La pension 08
Hum ! Il semble que l’escapade du professeur n’ait pas plu Ă tous nos lecteurs… Voici donc Denise. L’aimable Camille sera encore lĂ , mais qu’on se rassure, comme enculeur !
Proposée le 26/02/2017 par Donatien Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHHLieu: InclassableType: Roman
Vendredi 6 novembreCet après-midi j’ai fait cinquante kilomètres pour aller dans une pharmacie acheter des préservatifs. Il y a une pharmacie au bourg, mais pas moyen de m’y procurer ces utiles accessoires quand le pharmacien sait où j’exerce !
Aussi le soir quand je me suis glissé dans la chambre de Violette pour y prendre Fiona, je me promettais une superbe partie à trois où nous ne serions pas embarrassés par les précautions nécessaires. Mais Violette m’a annoncé non sans un certain plaisir qu’elle n’était pas parvenue à tirer Fiona de son sommeil. La pauvre avait dû se lever à l’aube pour la corvée de balayage de la chapelle. Après la nuit qu’elle avait passée, j’ai admis qu’elle avait besoin de repos. Mais m’embarrasser de Violette ne me disait rien. Je l’ai donc envoyée me réveiller Isabelle coûte que coûte. Je savais qu’Isabelle ne voudrait pour rien au monde être pénétrée des deux côtés à la fois, mais je pensais tout de même aux combinaisons à trois qui restaient à explorer.
Je suis restĂ© un bon quart d’heure Ă attendre et je commençais Ă somnoler quand soudain Violette est entrĂ©e, traĂ®nant par la main une petite Denise de la classe de seconde qui s’est figĂ©e en me trouvant dans la pièce, trĂ´nant d’un air solennel dans l’unique fauteuil. J’ai lancĂ© un regard peu aimable Ă Violette qui risquait de provoquer un scandale si la petite allait rĂ©vĂ©ler ma prĂ©sence dans l’internat, mais elle souriait d’un air si sĂ»r d’elle-mĂŞme que je me suis senti Ă -demi rassurĂ©.
— J’ai surpris cette petite garce dans les douches, avec son amie Béatrice. Les deux coquines s’amusaient ensemble, bouche contre bouche, chacune une main dans la culotte de l’autre.
Denise se tortillait vainement pour échapper à la poigne de Violette. Elle ressemblait vraiment à une poupée, petite et ronde avec ses cheveux blonds frisés et courts, ses joues rouges et ses yeux bleus de porcelaine. Sous sa chemise blanche règlementaire, ses seins se dessinaient comme deux moitiés d’orange.
— Vous avez laissé partir l’autre ?
— Oh, elle ne perd rien pour attendre. Et j’ai pensé que contribuer à l’éducation de ce tendre morceau vous plairait davantage. Je me charge de corriger Béatrice. Regardez, ceci devrait vous convaincre.
Violette a soulevé la chemise de Denise. Outre une paire de cuisses blanches et potelées, elle a découvert une culotte trempée à l’entrejambes.
— Une élève m’a déjà confessé avoir joué à ce jeu. Il s’agit de garder sa vessie pleine jusqu’à l’extrême limite, puis de se caresser jusqu’à ne plus pouvoir se retenir. Il paraît que lâcher son urine au bon moment procure un plaisir divin. Spécialement si on le pratique à deux. Moi, je trouve cela simplement dégoûtant !
Violette a fait mine de se fâcher et a asséné quelques fortes claques sur les cuisses de Denise. Sur la peau blanche l’empreinte de ses mains s’est aussitôt dessinée dans un rose vif du plus bel effet. Denise s’est aussitôt mise à pleurer comme un bébé, bouche ouverte et le nez morveux.
— Je ne vois pas d’autre solution que d’en référer à la mère supérieure.
Denise, Ă ces mots s’est mise Ă sangloter de plus belle. J’ai pris le rĂ´le du professeur indulgent.
— Voyons, Mademoiselle Bernier, ce serait le renvoi immédiat et infâmant pour les deux petites. Laissez-moi plutôt m’en charger.
— Ah ! Monsieur Bertrand, vous êtes trop bon. Denise, allez remercier votre professeur qui va vous punir sans que la mère sup n’en sache rien.
Denise s’est avancée vers moi, sanglotant encore un peu, sans trop savoir en quoi elle devait me remercier. Je l’ai prise par le poignet et je l’ai attirée entre mes genoux. De près, l’odeur de pipi était manifeste.
— La punition sera légère, mon enfant, à condition que vous me disiez tout sincèrement. Êtes-vous d’accord ?
Denise a reniflé et fait oui de la tête.
— Jouez-vous souvent à ce jeu ?
— Des fois.
— Avec qui ?
— Toute seule, ou avec Béatrice, ou Angèle.
— Et toujours dans les douches ?
— Non, des fois on le fait dans le jardin. Derrière les haies.
— Pendant les récréations ?
— Oui.
— Et vous allez ensuite en cours avec la culotte pleine de pipi ?
— Oui.
— C’est bien ce qu’a décrit Melle Bernier, n’est-ce pas ? Garder son pipi le plus longtemps possible.
— Oui.
— Tout en se caressant, si j’ai bien compris, le clitoris. Vous savez ce qu’est le clitoris, n’est-ce pas ?
Denise avait l’air d’ignorer le sens de ce mot.
— Enfin, le bouton, voyez-vous, celui d’où vous vient le plaisir…
— Ah, oui. Béatrice veut toujours qu’on la frotte là !
— Pas vous ?
La jeune fille s’est mordu les lèvres sans répondre. J’ai claqué sa cuisse très fort, sans prévenir. Elle s’est tortillée pour échapper à la douleur. Ses larmes ont jailli à nouveau.
— Je préfère… quand on met le doigt… dedans…
— De sorte que quand Melle Bernier vous a surprises, Béatrice avait son doigt dans votre vagin…
Denise a détourné les yeux imperceptiblement.
— Combien de doigts ?
Une nouvelle claque, au mĂŞme endroit et plus fort.
— Deux ! Un devant… et un derrière…
— Je vois. Et vous pendant ce temps, vous caressez le clitoris de votre amie.
— Oh, non, je le caresse pas, je frotte fort.
— Et vous avez eu votre plaisir ?
— Non… Melle Bernier est arrivée…
— Vous voulez dire que vous n’avez pas…
— Juste un peu.
— Mais pourquoi garder votre culotte ?
— Ça garde le mouillé… c’est chaud.
— Eh bien, je vois que vous avez perfectionné votre manière de prendre du plaisir. Vous avez répondu avec sincérité, vous n’aurez donc qu’une fessée à main nue. Ne me remerciez pas. Nous allons chez moi administrer cette punition nécessaire. Mais, Melle Bernier, votre théière est-elle vide ?
— Non, je pense qu’elle est encore à moitié pleine.
— Servez donc une tasse à cette jeune fille, elle en a bien besoin.
Violette a failli s’esclaffer, puis a versĂ© Ă Denise un Ă©norme bol de thĂ© tiède, puis un autre que celle-ci a dĂ» avaler malgrĂ© ses protestations. Nous sommes ensuite sortis après nous ĂŞtre assurĂ©s que la voie Ă©tait libre. J’ai fait monter Denise devant moi Ă l’échelle, pour profiter de la vue de ses fesses rondes dans la culotte mouillĂ©e. Comme Fiona elle Ă©tait gelĂ©e en arrivant dans la douce chaleur de ma chambre. Toutefois ce n’est pas le froid qui l’a figĂ©e mais la vue de Camille entièrement nu et la queue dressĂ©e qui s’attendant Ă voir arriver Fiona s’était prĂ©parĂ© Ă la recevoir dignement. J’ai jouĂ© les indignĂ©s.
— Jeune homme, à quoi pensez-vous ? Allez vous couvrir tout de suite ! Et revenez, vous allez vous instruire.
Camille est revenu de la salle de bains fort peu habillé, puisqu’il n’avait enfilé qu’un mince caleçon qui ne cachait rien de ses bonnes dispositions.
— Mon jeune ami, je vous présente Denise. Denise est une vraie pisseuse. Elle est ici pour être fessée et confessée. Venez Camille, tirez donc une chaise ici, Denise va se tenir debout entre nous et nous faire sa confession. Mais qu’avez-vous à vous tortiller ainsi, jeune fille ?
Denise, tout en lançant des coups d’œil furtifs sur la jeune virilité de Camille, laissait voir que les bols de thé avalés commençaient à faire leur effet.
— J’ai envie… est-ce que je peux aller aux…
— Voyons, ma chère, c’est hors de question, nous voulons voir et comprendre comment le plaisir vous vient, il me semble que vous êtes fort bien disposée. Mais vous allez maintenant expliquer à ce garçon comment vous et vos amies prenez votre plaisir.
Ă€ la perspective de raconter ses jeux de gamine devant l’idole de la pension Denise a aussitĂ´t semblĂ© prĂŞte Ă mourir de honte et il a fallu quelques vigoureuses claques sur son popotin pour qu’elle commence Ă parler. Claques que Camille donnait en alternance avec moi avec une belle vigueur. J’avais fait pĂ©nĂ©trer la culotte encore humide entre ses fesses pour donner plus de surface Ă la punition et sa peau sensible de blondinette s’est retrouvĂ©e très vite enflammĂ©e. Elle a enfin acceptĂ© de nous expliquer Ă nouveau comment elle procĂ©dait avec BĂ©atrice. Camille sur ses indications a passĂ© la main sous la chemise, Ă©cartĂ© l’élastique de la culotte et a fait pĂ©nĂ©trer son index dans le vagin qu’il a trouvĂ© selon ses dires bien baveux. J’ai pu le vĂ©rifier moi-mĂŞme en joignant mon index au sien et nous nous sommes mis Ă la masturber ensemble sur les quelques centimètres que sa virginitĂ© nous autorisait. Ă€ mesure que son excitation montait, Denise se faisait plus bavarde et racontait mĂŞme avec gourmandise ses sĂ©ances avec d’autres adeptes des plaisirs humides. « Armelle, c’est elle qui fait les plus gros pipis. C’est une vraie fontaine. Et Justine, elle se met des couches pour le faire en classe, et mĂŞme Ă la messe, etc. » J’ai laissĂ© Ă Camille la charge de branler Ă deux doigts le con de Denise et mon index bien lubrifiĂ© a trouvĂ© entre ses fesses joufflues le chemin de son cul. Denise s’est cambrĂ©e pour me faciliter le passage. Ainsi pĂ©nĂ©trĂ©e par ses deux orifices, la petite blonde jouissait si bien qu’elle a dĂ» s’agripper Ă nos Ă©paules pour tenir debout. Il lui Ă©tait dĂ©sormais difficile de maintenir les vannes de sa vessie et de petits jets de pisse lui Ă©chappaient de temps en temps, inondant sa culotte et coulant sur nos mains et le long de ses jambes. Je lui ai redonnĂ© quelques claques sur les cuisses.
— Retiens-toi encore, pisseuse ! Je t’interdis de pisser tant que tu n’auras pas la queue de ce garçon enfoncée dans ton cul. Camille, prépare-toi.
Camille s’est débarrassé de son caleçon. Sa verge était raide et palpitante. Il a pris sur la commode le pot de crème et s’est tartiné voluptueusement sous les yeux de Denise qui commençait à comprendre et mesurait des yeux le joli outil du garçon.
— Ça va faire mal ?
— Un peu au début, peut-être. Mais je te promets que tu vas jouir comme tu ne l’as jamais fait. Allons, ôte ta chemise et ta culotte. Regarde, Camille, ce corps de poupée. N’est-elle pas mignonne avec ces petits seins ronds ? Tu as très envie de l’enculer, pas vrai ? Toi, ma chérie, penche-toi en avant. Pose tes mains sur mes cuisses. Très bien. Écarte un peu les jambes, creuse tes reins. Et essaie de ne pas contracter ton trou du cul. Allez, Camille, vivement !
Camille s’est mis en place, je l’ai senti pousser. Denise a poussé un cri quand elle s’est sentie pénétrée mais Camille tenait fermement ses hanches et il s’est enfoncé en elle jusqu’au bout.
— Voilà , sens-tu bien la queue de Camille en toi ?
— Oh, oui ! Mais ça fait un peu mal !
— La douleur va passer. Camille, es-tu assez fort pour porter Denise sur le lit sans te retirer ?
Camille a pris Denise par la taille et l’a soulevĂ©e, ce qui a eu pour effet de faire pĂ©nĂ©trer sa queue encore plus loin. Il s’est laissĂ© tomber sur le lit. Denise a compris qu’en gigotant sur la tige raide elle augmenterait son plaisir. Elle a commencĂ© Ă pousser des gĂ©missements de plus en plus forts tout en chevauchant Camille. Je me suis dĂ©shabillĂ© face Ă elle. Ses yeux se sont agrandis quand j’ai fait glisser mon caleçon. Sa confession et la vue de sa motte renflĂ©e m’avaient amenĂ© très près de jouir dans mon slip. Je l’ai poussĂ©e en arrière, Camille a compris la manĹ“uvre et s’est emparĂ© de ses seins, l’immobilisant contre son corps. Il parvenait malgrĂ© le poids de la fille Ă remuer son bassin et je voyais sa tige luisante de crème aller et venir dans l’anneau rose. J’ai ouvert largement les cuisses de Denise, les lèvres de son sexe se sont Ă©cartĂ©es, rĂ©vĂ©lant une vulve d’un rose dĂ©licat et l’entrĂ©e baveuse de son vagin. Je me suis allongĂ© de tout mon poids sur les deux adolescents, mon gland dĂ©calottĂ© a trouvĂ© son chemin dans l’entrĂ©e Ă©troite. Denise roulait des yeux affolĂ©s, tĂ©tanisĂ©e par la peur. C’est Ă cet instant, alors que mon gland congestionnĂ© se logeait dans l’entrĂ©e de sa chatte qu’elle a relâchĂ© les vannes de son urine. Le liquide a jailli en un flot tiède et puissant contre mon ventre et mon sexe, dĂ©goulinant sur les cuisses et les couilles de Camille. Je l’ai pĂ©nĂ©trĂ©e rĂ©solument avant que le flot ne soit tari, la dĂ©pucelant en une seule poussĂ©e. Nous nagions tous trois dans un marĂ©cage de pisse et de mouille. J’ai senti Ă travers la fine paroi les mouvements de la queue de Camille dans l’autre conduit, je savais que lui aussi sentait les allers-retours de la mienne. J’ai enfin perçu les spasmes de son Ă©jaculation que la mienne a aussitĂ´t suivie. Les ongles de Denise se sont plantĂ©s dans mon dos et elle a hurlĂ© quand elle s’est sentie inondĂ©e au plus profond par nos deux jets simultanĂ©s de foutre.Il nous a fallu de longues minutes pour reprendre nos esprits et dĂ©mĂŞler nos corps trempĂ©s d’urine, de mouille et de sperme. Denise avait peu saignĂ©, sans doute son pucelage avait-il subi de nombreux assauts de ses doigts et de ceux de ses petites amies. Nous nous sommes retrouvĂ©s tous trois sous la douche. J’ai utilisĂ© une poire pour injecter dans le vagin un liquide que Violette m’avait fourni pour de telles Ă©ventualitĂ©s. Savonner le petit corps replet de Denise nous a Ă nouveau excitĂ©s et la petite a eu de nouveau deux queues bien raides avec lesquelles jouer. J’ai pris mon rasoir et j’ai dĂ©barrassĂ© le pubis de la jeune fille de sa toison de maĂŻs qui n’allait pas Ă mes yeux avec son corps de poupĂ©e. J’ai longuement lĂ©chĂ© cette motte redevenue enfantine pendant que Camille la sodomisait de nouveau. Elle m’a gratifiĂ© d’un petit jet de pipi que j’ai avalĂ© avec dĂ©lice avant de me relever pour Ă©jaculer dans sa bouche. Elle a apparemment aimĂ© la saveur de mon sperme car malgrĂ© le fait que la pine de Camille venait de visiter son cul, elle n’a pas hĂ©sitĂ© Ă la tĂ©ter avec gourmandise pour en avaler une seconde dose.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
La pension 5
La pension 06
La pension 04
La pension 03
La pension 02