sont immenses et liquides, avec le beau regard lointain des myopes. Aucun maquillage, elle est belle ainsi.
Je tire une chaise en face d’elle et m’assois. Je refuse de lui laisser voir à quel point elle m’excite. Je lui parle d’un ton froid et détaché.
— Lève-toi.
Elle obéit aussitôt.
— Montre-moi ton cul.
Elle frémit sous la crudité de mes paroles, mais elle se retourne et lève le pan de sa chemise. Ses fesses blanches sont encore zébrées. L’enflure a un peu diminué mais les marques ont foncé. Elles seront longues à partir.
— Tu as mal ?
— Un peu.
— Mais tu l’as mérité, n’est-ce pas ?
— Oui.
— As-tu pris du plaisir avec ces jeunes filles ?
— Oh ! Je les ai soignées seulement !
— Attention ! Pas de mensonge !
— J’ai eu du plaisir à toucher leur peau… à les regarder aussi.
— Leur cul, leur chatte, tu avais du plaisir à le regarder.
— Oui.
— À faire glisser tes doigts sur les marques de la punition ?
— Oui.
Je la laisse me répondre en me tournant le dos. Je sais qu’elle m’en dira davantage si elle n’affronte pas mon regard.
— Tu es allée plus loin parfois, non ?
— Oui, deux ou trois fois. Mais c’est elles qui ont commencé !
— Comment ?
— Elles se trĂ©moussaient… remuaient de façon… inconvenante. Ou se… caressaient.
— Et qu’as-tu fait alors ?
— J’ai… j’ai léché les marques de la punition.
— Rien de plus ?
— Une fois…
— Je t’écoute.
— La fille s’est retournée, les jambes ouvertes. Elle m’a suppliée.
— Tu as léché son sexe ?
— Oui.
— Je veux que tu te caresses maintenant et que tu te souviennes.
Elle obéit sans hésiter. Je vois ses fesses blanches onduler.
— Décris-moi le sexe de cette fille.
— Sophie. Une petite brune très mince, presque maigre. Une touffe de poils noirs sur son pubis. Des lèvres serrées, enfantines.
— Continue.
— J’ai écarté ses lèvres avec mes doigts. Son clitoris était petit mais dur. Elle s’est tordue quand ma langue l’a trouvé. L’entrée de son vagin était étroite, ma langue l’a forcée… ah… je n’en peux plus… son jus coulait dans ma bouche… elle criait…
— Je vais t’enculer à présent, le veux-tu ?
— Oui !
— Tu dois le demander !
— Je vous en prie… enculez-moi ! Enculez-moi !
—Mets un peu de ta mouille sur ton anus, si tu ne veux pas que je te déchire. Bien. Cambre-toi bien à présent.
Ma queue me fait mal tant je bande fort. Je le pénètre sans effort. Une fois ma queue enfoncée jusqu’à la garde, je reste immobile un moment. Puis je me mets à limer, très lentement. Je sens les palpitations de son anus autour de ma queue.
— Aimes-tu cela ?
— Oui ! souffle-t-elle d’une voix rauque.
— Tu es une putain.
— Oui !
— En réalité, bien peu de putains se laissent enculer. Sens-tu bien ma queue ?
— Oui, elle est entrée au plus profond… de mon cul… ah… j’aime ça… encore, je vous en prie…
— Es-tu vraiment vierge ?
— Oui.
— Nous nous occuperons de cela tout à l’heure. Je veux décharger sur ton visage d’abord. Sais-tu ce qu’est décharger ?
— Oui, j’ai lu des livres.
— Bien, je vais me retirer de toi à présent.
Elle gémit quand ma queue la quitte.
— À genoux, devant le miroir. Garde la bouche ouverte. Ainsi tu pourras tout voir.
Elle se place selon mes instructions. Sa main plonge entre ses cuisses ouvertes. Il ne me faut guère de temps pour obtenir de ma propre main un orgasme violent. La première giclée de mon foutre atterrit sur son visage et sa bouche reçoit le reste. Elle reste immobile, les lèvres engluées de sperme, jusqu’à ce que je lui ordonne d’avaler ce qu’elle a dans sa bouche.Après cela je lui demande de faire ma toilette. Ce qu’elle fait avec une bassine d’eau tiède, qu’elle est allée chercher dans les lavabos tout proches, profitant sans doute de l’expédition pour se débarbouiller le visage. Elle manie cet engin inconnu avec beaucoup de douceur, au point qu’avant qu’elle ait fini l’effet de ses mains commence à se faire sentir.
— Violette, as-tu aimé te faire enculer ?
— Oui.
— Aimerais-tu que je recommence ?
— Oh, oui.
— Je le ferai peut-être, mais il faut d’abord que je te débarrasse de ce pucelage que tu traînes depuis trop longtemps. Le veux-tu ?
— C’est-à -dire que… j’ai peur… on dit que cela fait mal.
— La douleur n’est rien, Violette. Le plaisir l’efface aussitôt. Tout ton corps est fait pour l’amour. Tu as négligé tes devoirs jusqu’à aujourd’hui. Mais d’abord, ôte cette chemise. Je veux te voir nue.
Elle défait quelques boutons et la chemise tombe au sol. Par réflexe, elle couvre d’abord sa poitrine et son sexe de ses mains, mais sur un froncement de sourcils elle laisse tomber ses bras. Sa respiration rapide élève et abaisse rapidement sa poitrine. Avec sa chevelure mousseuse, ses seins lourds mais bien dressés, Violette Bernie est une statue.
— Violette, allez sur le lit et caressez-vous.
Elle hésite un instant puis s’allonge. Elle caresse un instant la pointe de ses seins, puis sa main glisse sur son ventre et ses doigts se perdent dans le sillon secret que sa toison dissimule. Il faudra que je la rase pour parfaire sa beauté de sculpture antique. J’achève de me déshabiller et je m’assois à ses pieds, sans la toucher encore.
— Les jambes écartées, Violette. Montrez-moi votre vulve, soyez une vraie putain.
D’abord timide, je sens que peu à peu elle prend plaisir à s’exhiber, et bientôt c’est une véritable démonstration de ses talents masturbatoires. Elle ouvre sa vulve, taquine son clitoris, tire dessus pour le décalotter, plonge ses doigts dans son vagin pour les ramener tout gluants de cyprine et les porter à sa bouche. De temps en temps, ses doigts glissent jusqu’à son anus pour s’y introduire, d’abord un puis deux et même trois. Elle gémit, se cambre, ses yeux avides allant de mon visage à ma queue dressée.
— Te branles-tu souvent ainsi ?
— Oh, oui, souffle-t-elle. Tous les jours. Parfois la nuit, je me réveille et je recommence. Jusqu’à devenir folle.
— C’est bien, Violette, je suis content de toi. Donne-moi un baiser.
Je me penche sur elle, elle me tend ses lèvres. Sans doute a-t-elle appris avec une amie de pension ou une de nos Ă©lèves, car son baiser est profond et sans maladresse. Ma main dĂ©couvre enfin ses seins pleins et fermes. Je saisis un des bouts et le pince, jusqu’Ă lui arracher un gĂ©missement de douleur.
— Je vais te prendre à présent, Violette.
Son sexe est comme un marécage, ruisselant de mouille. Il m’accueille dans sa chaleur. Violette gémit. Je la lime à toute vitesse, sur les quelques centimètres qui me sont permis, sans attaquer encore la barrière qui m’arrête. C’est elle qui, au bord d’un nouvel orgasme, empoigne mes fesses et m’attire en elle. Quand la barrière se rompt et que ma queue pénètre en elle jusqu’au fond, elle lâche un cri à réveiller le dortoir entier. Mais même la mère supérieure armée d’un fouet ne pourrait nous arrêter maintenant. Au dernier moment un éclair de lucidité m’empêche de mettre Violette en cloque la nuit même de son dépucelage. Je retire ma queue pleine de sang de son vagin. Elle grogne, tente de me retenir en elle, mais je la retourne, ses jambes hors du lit, et les fesses offertes, et je plonge d’un seul coup jusqu’aux couilles dans son cul où j’éjacule aussitôt. Nous sommes tirés de la délicieuse léthargie qui suit par trois coups timides frappés à la porte.
Violette se lève aussitôt et l’entrouvre. Une petite voix interroge :
— Tout va bien, Melle Bernier ? Je vous ai entendu crier.
— Oui, oui, j’ai fait un cauchemar, Anne, retournez vous coucher et vite.
L’alerte me décide à me rhabiller et à partir. Violette me donne le feu vert après avoir vérifié que la voie était libre. Quand je franchis la porte, elle se jette à mon cou et me souffle :
— Vous reviendrez, dites ? © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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