Les annĂ©es sont passĂ©es tellement vite, et l’idĂ©e a germĂ© en moi, il y a quelque temps dĂ©jĂ , de consigner certains moments importants de la vie passĂ©e avec mon Ă©pouse et de ses sĹ“urs.Cela faisait des annĂ©es que nous avions vĂ©cu dans notre couple des moments intenses. Et quand je dis dans notre couple, c’était plutĂ´t avec les couples des deux sĹ“urs jumelles de ma femme. Notre jeunesse nous avait entraĂ®nĂ©s Ă tâter ensemble certains plaisirs et dĂ©lices interdits, parfois voisinant les douceurs de l’adultère et les dĂ©lices de l’inceste au deuxième degrĂ©.J’avais parlĂ© de mon intention d’écrire notre histoire Ă ma belle-sĹ“ur Laurie, et après lui avoir fait lire les premières pages de mon rĂ©cit, elle avait Ă©mis l’envie de l’écrire avec moi, et d’émettre aussi son avis, Ă©tant Ă©galement concernĂ©e.Demandant l’avis de Lise, mon Ă©pouse, celle-ci avait Ă©tĂ© emballĂ©e d’apparaĂ®tre dans un rĂ©cit un peu lĂ©ger oĂą elle tenait Ă©galement un des rĂ´les.J’ai alors fait un mixage de nos expĂ©riences, pour avoir des avis diffĂ©rents sur une journĂ©e ou un fait particulier. Mixage qui a pris bien du temps, chacun voulant en raconter plus que l’autre. Finalement, pour regrouper les expĂ©riences de chacun, l’écriture sous forme de roman s’est imposĂ©e et certains passages plus intĂ©ressants que d’autres ont Ă©tĂ© choisis. En effet, beaucoup plus vivants, plus faciles Ă lire, chacun peut s’identifier Ă l’un ou Ă l’autre des personnages.Beaucoup diront que j’exagère. Dommage pour eux qu’ils n’aient pas connu ce temps bĂ©ni de ces vingt annĂ©es de plaisir, mais en tout cas ni moi, ni mon Ă©pouse, ni mes belles-sĹ“urs ne le regrettons.Et la plume Ă la main, ces souvenirs me reviennent comme si c’était hier. Ils se couchent tout seuls sur le papier sans effort de mĂ©moire. Seules quelques notes prises dans les jours qui suivirent me permettent d’être prĂ©cis et de ne rien oublier.Et mes longs moments de solitude se comblent par une mĂ©moire fertile en dĂ©licieuses sensations.***Ce jour-lĂ , je devais me rendre chez ma belle-sĹ“ur. Bien que le jeudi, elle et son mari travaillent Ă l’extĂ©rieur de chez eux, je me suis rendu compte en voyant leur voiture dans l’allĂ©e que je ne serais pas seul dans la maison malgrĂ© ce que Laurie m’avait dit.Cela me dĂ©rangeait ! J’aime avoir la paix pour bricoler, avancer Ă mon rythme et partir quand l’envie m’en prenait. Je terminais chez eux un peu de menuiserie dans le grenier oĂą de nouveaux rangements recevraient les collections de livres rangĂ©es pour le moment en piles le long des murs.Ma belle-sĹ“ur prĂ©fĂ©rait rentrer en fin de journĂ©e dans une maison propre et calme, la poussière et le bruit ne lui Ă©tant pas spĂ©cialement agrĂ©ables.Elle avait hĂ©ritĂ© de la maison de sa grand-mère avec tout le mobilier et des Ă©tagères de livres. Amoureuse de ceux-ci, elle dĂ©sirait les garder, les classer et les entreposer correctement Ă l’abri de la poussière.Depuis des annĂ©es, nos couples se voyaient rĂ©gulièrement. Souvent, nous passions le week-end l’un chez l’autre, nous entraidant dans divers travaux de remise en Ă©tat des maisons que nous venions d’acquĂ©rir.De plus, nos familles partaient depuis des annĂ©es ensemble en vacances pour le plus grand plaisir des enfants, et la proximitĂ© des couples malgrĂ© les enfants, avait encouragĂ© le rapprochement, puis la tendresse et l’intimitĂ©, et finalement des contacts plus intimes dans lesquels chacun avait pris Ă©normĂ©ment de plaisirs.Tout cela s’était passĂ© facilement, sans brusquerie, avec douceur et beaucoup de respect.Il faut dire que quand femme veut, Dieu le veut !Cela avait commencĂ© entre ma femme, Lise, et Éric, le mari de sa sĹ“ur Laurie, alors qu’entre Laurie et moi, les choses Ă©taient encore calmes. La connaissant, je me demandais mĂŞme si c’était vraiment possible de dĂ©velopper quelque chose avec elle qui gardait une certaine retenue et ne se livrait pas beaucoup.J’avais bien essayĂ© lors de soupers bien arrosĂ©s de glisser une main dans son dos et de la caresser un peu. Elle s’était laissĂ© faire, puis j’avais osĂ© dĂ©grafer le soutien-gorge, et glisser mes doigts sur un sein. Se levant parfois, elle passait alors Ă la cuisine pour ragrafer son soutien. Mais lentement, avec le temps, elle s’était laissĂ© aller, et j’avais pu enfin caresser un tĂ©ton raidi de plaisir.Puis un soir lors d’un souper, elle m’avait glissĂ© Ă l’oreille :— Ik begin met je te willen neuken (Je commence Ă avoir envie de baiser avec toi) ! Il faut dire qu’étant d’expression nĂ©erlandophone, elle s’exprimait aussi bien en français que dans cette langue. Voulant cependant conserver la saveur de celle-ci, et ne pas perdre la traduction de certains mots Ă©rotiques, j’ai simplement traduit entre parenthèses les phrases qu’elle avait prononcĂ©es. Je ne peux malheureusement pas exprimer l’accent, ni le roulĂ© de certains mots, et certainement pas l’érotisme avec lequel ils avaient Ă©tĂ© exprimĂ©s !Et la soirĂ©e avançant, on s’était finalement retrouvĂ© ensemble pour la nuit sur le canapĂ© du living pendant que son mari et ma femme montaient dans la chambre.Puis les enfants ont grandi, les rapports se sont espacĂ©s pour cesser complètement.Évidemment, ces annĂ©es de contact ensemble ne s’oublient pas comme cela !Les regards que nous Ă©changions parfois en disaient long sur nos aventures et nos expĂ©riences passĂ©es.***ArrivĂ© chez ma belle-sĹ“ur, je fus surpris en trouvant la porte de service ouverte. J’entrai et refermai celle-ci derrière moi. J’allais appeler lorsque je fus surpris par des bruits de voix provenant de l’étage. Le couple devait sans doute discuter des dernières finitions du placard. Je montai l’escalier, mais je ralentis lorsque j’entamai les dernières marches… De lĂ©gers gĂ©missements s’échappaient de leur chambre et, d’oĂą j’étais, les paroles me parvenaient sans difficultĂ©.Je me rendais compte qu’étant en avance, je n’étais pas encore spĂ©cialement attendu, bien qu’ils auraient dĂ©jĂ dĂ» ĂŞtre partis ! J’aurais dĂ» redescendre et m’en aller, mais le couple en pleins Ă©bats amoureux Ă©changeait les impressions de leur relation avec mon propre couple ! Et Laurie, curieuse comme toutes les femmes, interrogeait son mari Éric sur le type de relations qu’il avait entretenues avec sa sĹ“ur Lise.MalgrĂ© le nombre d’annĂ©es passĂ©es ensemble dans cette relation Ă©changiste, j’entendais que tout ne s’était pas dĂ©voilĂ© entre eux, et que si peu de secrets persistaient, beaucoup de choses restaient encore Ă dĂ©couvrir et deviendraient sans doute des « secrets de famille » !GĂŞnĂ©, mais intĂ©ressĂ©, j’écoutais les choses que ma femme avait faites avec lui sans me les raconter ! Chacun peut avoir ses petits secrets, et je ne racontais pas tout Ă ma femme non plus ! Mais la curiositĂ© m’immobilisa et je prĂŞtai l’oreille plus attentivement.De plus, le mĂ©lange de deux langues rendait encore leurs dialogues plus excitants :— Natuurlijk nam Lise je in de mond ? … en ze pijpt je (Évidemment, Lise t’a pris dans sa bouche ? … et elle te suce) ? — Oui, j’ai dĂ» un peu insister, mais elle a fini par accepter ! — Tu l’as forcĂ©e ? — Nee !!! toen ze mijn eikel tegen haar lippen voelde, ging haar mond open (non !!! quand elle a senti mon gland contre ses lèvres, elle a ouvert la bouche).— Et tu lui as glissĂ© dedans, Ă©videmment !— Eh bien, c’est entrĂ© tout seul…, et profondĂ©ment encore ! Et elle a commencĂ© un va-et-vient… mais je n’ai pas pu me retenir longtemps… — En… je ejaculeerde in haar mond (et… tu lui as Ă©jaculĂ© dans la bouche) ?— Oui, je n’ai pas su me retenir en voyant mon sexe s’agiter entre ses lèvres et j’ai giclĂ© dans sa bouche… Mais je m’étais Ă peine Ă©panchĂ© entre ses lèvres qu’elle s’est redressĂ©e pour m’embrasser Ă pleine bouche et laisser couler le sperme chaud dans ma gorge !— Tu as avalĂ© ton sperme alors ?— Ah, je n’aurais pas su faire autrement et, me tenant la tĂŞte, elle dĂ©versait dans ma bouche ce que je venais de lui Ă©jaculer dedans. Laurie Ă©tait Ă prĂ©sent certaine que Daniel Ă©tait entrĂ©. Elle avait reconnu le bruit caractĂ©ristique de la porte de service qui s’ouvrait et les entendant parler, Daniel devait ĂŞtre montĂ© en silence jusqu’à la baie de leur chambre et devait sans doute les regarder sans complexe ! Elle poussa un long gĂ©missement pour l’avertir et l’empĂŞcher d’entrer tout en le mettant au courant de leur activitĂ© et en Ă©cartant les jambes en grand ! Éric, dressĂ© sur ses bras, frottait son sexe dans sa fente du haut en bas, glissant du clitoris Ă la fourchette des lèvres en bas du vagin. Laurie s’offrait ainsi Ă son beau-frère, dĂ©voilant sa vulve ouverte.— Donc ma petite sĹ“ur a avalĂ© ton sperme ! dĂ©clara Laurie… finalement, tu vas nourrir toute la famille ! — Eh bien, toi, je suis certain que tu ne rebutes pas Ă sucer Daniel et Ă avaler ! Laurie s’excitait, elle sentait la vigueur de son mari se frotter contre elle. Daniel la regardait-il ? Voyait-il Éric voyager dans sa vulve, prĂŞt Ă lui enfoncer son sexe ? L’idĂ©e d’être vue la rendait folle !— Oh que j’ai envie, murmura Laurie… Éric, prends-moi ! dit-elle en Ă©cartant plus fort les jambes. La pĂ©nĂ©tration Ă©tait un moment vraiment particulier pour elle. Elle adorait lorsque ses lèvres s’écartent pour laisser entrer la verge, elle sentait alors une vague de chaleur l’envahir… Ă€ ce moment-lĂ , elle avait l’impression de n’être pas complète tant que le sexe n’était pas enfoncĂ© Ă fond et n’était pas entrĂ© jusqu’au bout.Toujours en voyeur, Daniel sentait monter son excitation. Il y avait dĂ©jĂ longtemps qu’il n’avait plus vu ce couple faire l’amour, et Ă plus forte raison le sexe de sa belle-sĹ“ur.Les cuisses Ă©cartĂ©es de celle-ci laissaient voir son pubis et sa pilositĂ© noire entourant les petites lèvres de la vulve. Pour le moment, l’action laissait place Ă la discussion. La vulve s’ouvrait, dĂ©voilant l’entrĂ©e vaginale et, perdu sous son capuchon, le petit doigt pointĂ© du clitoris.Daniel sentit la transpiration l’envahir… dĂ©jĂ , voir une femme nue, jambes Ă©cartĂ©es, puis un homme face Ă elle en pleine Ă©rection…Lentement, son mari enfonça son gland, ressortant rapidement, puis d’une longue et lente poussĂ©e renfonçait celui-ci profondĂ©ment. Il commença de longs mouvements de piston bien lubrifiĂ©. Les lourds testicules commencèrent Ă battre l’entrĂ©e du vagin comme le battant d’une cloche frappant sa jupe de bronze.Son sexe raide et bien dressĂ©, guillochait avec sa nervure longitudinale, les parois nervurĂ©es de l’aven vaginal.Laurie se redressa, regardant le cylindre de chair s’immobiliser Ă l’entrĂ©e de son ventre et en distendre les parois, puis elle acceptait l’enfoncement lent et puissant de la bite en poussant de petits cris. Son mari gardait le rythme, et la pilonnait sous les yeux de son beau-frère. Elle aperçut Daniel Ă la porte de la chambre puis sentit Ă nouveau le poignard de son mari qui s’enfonçait en elle sous son regard.Daniel vit l’épieu d’Éric s’encastrer entre les parois humides et se frayer un passage jusqu’au fond du fourreau. Laurie regarda alors Daniel tout le temps qu’Éric la possĂ©da, fichant son sexe profondĂ©ment dans la vulve offerte.Puis elle retomba sur l’oreiller, se sentant pleine.Jamais dans nos couples nous n’avions marquĂ© le moindre gène. Nous Ă©voluions nus l’un face Ă l’autre sans complexe, mĂŞme en Ă©rection. Cette pratique nous avait rendus très Ă l’aise, mais une certaine pudeur nous forçait encore Ă nous dissimuler pour une caresse plus intime l’un devant l’autre.On se laissait aller dès que l’on se retrouvait Ă deux dans la chambre. Que l’autre couple s’arrĂŞte devant la porte ouverte et nous regarde ne nous gĂŞnait pas du tout.Je me rendais compte que finalement la curiositĂ© Ă©tait bien prĂ©sente des deux cĂ´tĂ©s, et que revoir l’autre couple nu nous faisait encore autant d’effet que par le passé !Je prenais plaisir Ă revoir Laurie nue, les jambes ouvertes, dĂ©voilant sa vulve aurĂ©olĂ©e d’un petit buisson de poils noirs. Puis voir la verge s’enfoncer en elle, et ressortir lentement recouverte des sĂ©crĂ©tions sexuelles qui collaient ses petites lèvres de tous cĂ´tĂ©s au phallus. Les profonds aller-retour dans ce ventre de femme me ravissaient, c’était une merveille Ă regarder.Et elle s’offrait Ă son mari et Ă son beau-frère. Les jambes ouvertes et les bras Ă©cartĂ©s, elle s’ouvrait, offrait son sexe, son ventre, l’ouverture glissante de sa fĂ©minitĂ© dans laquelle s’enfouissait le sexe luisant de son homme.Je me rappelais la douce sensation d’être enveloppĂ© dans son vagin humide, la pression dĂ©licate de ses chairs, l’aspiration de cette gaine charnelle, un peu comme le gant d’une digitale dans laquelle je prendrais plaisir Ă m’enfoncer sans complexe, cherchant le fond que je pouvais dilater, distendre, Ă©vaser. Puis se relâcher, se laisser aller, ouvrir les vannes et dĂ©verser dans cette entaillure humide la liqueur chaude et gluante qui allait tapisser ces dĂ©lectables parois.J’avais dĂ©jĂ parlĂ© Ă l’époque Ă ma belle-sĹ“ur de l’envie de connaĂ®tre ce type possession mĂŞme si nous n’étions pas faits pour cela ! Mais l’idĂ©e, de sentir en moi un sexe rigide qui viendrait fouiller les profondeurs de mes fesses, et y dĂ©verser aussi la charge chaude et Ă©paisse de ses testicules me donnait bien souvent des envies.Alors elle m’avait glissĂ© un doigt entre les fesses, et l’enfonçant prudemment, elle m’avait dit en riant que cela lui plairait de me prendre si elle avait Ă©tĂ© Ă©quipĂ©e pour cela !— Ik zou graag zien sodomiseren een pik in je anus zien klaarkomen (je prendrais du plaisir Ă te voir te faire sodomiser et une verge Ă©jaculer dans ton anus) ! J’attendis un peu, voyant la proximitĂ© de leur orgasme, Laurie en me regardant, et Éric en suivant le rythme puissant de la possession de ce sexe de femme.Ils jouirent en mĂŞme temps, je vis le sperme mousser entre les lèvres de Laurie qui vibra violemment de sa jouissance et nos regards se croisèrent Ă©teignant les derniers spasmes qui la secouaient.Je quittai la chambre et redescendis les marches en catimini.DĂ©licatement, je sortis de la maison, remettant Ă plus tard la poursuite de mes travaux.De retour chez moi, encore bouleversĂ© de ce que j’avais vu, et surtout de l’offrande silencieuse du corps de Laurie, je mis Lise au courant, lui racontai mes impressions, mes envies, et surtout Laurie qui s’était dĂ©voilĂ©e, prĂŞte Ă ĂŞtre prise.Lise Ă©tait contente ! Elle s’était arrangĂ©e avec sa sĹ“ur pour faire profiter Ă son mari d’une petite gâterie de sa belle-sĹ“ur.***La nuit de nouveaux rĂŞves et de nouvelles envies revinrent hanter Daniel… C’était comme si le passĂ© refaisait surface et se dĂ©roulait Ă ses yeux…Il revoyait Laurie couchĂ©e sur le ventre, les bras relevĂ©s, le creux de son dos affirmant la ligne de sa colonne vertĂ©brale et la naissance de la courbe de ses seins.Plus bas, le creux de ses reins plongeait entre ses fesses rondes, chaudes et charnues. Les jambes lĂ©gèrement Ă©cartĂ©es laissaient apparaĂ®tre la courbe vers la rondelle plissĂ©e de l’anus, et plus bas, l’ouverture rose de la vulve entourĂ©e de la chiffonnade des petites lèvres brunes dissimulait l’ouverture vaginale.Les souvenirs lui revenaient en masse, dĂ©filaient l’un après l’autre dans ses pensĂ©es ! Dans combien de pays, d’hĂ´tels, de lits n’avaient-ils pas fait l’amour ? Combien de fois n’avait-il pas Ă©jaculĂ© entre ses cuisses ? Combien de fois n’avait-il pas lĂ©chĂ© les lèvres de sa vulve, son vagin humide des sĂ©crĂ©tions acides qui s’en Ă©coulaient ? Parfois après s’être vidĂ© en elle, il allait rĂ©cupĂ©rer dans sa bouche la semence qui s’écoulait de son ventre, puis allant coller ses lèvres aux siennes, ils l’embrassaient dans la liqueur qui s’écoulait de sa bouche et se mĂŞlait Ă leur langue gourmande.***Parfois, j’en venais Ă me comparer au marquis de Sade, bien que loin de ses pratiques, je ne forcerais jamais personne Ă subir ma loi ! Cependant avec le temps je me rendais compte qu’elle aimait dĂ©couvrir ce qu’elle ne connaissait pas, mĂŞme si cela devait aller contre ses principes, ses convictions et ses pratiques. Ainsi lorsque j’essayais de lui faire pratiquer une fellation, elle dĂ©tournait la tĂŞte Ă gauche et Ă droite, fuyant la verge. Et c’est en appuyant alors doucement mon gland contre ses lèvres, et frottant doucement celles-ci qu’elle les Ă©cartait. Alors toute rĂ©sistance cessait immĂ©diatement, et d’une longue poussĂ©e je pouvais introduire mon sexe entre ses joues, sentant sa langue chercher le gland et l’entrĂ©e du mĂ©at.Le plaisir que j’ai pris en voyant ma verge dans sa bouche est prodigieux.Et chaque fois, cela se reproduisait… Croyant Ă chaque instant qu’elle n’accepterait pas, je m’attendais Ă un refus, Ă un geste qui me dĂ©tacherait d’elle, rejetant ce que j’avais envie de lui faire dĂ©couvrir. Chaque fois, je fus Ă©tonnĂ© de son acceptation et de la langueur avec laquelle elle se laissait possĂ©der ou caresser.L’anneau de ses lèvres enserrer ce cylindre de chair en pleine Ă©rection, sentir sa langue fouiller mon gland, s’insinuer dans les replis de peau qu’elle avait en bouche et me sucer avec dĂ©lectation pendant qu’elle me fixait dans les yeux…Elle cherchait le plaisir dans mon regard, sa langue fouillait, fouinait, tâtonnait, s’enroulait autour de mon gland, me donnant l’impression d’une nuĂ©e de caresses, frottant, mordillant. Parfois, elle sortait le sexe de sa bouche, alors ouvrant celle-ci, elle saisissait la tige par le travers, et mordait avec force, m’arrachant de petits cris de douleur. Souvent, je ne rĂ©sistais pas, et les jets de sperme giclaient au rythme de la pression de ses dents.Mes doigts la dĂ©couvraient chaque fois un peu plus. Son sexe s’ouvrait sous mes caresses, le capuchon de son clitoris avait Ă©clos sous mes baisers, ses petites lèvres s’écartaient, disjointes par la poussĂ©e de ma langue, et sans me repousser, elle gĂ©missait, acceptant les vagues de plaisir qui dĂ©ferlaient en elle avec amour.Et pendant ce temps, Éric, son mari, s’occupait de sa sĹ“ur Lise… dans une autre chambre de l’étage.Lise, ma femme !Elle me connaĂ®t bien, ma Lise ! Elle me comprend de suite – elle sait mon souhait – et glisse sa main sous mes testicules, conduit une phalange vers mon anus. J’écarte les jambes pour lui signifier mon dĂ©sir. Je sens la pulpe de ses doigts se promener sur les plis serrĂ©s de mes testicules et sur les stries anales de ma rosette. Elle palpe, caresse, enserre avec douceur, alors elle croche doucement la première phalange de son doigt dans mon anus et l’enfonce doucement. Puis, Ă genoux, elle explore, procède par petites touches rapides, me couve de ses yeux, me gĂŞne Ă me regarder, Ă m’observer ainsi, Ă me possĂ©der, Ă me fouiller si intimement.Sa tĂŞte se positionne devant mon sexe, et elle l’englobe faisant saillir ses joues. Celles-ci se gonflent sous la pression du sexe Ă l’intĂ©rieur de sa bouche et de la pression qu’il exerce sur ses parois.J’adore ses mains, ses doigts qui s’occupent de moi. C’est cela exciter… faire monter la pression, par de petits gestes. Une caresse et un regard appuyĂ© en mĂŞme temps parfois prolongĂ© jusqu’à l’orgasme, et regarder le sperme sourdre du mĂ©at, se rĂ©pandre sur ses doigts et sur la verge. Ou des mouvements brusques, rapides, Ă la limite de la douleur qui m’arrachent des cris, des soupirs puis cet orgasme puissant qui libère des giclĂ©es de sperme allant recouvrir le visage et les seins de ma Lise.Elle souriait, suivant sur mon visage les effets de sa masturbation, ses mains s’activaient sur mes bourses, les roulant l’une contre l’autre avec puissance, les poignant, dans son poing fermĂ©, les trayant comme des pis de vache, puis lorsqu’elle me sentait Ă point, son majeur d’une poussĂ©e me pourfendait l’anus pendant que son autre main d’une traction brusque m’étirait violemment les testicules…. LĂ , j’aimais bien ses paroles vulgaires :— LĂ , salaud, je vais te traire, tu aimes ça hein ! tu vas juter ton foutre dans la bouche de ta femme ! Ik hou van je sperma en de smaak ervan in mijn mond (j’aime ton sperme et son goĂ»t dans ma bouche) ! Et Ă tous les coups, elle me faisait jouir, recueillant les giclĂ©es de semence sur son visage, ses lèvres, et dans sa bouche.Et je la regardais, belle, nue, le visage engluĂ© de sperme, le sourire Ă©clatant, venant Ă se frotter Ă moi, empoissant mes lèvres, mes joues et ma bouche de mon foutre chaud et salĂ©.Elle adorait regarder ce moment de violence, c’est un moment de possession de l’autre. Elle n’en abuse point pour autant, elle n’est pas femme qui cherche le pouvoir sur les autres, mais pour autant, voir la partenaire se laisser ainsi aller est source d’un plaisir intense.Lentement, dans les deux couples, les choses s’étaient mises en place. Les week-ends, les vacances se passaient souvent ensemble de plus en plus librement, et des baisers sur la bouche ou un geste d’envie se passaient sans problème devant les autres.Les nuits, lorsque les enfants n’étaient pas lĂ , les portes des chambres restaient souvent ouvertes, et lorsque l’un ou l’autre allait chercher Ă boire, il s’arrĂŞtait, curieux, devant l’autre chambre, et regardait en souriant l’autre couple prenant son plaisir…J’entends encore Laurie me souffler Ă l’oreille en riant :— Mijn zus kijkt toe hoe je pik me penetreert, en ik denk dat mijn man ook erg geĂŻnteresseerd zou zijn (ma sĹ“ur regarde comment ton sexe me pĂ©nètre, et je crois que cela intĂ©resserait aussi beaucoup mon mari) ! Alors, excitĂ©, je m’enfonçais plus loin en elle, plus profondĂ©ment, augmentant l’ampleur de mes mouvements, cherchant Ă lui arracher de petits gĂ©missements, fouillant en tournant pendant que mes testicules, se frottant Ă ses lèvres sexuelles, venaient battre l’intĂ©rieur de ses cuisses et frapper la rosette de son anus. Les aller-retour se faisaient plus amples, toujours sur un rythme assez lent, histoire de ne pas faire monter trop vite la pression.Je me redressais sur mes bras, de façon Ă bien dĂ©gager la vue sur mon sexe et la vulve, et dĂ©gager le bassin se projetant Ă la rencontre du phallus et offrant Ă sa sĹ“ur le spectacle de sa possession.J’aimais voir mon Ă©rection humide glisser en elle, elle suivait mes mouvements, sursautant, se crispant quand la pĂ©nĂ©tration se faisait plus puissante ou plus rapide, puis elle se relâchait, et suivait le mandrin s’enfoncer profondĂ©ment entre ses cuisses, acceptant l’indicible.Son orgasme arrivait lentement, je la prĂ©parais minutieusement, lui arrachant les petits cris qui m’indiquaient son niveau de plaisir, puis je m’insĂ©rais, doucement, enfouissant mon membre dans la gaine chaude, tournoyant pour bien caresser les pourtours striĂ©s du vagin puis lors du premier petit mugissement, je forçais plus sèchement, par Ă -coups, rentrant et sortant plus puissamment, distendant le fond de son sexe, Ă©crasant mon gland contre le col de l’utĂ©rus. Je me retenais avec plaisir, bloquant la montĂ©e du sperme. Alors elle grognait, voulait ĂŞtre arrosĂ©e, et je sentais les griffes de ses mains m’empoigner les fesses, me griffer.— Allez ! viens ! gicle ! Kom ! Spuit je sperma in mijn kut ! Ne me fais pas attendre ! Donne-moi ton jus ! tu ne traĂ®nerais pas si longtemps si tu devais juter dans mes sĹ“urs, salaud ! Et alors un de ses doigts s’insinuait entre mes fesses et s’enfonçait en moi profondĂ©ment, voulant me forcer Ă dĂ©gorger puissamment au fond d’elle. Mais le plaisir de ce doigt me visitant me plaisait trop, et je retardais l’instant de ma jouissance. C’était un moment de rĂŞve… un plaisir de roi !Alors je la prenais plus violemment, donnant de secousses puissantes en elle, qu’elle compensait par des mouvements plus violents de son doigt et, ne tenant plus devant ses va-et-vient rapides et profonds dans mon rectum, je lui disais de patienter, que je n’étais pas prĂŞt, qu’il fallait attendre que mon plaisir monte. Alors elle m’insultait, me grondait, me suppliait de dĂ©gorger en elle, de la mouiller, de lui faire sentir la chaleur de mon foutre, elle me traitait d’impuissant, comment la laisser dans cette attente ? Comment ne pas avoir de vider ses couilles en elle ?— Allezzzzz ! Vide tes couilles ! Ensemence-moi ! donne-moi ton jus ! Fais-moi jouir (ga je ballen leegmaken ! Zaad mij ! Geef me je sap ! Laat me klaarkomen) ! Alors j’eus pitiĂ© d’elle…— Ah, tu es un monstre ! je sens que ça monte… !Et me laissant aller, je me relâchai et vidai mes testicules ensemençant de sperme la mouille qui sourdait de sa vulve et engorgeait le fond de son vagin.— Oh, je cumshot in mijn vagina maakt me gek ! We voelen de warmte van je sperma zich verspreiden (oh ! ton Ă©jaculation dans mon vagin me rend folle ! Je sens la chaleur de ton sperme se rĂ©pandre) ! — Het is een genoegen om mijn ballen in je kut te legen, mijn liefste (c’est un plaisir de vider mes couilles dans ton con, ma chĂ©rie) ! lui murmurais-je.— Oh ! Vulgaire zwager ! als ik een lul had, verzeker ik je dat ik niet zou aarzelen om hem in je kont te steken (oh ! Vulgaire beau-frère ! Si j’avais une bite, je t’assure que je n’hĂ©siterais pas Ă te l’enfoncer dans le cul moi aussi) ! — J’aimerais peut-ĂŞtre bien cela ! Une sodomie par une belle-sĹ“ur ! Malheureusement, tu n’as pas ce qu’il faut pour ça ! rĂ©torquais-je ! ***Je revins le lendemain matin. Éric Ă©tait parti et Laurie Ă©tait seule. Elle me regarda avec un petit air complice :— Alors le spectacle t’a plu hier matin ? J’ai l’impression que tu n’es pas restĂ© de marbre ! — Ah ? Je ne vois pas ce que tu veux dire ! — Oh, hypocrite ! j’ai bien vu que tu nous regardais hier matin, et tu es restĂ© jusqu’à ce que mon mari Ă©jacule en moi ! Tu m’as rendue folle Ă nous regarder ! J’ai vu qu’Éric s’était rendu compte que tu le regardais, mais il a continuĂ©, excitĂ© que tu regardes son sexe me pĂ©nĂ©trer. Je la regardai avec un petit sourire !— Ah, tu as vu ! Mais je t’assure que si tu avais Ă©tĂ© sur ton mari et que tu avais prĂ©sentĂ© tes fesses, je t’aurais prise par-derrière en mĂŞme temps que lui ! — Ohhh ! tu es un monstre, toi ! Je dois dire que je n’ai pas encore essayĂ© cela !Puis, changeant de sujet :— Daniel, viens voir ! j’ai continuĂ© Ă ranger les livres et je suis tombĂ©e sur deux petits carnets assez intimes qui doivent dater de mes arrières grands-parents ! — Ah, tu sais, cela existe dans toutes les familles ces petits cahiers secrets ! D’ailleurs, ne sommes-nous pas nous-mĂŞme occupĂ©s Ă en Ă©crire un nouveau ? — Oui, tu as raison, mais je me demande si je dois y raconter tout ce que nous faisons Ă deux ! Tu sais, entre beau-frère et belle-sĹ“ur, c’est quand mĂŞme considĂ©rĂ© comme un inceste ! — Laurie, moi, je raconte tout, mĂŞme les dĂ©tails intimes avec toi, et tant mieux pour la personne qui le dĂ©couvrira plus tard et le lira ! Il verra que nous n’étions pas des complexĂ©s ! — Ça me fait quand mĂŞme peur, Daniel, si quelqu’un de la famille trouvait cela ! … — Et que racontent ces petits carnets, Laurie ? — Attends, je vais te lire un passage, mais c’est assez… euh… Intime ! C’est le livret de mon arrière-grand-père Livio qui a Ă©pousĂ© Lenny, mais ils ont eu chacun une relation avec leur cousin et cousine Diane et Lucas. Ici, c’est Livio qui parle de sa cousine Diane. Laurie alla chercher un petit carnet entoilĂ© dans le tiroir de son bureau. Celui-ci possĂ©dait une petite serrure qui permettait de le fermer, mais dont la clef manquait. Laurie l’ouvrit Ă la page oĂą se trouvait un signet. La calligraphie Ă©tait magnifique, Ă©crite encore Ă la plume.Elle attendit un moment et commença Ă lire :Avril 1935Je m’approchai du lit, me mis sur le dos et demandai Ă ma chère cousine Diane de m’enjamber et de venir dĂ©poser son entrejambe sur ma bouche. J’avais envie de la goĂ»ter. Ce sont Ă notre Ă©poque des pratiques dĂ©fendues, tout comme la femme qui prend dans sa bouche le sexe de l’homme. Comment bien se connaĂ®tre si on ne profite pas entièrement du corps de l’autre ?J’avais eu la chance de consulter des livres de mĂ©decine, et de dĂ©couvrir pas mal de choses concernant les corps des femmes.En se retournant, elle s’exĂ©cuta, sans se faire prier, heureuse de me faire autant d’effet. Elle releva ses longues jupes et les retint au-dessus de ses genoux. Elle n’avait pas de dessous et je devenais fou chaque fois que je la voyais nue, les cuisses ouvertes et sa vulve bâillant doucement, me dĂ©voilant l’entrĂ©e de son intimitĂ©. S’abaissant, elle Ă©crasa sa vulve sur le bas de mon visage, enfouissant l’entrĂ©e de son vagin sur mes lèvres. Je commençai par Ă©carter ses petites lèvres avec ma langue, remontant dans la fente lui lĂ©cher le clitoris, ensuite, je passai Ă sa vulve en imaginant que quelques minutes plus tard, je m’occuperais de son anus avec autre chose que ma bouche ou mes doigts.Je parsemais son sexe de vifs coups de langue, puis lui mordillai les lèvres vaginales. Nous bravions les interdits de notre Ă©poque ! Le contact de la bouche et du sexe Ă©tait chose dĂ©moniaque !Puis, je la fis s’allonger sur le ventre, les cuisses ramenĂ©es contre son buste. Me redressant, je jouai avec sa rosette, la titillant du bout de mon sexe, faisant passer mon gland entre ses fesses… Nos fluides commencèrent Ă se mĂ©langer vraiment. Le jeu ne dura pas plus de cinq minutes. Je la sentais très rĂ©ceptive et très ouverte, je lui fis Ă©carter les jambes et, d’une longue poussĂ©e, la pĂ©nĂ©trai avec force.Comme toujours, c’est au meilleur moment que l’on est dĂ©rangĂ©, et Ă ce moment, sans doute Ă la recherche d’une chambre libre, la porte s’ouvrit et ma sĹ“ur Lenny pĂ©nĂ©tra avec Lucas le frère de Diane. J’étais trop occupĂ© pour prĂŞter attention Ă ces cousins qui s’immobilisant nous regardèrent de tous leurs yeux.Alors sans complexe, et devant ma sĹ“ur et le frère de Diane, je la pilonnai encore et encore, profondĂ©ment, amplement. D’abord le sexe, ensuite l’anus. Elle pleurait tant l’afflux de sensations Ă©tait vif. Son sexe apparaissait comme une fleur Ă travers les voiles de ses jupes. Elle dodelinait de la tĂŞte. J’aimais la voir perdre tout contrĂ´le. Cela me rendait fou, ivre de dĂ©sir pour cette petite chose fragile, mais si dĂ©terminĂ©e et si forte, finalement. Et puis, et surtout, j’avais envie de voir ses yeux saphir se voiler. Sa poitrine se soulever de plus en plus vite. Elle sentit mon membre se raidir plus encore et investir totalement son rectum pour après quelques puissantes poussĂ©es dĂ©gorger tout mon foutre en elle… Il Ă©tait doux, liquide, et abondant. Ensuite, elle se servit Ă nouveau de ses doigts Ă elle pour prolonger son orgasme. Elle se branla le clitoris en regardant sa cousine Lenny et le spasme arriva au moment oĂą elle prit un peu de sa mouille pour la mĂ©langer Ă mon sperme et s’en badigeonner les seins… Mon sexe me faisait mal, les pulsions de l’orgasme m’avaient vidĂ©. Je revoyais mon sexe rentrer et sortir de son anus, cherchant profondĂ©ment le fond de cette gaine interdite pour y gicler ma semence.Laurie me regarda avec curiositĂ© après avoir lu ce petit passage.— Alors, mon beau-frère, tu en penses quoi ! — Tonnerre ! C’est du pur porno cette histoire ! — Ah parce que tu crois qu’ils Ă©taient plus sages que nous il y a cinquante ans ? Écoute le passage Ă©crit par la cousine Diane Ă la mĂŞme date :Avril 1935Livio Ă©tait nu couchĂ© sur le dos. Son sexe en Ă©rection se dressait contre son ventre. Le gland Ă moitiĂ© dĂ©capuchonnĂ© laissait voir le mĂ©at qui s’entrouvrait comme un poisson qui respire. Il m’excitait, cette bite que j’allais m’offrir, et qui allait s’enfoncer en moi me remplissait dĂ©jĂ en entier. J’approchai mon sexe de son visage, et je plaquai ma vulve contre sa bouche, pressant mon sexe contre ses lèvres. D’un coup de langue, il ouvrit mes lèvres, trouvant l’entrĂ©e du vagin et les replis des chairs cachant mon clitoris. Sa bouche se perdit dans les replis de peau de ma vulve, sa langue remontait sur le clitoris, s’enroulait autour puis redescendait en s’enfonçant dans l’ouverture de mon vagin, m’arrachant des gĂ©missements de plaisir.Soudain, la porte s’ouvrit brutalement, et Lenny entra avec Lucas. Celle-ci regarda son frère en Ă©rection et sa cousine Diane.Alors Livio me saisit, me retourna sous lui, renversĂ©e sur le dos, les jupes bien remontĂ©es. Ma nuditĂ©, bien Ă©talĂ©e de la ceinture aux genoux, offrait un charmant spectacle, bien propre Ă exciter mon cousin Lucas. Tout cela Ă©tait pour inspirer l’amour et le dĂ©sir de baisage.Saisissant sa verge, il l’agita du haut en bas dans ma vulve, puis l’ayant trempĂ©e quelques fois dans la cyprine de mon vagin, il me pilonna violemment devant sa sĹ“ur, puis changeant d’ouverture, d’une poussĂ©e il l’insĂ©ra dans ma rosette anale, l’enfonçant en quelques poussĂ©es au fond de mon rectum.Il s’agitait avec puissance, m’ouvrant complètement au diamètre de sa verge, limant les parois de mon anus.Je n’attendais que d’être remplie, et une vague de chaleur monta dans le bas de mon ventre que je sentais devenir chaud et humide et beaucoup plus sensible.Ă€ ce moment-lĂ , mes yeux se rĂ©vulsèrent et je sentis comme une urgence Ă ĂŞtre remplie.Le va-et-vient de mon adorable cousin me rendit folle et il ne put se retenir longtemps, et je jouis rapidement, acceptant les giclĂ©es de sperme entre mes fesses.C’est lĂ que je remarquai Lenny et mon frère qui nous regardaient, et je ne rĂ©alisai mĂŞme pas que Livio changeait d’orifice. D’une poussĂ©e, il investit mon vagin trempĂ©. Il me tringla avec une telle vĂ©locitĂ© que je me tordis et me pâmai. La cyprine me trempait ! C’était un dĂ©lire de gestes lascifs et de sauts, oĂą l’ardeur passionnĂ©e nous gagnait de plus en plus. On s’attrapait Ă bras-le-corps pour se baiser sur la bouche, se proposer mille tendresses.On aurait dit que Livio s’excitait encore plus sous les yeux de son cousin et de sa sĹ“ur. Ma main trouva la fente entre ses fesses, et forçant son anus d’un doigt vigoureux, je lui enfonçai mon majeur dans le rectum. Il se redressa en gĂ©missant pendant que j’agitais celui-ci dans ses fesses. Je n’arrĂŞtai que lorsque je sentis un orgasme le submerger Ă nouveau.Livio avait trouvĂ© dans la bibliothèque d’un grand-oncle qui Ă©tait mĂ©decin, un petit opuscule sur les dĂ©viances de la sexualitĂ©, qui parlait notamment de la sodomie, et de sa pratique en temps de guerre, Ă©vitant ainsi aux femmes de tomber enceintes. Il avait voulu mettre en pratique et essayer avec moi cette nouvelle ouverture aux plaisirs. Et… j’avais adoré !Laurie s’arrĂŞta en me regardant…— Eh bien ! Ils ne s’ennuyaient pas ces cousins ! dit Daniel… — Et nous, on s’ennuie ? demanda Laurie. Nous, en plus on ne s’ennuie pas, et en plus on pratique l’inceste, ce qui n’était pas le cas chez eux ! Moi je les admire d’avoir fait ça Ă cette Ă©poque ! Mais c’était aussi un Ă©change entre cousins et cousines comme nous entre beaux-frères et belles-sĹ“urs ! — Parfois, Diane complète au fil des jours ce qu’elle ressent, parle de ses envies et de son cousin Livio et de Lenny ! Les deux cousines entretenaient aussi des relations charnelles ! Écoute ! :Nous n’avions pas la chance de voir nos cousins toutes les semaines, par contre le contact entre cousines Ă©tait plus facile, nous allions en effet au mĂŞme collège.Lenny passait rĂ©gulièrement Ă la maison, et souvent une promenade nous permettait de nous retrouver seules.Les contacts dans les dortoirs Ă©taient Ă©videmment interdits, et les filles devaient dormir avec les bras au-dessus des draps… Ă©vitant ainsi la possibilitĂ© de se toucher.Souvent en pleine nature, Lenny, un peu sevrĂ©e de ses charnelles habitudes, s’affolait ; elle quittait sa robe, et, en petit jupon, sans corset, elle me prĂ©sentait ses petits seins, pour que je les tète. Elle s’accroupissait Ă cheval sur mes cuisses pour me branler en se branlant elle-mĂŞme, clitoris contre clitoris. Je la suppliai de se laisser gougnotter, elle se jetait alors en soixante-neuf sur moi pour ne rien perdre de son ivresse sensuelle. Alors nos deux langues se mariaient, fonctionnant Ă merveille. On apercevait, au milieu des rondeurs blanches des fesses et des cuisses, les tĂŞtes qui Ă©mergeaient et se noyaient dans la fougue des ardentes caresses ; de longs soupirs, de profonds halètements s’entrecroisaient, les jupons et les chemises s’entortillaient, les lèvres se prĂ©cipitaient sur les ouvertures, les fentes, humant, lĂ©chant : le plaisir ne cessait de s’accroĂ®tre. Ah, quels dĂ©lices de se sentir aussi amoureuses l’une de l’autre, et d’apprĂ©cier avec la mĂŞme fièvre ces chairs secrètes, vibrant sous la passion, se magnifiant sous les dĂ©sirs qui les enflammaient !On se reconnaissait sĹ“urs en volupté ! Lenny, cette petite mijaurĂ©e des annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, qui s’indignait Ă l’idĂ©e qu’une langue se promènerait entre ses cuisses ou dans la fente de son cul, enfonçait maintenant la sienne au plus profond de mes fesses, criant qu’elle Ă©tait heureuse de me faire une feuille de rose, et sa langue ne quittait l’anus que pour voltiger sur mon con, mon clitoris et l’entrĂ©e de mon vagin.— Mon Dieu, elles ont eu de la chance de ne pas se faire prendre ! Ă€ cette Ă©poque, elles auraient terminĂ© leur vie au couvent ! — Oui, je crois aussi ! Tu me passeras les livrets, je les lirai ce soir ! dit Daniel en regardant Laurie. Alors me tournant vers elle et reprenant la conversation interrompue, je lui demandai dans sa langue maternelle :— En jij, heeft iemand het aangedurfd om je te sodomiseren (et toi, est-ce que seulement quelqu’un a osĂ© te sodomiser) ?Laurie se tourna vers moi :— Oui, plusieurs ont essayĂ©, mais la brutalitĂ© qu’ils ont employĂ©e m’a rebutĂ©, et j’ai refusé ! Pourtant j’aimais beaucoup l’idĂ©e. J’imaginais l’introduction dĂ©licate, tu sais le moment oĂą l’on sent cette prise de possession de l’homme, son corps qui se couche sur ton dos, te couvrant entièrement, son Ă©rection qui se plaçait face Ă tes fesses, cette matraque de chair oscillante, laissant dĂ©jĂ perler un dĂ©but de sperme, puis le glissement du gland et cet enfouissement du cylindre de chair qui te disjoint les fesses et s’enfonce, s’encastre dans ta gaine anale. Sa voix prenait des tonalitĂ©s anxieuses qui rendaient compte de son stress et de ses envies. Alors elle se livrait encore plus :— Puis, l’étĂ© passĂ©, nous sommes allĂ©es avec mes sĹ“urs Lise et Sylvie Ă Amsterdam. On en a profitĂ© pour aller voir quelques films un peu hard, et le soir on a aussi assistĂ© Ă quelques shows rĂ©els avec de vrais acteurs. C’était affolant de rĂ©alisme, et souvent, dans mes fantasmes ou lorsque je me caresse, je m’imagine Ă la place de l’actrice… Elle se plaçait Ă genoux, les fesses relevĂ©es et appuyĂ©e sur les coudes. Je voyais l’acteur regarder sa queue changer d’orifice et s’appuyer contre son sphincter oĂą cette poussĂ©e forçant l’anneau de l’anus s’enfonçait entre ses fesses pour s’y loger, s’y agiter, se servir de son fourreau pour se masturber au plus profond de son rectum, se caresser, se faire jouir et finalement Ă©jaculer… Je me sentais comme un puits, dans lequel on s’encastrait pour se dĂ©verser, pour y « dĂ©gorger votre foutre » comme vous dites vulgairement, pour nous remplir de votre semence ! tu sais, les Hollandais sont moins prude que nous ! Puis me fixant dans les yeux, elle continua :— Ce tube de chair qui s’enfonce en toi, tu ne sais pas ce que cela reprĂ©sente pour une femme. Cette sensation d’être Ă©cartelĂ©e, d’être ouverte en deux. L’actrice s’offrait vraiment aux spectateurs. Nue, elle Ă©tait lĂ©chĂ©e, sucĂ©e, des bouches se posaient sur son sexe, ouvraient ses lèvres intimes puis la langue s’enfonçait en elle. Je dois te dire qu’on s’est souvent serrĂ© les mains avec mes sĹ“urs ! Puis on lui relevait les jambes, continua-t-elle, dĂ©couvrant sa vulve et son anus, et sans lui laisser le temps de rĂ©agir, la verge se poussait dans son cul et en quelques mouvements s’enfonçait jusqu’au fond d’elle, sous les yeux des acteurs qui attendaient leur tour, des spectateurs et de leur femme. Nous avons vu des filles se faire sodomiser par plusieurs hommes les unes après les autres. Alors elle reprenait assez excitĂ©e :— J’aime bien cependant l’idĂ©e que l’homme jouisse en moi, me viole un peu et m’inonde l’anus de son sperme, puis se retire et qu’un autre prenne sa place et qu’ils se succèdent ainsi Ă plusieurs, trempant leur sexe dans le sperme de l’autre. Cela m’excite beaucoup quand j’y pense. Je me sens prisonnière, et puis ces coulĂ©es chaudes de leur foutre dans mon rectum, et leur verge qui sort blanchie par le sperme du prĂ©cĂ©dent ! ***Le rĂ©veil sonna soudainement !Ouvrant les yeux, je me rĂ©veillai, les pensĂ©es confuses, des images plein les yeux. Ma femme me regarda en m’interrogeant :— Tu as bien dormi, Daniel ? Tu as l’air tout perturbé ! Je ne crus pas bon de lui cacher mes pensĂ©es et mes rĂŞves, on avait trop l’habitude de parler de cela.— J’ai fait des rĂŞves assez chauds de ta sĹ“ur, et je dois te dire que j’ai de nouveau bien envie d’elle ! — Ah ! me dit-elle en souriant ! Et quoi de particulier ? — Je me suis souvenu qu’à l’époque, elle m’avait expliquĂ© pourquoi elle n’avait jamais essayĂ© la sodomie… pas prĂŞte, les mecs pas spĂ©cialement doux, et puis c’est aussi l’époque oĂą on a arrĂŞtĂ© les vacances, et plus rien ne s’est passĂ© entre nous ! Laurie sembla rĂ©flĂ©chir…— Mais… tu as encore un peu de travail Ă terminer chez elle ? Donc, il te reste toutes les possibilitĂ©s de… — Oui, j’aurais dĂ» commencer hier, mais en entrant dans la maison, ce cher petit couple Ă©tait occupĂ© Ă autre chose ! — Oh, ils faisaient l’amour et tu as regardĂ©, bien sĂ»r ! — Eh bien, je n’aurais pas su faire autrement en pĂ©nĂ©trant dans la chambre ! Tu sais, ils ne m’ont pas vu. Ta sĹ“ur Ă©tait couchĂ©e sur le dos, les jambes ouvertes vers moi, et son mari Ă©tait couchĂ© sur elle, la pĂ©nĂ©trant doucement… Ça ne m’a pas laissĂ© indiffĂ©rent… — Ah ! ah ! C’est pour cela que tu Ă©tais si chaud en rentrant ! Mais, dit-elle en riant, elle avait bien prĂ©parĂ© son coup ! Elle savait que tu regardais Éric la baiser, et Éric le savait sans doute aussi ! Tu sais bien que c’est un de ses fantasmes, c’est d’être regardĂ©e par d’autres personnes ! — Euh… euh…Me regardant, elle me dit :— Eh bien, tu y retournes après-demain. Je crois qu’Éric va passer une partie de la journĂ©e avec moi et qu’il ne sera pas chez lui. Tu auras la journĂ©e avec ma sĹ“ur, et tu pourras peut-ĂŞtre lui faire ce qu’elle n’a jamais essayé ! De toute façon, je vais lui tĂ©lĂ©phoner… et lui expliquer ! — Lise ! Enfin ! tu ne vas pas faire ça ! Rejetant la couverture, elle descendit doucement sa fine chemise de nuit et s’agenouilla devant moi. Saisissant ma main, elle la posa sur mon sexe en me fixant dans les yeux :— Je suis sa sĹ“ur, et je fais ce que je veux ! Maintenant Daniel… je vais te libĂ©rer un peu de la pression que je sens en toi ! Dans peu de temps, tu dois ĂŞtre en forme ! Prends ton sexe et branle-toi devant moi !— Mais, Lise ! … — Masturbe-toi devant moi ! dit-elle. Tu sais que j’adore cela ! Surpris, lentement je saisis mon sexe, et prudemment, par de longs mouvements je commençai Ă me masturber devant ma femme. Je voyais qu’elle fixait mon Ă©rection et le gland qui surgissait lorsque le prĂ©puce se retirait. Un peu gĂŞnĂ©, je continuai quand mĂŞme, trouvant excitant de la voir me regarder.Puis posant sa main sur la mienne, elle accompagna un temps le va-et-vient. Je retirai ma main pour la laisser faire et elle continua la masturbation, enserrant le membre chaud entre ses doigts.Elle recouvrait mon gland avec la fine peau du prĂ©puce, s’arrĂŞtant parfois pour le dĂ©calotter et le frotter entre son pouce et son index, rĂ©partissant le liquide suintant du mĂ©at sur la tĂŞte du gland jusqu’au gros bourrelet d’oĂą se prolongeait la puissante tige de la verge. Elle dĂ©gagea ses seins du dĂ©colletĂ© de sa combinaison, que je puisse profiter de leur vue, et elle en approcha leur pointe du gland Ă©rigĂ© qu’elle frotta ainsi doucement.Au bout d’un moment, placĂ©e ainsi Ă genoux avec le visage Ă quelques centimètres du sexe, je vis son envie de le gober. Elle arrĂŞta la caresse et saisit le sexe dressĂ© qu’elle prĂ©senta devant ses lèvres. Je la regardais et elle se retourna vers moi qui l’observais, fou d’excitation, et je lui fis un signe d’acquiescement. Alors elle commença par embrasser mon gland offert, Ă le lĂ©cher, Ă passer sa langue sur son pourtour.— Il n’y a pas Ă dire, voir une bite, c’est excitant, mais l’observer se dĂ©ployer et augmenter de taille c’est affolant ! Elle fit durer longtemps son attente, continuant Ă m’agacer de ses lèvres, de ses dents et de sa langue, avant de l’absorber enfin au plus profond de sa bouche, montant et descendant sur la hampe et le gland superbement dilatĂ©. Elle se hissa un peu plus haut et plus verticalement et entreprit de me masturber avec sa gorge, au-delĂ de la luette, faisant pĂ©nĂ©trer le gland profondĂ©ment. Mes râles lui firent sentir les signes prĂ©monitoires de l’orgasme, elle sentit le sexe se gonfler. Elle accĂ©lĂ©ra ses mouvements et bientĂ´t j’éclatai dans sa bouche, rĂ©pandant un flot de semence trop longtemps contenu. Elle m’avait ramenĂ© Ă la hauteur de son palais pour pouvoir respirer et s’appliquait Ă avaler tout le jus au fur et Ă mesure que le gland dĂ©gorgeait et rejetait le liquide chaud sur sa langue et contre ses joues.Je ne l’avais pas quittĂ©e des yeux, synchronisant ma jouissance avec ses mouvements de gorge ingurgitant le sperme.Elle m’embrassa sur la bouche de ses lèvres encore souillĂ©es des traces que j’y avais laissĂ©es en y dĂ©versant mon Ă©jaculat chaud et gluant.Puis elle se leva, satisfaite du plaisir donnĂ©, et fila dans la salle de bain oĂą l’on entendit bientĂ´t l’eau couler sous la douche.***Le lendemain, je mis du temps Ă retrouver mes idĂ©es. Donc, demain, Éric ne serait pas chez lui, et je savais que Laurie avait dĂ©jĂ tĂ©lĂ©phonĂ© Ă sa sĹ“ur pour la prĂ©venir que je viendrais achever la menuiserie.J’avais bien des idĂ©es sur ce qu’il se passerait, mais comme toujours, s’il elle n’était pas en forme, elle pourrait refuser et ne pas accepter ce que je voulais essayer avec elle.Le matin, mon Ă©pouse m’avait regardĂ© en souriant :— Daniel, tu as ta journĂ©e pour savoir ce que tu vas faire avec ma sĹ“ur demain ! Je suis curieuse, donc ce soir je te poserai des questions ! Mais je crois que ma sĹ“urette est bien disposĂ©e Ă ton Ă©gard ! J’avais bien rĂ©flĂ©chi, et l’idĂ©e de lui faire connaĂ®tre la sodomie ne m’avait pas quittĂ©. De violentes Ă©rections m’avaient perturbĂ©, mais je ne voulais pas me caresser de façon Ă garder toutes mes forces pour cette journĂ©e.Laurie le soir m’avait bombardĂ© de questions, et heureusement elle m’avait bien drivĂ© parce que je me rendais compte que je ne savais pas trop comment m’y prendre pour sodomiser ma belle-sĹ“ur la première fois !Enfin ! Cela ne devait pas ĂŞtre beaucoup plus difficile que de lui faire l’amour ! Beaucoup de douceur, de la patience, de la prudence, me disait ma femme au vu de ma longueur et de l’épaisseur du gland qui aurait du mal Ă passer si elle Ă©tait Ă©troite…Je retrouvais bien ma petite femme, qui sans complexe m’expliquait comment enculer ma belle-sĹ“ur et, euh… sa sĹ“ur ! Elle avait l’art de m’exciter ! Il faut dire qu’elle avait une sĂ©rieuse avance avec Éric, et j’étais certain que la sodomie ne lui posait plus de problèmes ! Demain soir, elle me poserait un tas de questions pour savoir si je m’étais bien dĂ©brouillé ! Mais je savais que Laurie lui raconterait tout !J’allais retrouver ce petit corps que j’adorais tant ! On aurait une journĂ©e ensemble et j’espĂ©rais qu’elle aussi aurait le plaisir de me retrouver et de se laisser aller Ă nouveau !***7 h, Lise Ă©tait dĂ©jĂ levĂ©e !— Debout Daniel ! aujourd’hui, c’est le grand jour, tu sautes sous la douche et tu te fais beau comme un dieu ! — Lise ! S’il te plaĂ®t, ne me stresse pas ! C’est non seulement ma belle-sĹ“ur, mais c’est ta sĹ“ur aussi ! Et si tu te souviens bien, c’est non seulement un adultère, mais aussi un inceste au deuxième degré ! — Daniel ! Enfin ! tu sais bien que l’adultère ne nous a jamais rebutĂ©s, ni toi, ni moi ! Et l’inceste, il y a dĂ©jĂ longtemps que je le pratique aussi avec mon beau-frère ! Donc je ne vois pas pourquoi tu en ferais un problème avec ta belle-sĹ“ur ! Il y a juste un petit changement aujourd’hui ! — Ah ? Lequel ?— Daniel ! C’est qu’après lui avoir fait l’amour, tu vas lui faire dĂ©couvrir autre chose ! tu vas changer de trou, et la sodomiser ! — Lise ! tu es affreuse ! On dirait que tu as envie d’y assister ! — Oh, si j’avais le temps, je ne dirais pas non ! Te voir l’enculer me ferait de l’effet ! Voir ton sexe s’enfoncer dans…— Lise ! Stop ! Elle me regarda en riant :— OK ! OK ! tu me raconteras, sinon je lui demanderai comment cela s’est passé ! Voilà  ! j’étais bon pour la journĂ©e ! Et mon placard lĂ -dedans, il fallait aussi qu’il avance ! Mais pour le moment, il Ă©tait loin de mes pensĂ©es !J’avais l’impression que je n’y arriverais jamais… je ne roulais pas vite ! Pourtant je devais y parvenir ! Ma belle-sĹ“ur m’attendait ! Mais j’avais l’impression que cette voiture n’avançait pas.Finalement, je dus freiner, la maison se prĂ©sentait devant moi.J’étais dĂ©jĂ en Ă©rection, les vers de Piron dans son chapitre des cordeliers sur le vit rĂ©sonnaient en moi et me firent sourire :Quel maĂ®tre vit ! c’est mieux qu’un vit de carmeGrosseur, longueur, il a tout amplement.Qu’on doit bien foutre avec tel instrument,Et qu’en un con l’on doit faire vacarme. Parmi les vits elle serait gĂ©nĂ©raleSi l’on devait en former une armĂ©e,Et l’on verrait ce sceptre monacalEn peu de temps digne de renommĂ©e.Fermant la voiture, j’approchai de la maison et d’une poussĂ©e de la main, j’ouvris la porte !— Daniel ! C’est toi ?— Oui, Laurie, c’est moi ! je ne suis pas trop tĂ´t ? — Mais non ! Mon beau-frère n’est jamais trop tĂ´t ! dit-elle en Ă©clatant de rire ! Cela fait si longtemps que l’on ne s’est plus vu seulement Ă deux !— C’est vrai, Laurie, et ça m’a bien manquĂ© tu sais, mais avec les enfants, les mois passent vite et ce n’est pas toujours facile ! Assez grande, mince, cheveux bruns, Laurie avait des petits yeux qui pĂ©tillaient toujours quand elle vous regardait, un peu comme si elle attendait une rĂ©ponse Ă une question qu’elle n’avait pas posĂ©e.Elle conservait un corps bien proportionnĂ© qu’elle savait entretenir avec une collection de petits flacons multicolores parfaitement alignĂ©s dans sa salle de bain.Les petites rides qui se dĂ©veloppaient aux coins de ses yeux quand elle souriait en inclinant lĂ©gèrement la tĂŞte lui donnaient un adorable petit air coquin. Enfin, Daniel l’aimait bien, cette belle-sĹ“ur, sĹ“ur cadette de sa femme.Et puis cette petite femme Ă©tait toujours de bonne humeur. EnjouĂ©e, elle vous faisait fondre rien qu’avec un sourire. Daniel avait toujours Ă©tĂ© attirĂ© par elle. Elle dĂ©gageait quelque chose de libre, de chantant, tout en Ă©tant très rĂ©servĂ©e. Elle se livrait peu, ou alors par demi-mots et sous-entendus.***Laurie s’approchant de moi glissa un bras autour de mon cou, et me fixa dans les yeux :— C’est vrai que je t’ai manqué ? me demanda-t-elle tout en glissant une main derrière mon cou et en attirant mes lèvres contre les siennes. Puis, glissant les doigts sur mon pantalon et me frĂ´lant Ă travers l’étoffe :— On va arranger cela tu sais, Daniel, je vais te redĂ©couvrir aussi ! Cela fait longtemps que cela me fait envie ! Puis je dois encore fĂŞter ton anniversaire ! J’ai vu Lise il n’y a pas longtemps, et elle a revu Éric il y a quelques jours ! — Ah ! je ne savais pas, elle ne m’a rien dit ! — Eh bien, je crois que cela se passe très bien entre eux, dit-elle en serrant plus fort les doigts ! Comme j’étais lĂ , ils sont restĂ©s ensemble sans me demander de partir, curieuse comme je suis, j’ai assistĂ© Ă tout. Viens, on va boire quelque chose ! — AssistĂ© Ă tout, demandais-je, que veux-tu dire !? — Eh bien, j’ai assistĂ© Ă ce que deux personnes qui s’aiment font ensemble ! — Quoi, ils n’ont tout de mĂŞme pas fait l’amour… devant toi ? Non ! je ne te crois pas ! — Mais oui, bien sĂ»r ! Et je t’assure qu’ils Ă©taient super excitĂ©s ! Et je n’ai jamais vu mon homme comme cela ! Je dois dire aussi que je n’avais jamais vu ma sĹ“ur s’offrir cuisses ouvertes face Ă une bite turgide et prĂŞte Ă copuler !— Lise… mais… c’est ma femme ! — Oui Daniel, mais c’est ma sĹ“ur ! Je n’osais pas imaginer la scène… Ma belle-sĹ“ur regardant sa sĹ“ur faire l’amour avec son mari ! Elle partit Ă la cuisine me chercher un bon cafĂ©.Elle revint et me regarda bizarrement. Elle tournait autour de moi, voulant m’expliquer par geste ce qu’elle dĂ©sirait. Et ses gestes se rapprochaient de moi, me frĂ´laient.— Daniel… tu ne vas tout de mĂŞme pas jouer les offusquĂ©s ! Cela fait longtemps que nos couples sont ensemble, et Lise et moi sommes très contentes de nos relations. Elle est excitĂ©e de savoir que… heuhh, disons-le franchement, que tu me baises, et elle me pose souvent des questions sur nos relations… tout comme je lui raconte mes relations avec toi ! Tu sais, on n’a pas de secret entre sĹ“urs ! — Quoi, vous nous comparez dans nos exploits au lit !— Daniel, ne sois pas bĂŞte ! Chaque homme est diffĂ©rent au lit ! Et vous savez assez bien donner du plaisir tous les deux ! Tu sais, Éric n’est pas lĂ aujourd’hui, donc nous avons tout le temps ! Et puis j’aurai le temps de te faire apprĂ©cier ton cadeau d’anniversaire ! Je dois dire que je me suis arrangĂ©e avec Lise ! — Comment ça, avec Lise ! Et elle se plaça derrière moi. Ses mains envahirent mon bassin, je les sentais partout…— Eh bien oui ! Lise connaĂ®t bien tes envies ! Et puis tu m’en as parlĂ© il y a quelque temps. Tu dois te faire Ă l’idĂ©e que tu as une femme et une belle-sĹ“ur ! Et que ta femme baise avec son mari, et que tu dois baiser avec ta belle-sĹ“ur ! Comme ça, l’équation est parfaite ! D’ailleurs… je vais t’en faire la dĂ©monstration !Elle attrapa ma ceinture et tira violemment dessus pour me rapprocher d’elle. Puis je sentis qu’elle ouvrait celle-ci, puis lentement la tirette de la braguette de mon pantalon. Avec une infinie douceur, elle baissa celui-ci.— Daniel, je voudrais bien que l’on recommence ensemble, j’ai souvent envie de toi ! Souvent, je rĂŞve de ce que l’on a fait ensemble et cela fait maintenant plusieurs annĂ©es qu’il ne s’est plus rien passĂ© entre nous. Mais les enfants sont grands, souvent partis, et ils prennent leurs vacances avec des amis. Nous avons encore de belles annĂ©es avec ma sĹ“ur et mon mari, et je voudrais encore qu’on en profite Ă quatre et avec mon autre sĹ“ur aussi si elle en exprime l’envie. Je sentis une envie folle se dĂ©velopper… Elle venait d’exprimer ce que j’avais envie de lui rĂ©vĂ©ler depuis longtemps.— Moi aussi, Laurie, je tiens encore tellement Ă toi, et l’on a encore tellement de choses Ă dĂ©couvrir ensemble ! Puis avec Sylvie, j’en ai parfois aussi envie… Je sentis Ă peine le pantalon glisser le long de mes jambes. Ma chemise dĂ©boutonnĂ©e tomba Ă©galement.Puis sans bouger, elle me regarda longtemps, me fixant, essayant de dĂ©couvrir ce que je pensais. Pour le moment, celui qui pensait Ă©tait plus bas que mon cerveau… et je le sentais s’étirer, se dĂ©velopper, prendre ses dimensions, et Laurie suivait l’augmentation de sa taille dans mes yeux.Il se dĂ©ployait, se fortifiait, manifestait son impatience devant cette femme, il se dĂ©ballait, je sentais le gland s’avancer, repousser le prĂ©puce…Lorsque Laurie Ă©valua la situation Ă son avantage, toujours en me fixant, elle glissa deux doigts de chaque cĂ´tĂ© du boxer et d’une poussĂ©e le glissa vers le bas. Il tomba sur le pantalon.Un air froid saisit soudain mon sexe et mes bourses, et sous ses doigts ces douces petites choses se rĂ©tractèrent violemment comme de petits escargots dans leur coquille.Laurie derrière moi commentait ses impressions !— Oh ! Elles sont timides, ces petites choses ! il y avait si longtemps… Elle approcha ses lèvres des miennes et son baiser me fit tressaillir. Pendant que sa langue se glissait dans ma bouche, sa main se glissa sous mes testicules en les empoignant, les palpant et les attirant Ă elle…— Hummm, ces petits amours ont froid, Daniel ?— Laurie ! Non, mais tu sais que c’est normal si… Je n’eus pas l’occasion d’achever ma phrase, elle saisit mon sexe de son autre main et pressa cette induration entre ses doigts en me susurrant :— Cela fait si longtemps que j’en rĂŞve ! Te faire bander ! Elle me branla sur quelques centimètres seulement, je respirais de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je sentais ses doigts m’enserrer.J’avais envie de lui dire : « Oui, c’est ça, continue, ma petite salope ». Mon sexe grossissait et devenait de plus en plus raide. Finalement, ces mots sortirent de ma bouche :— Encore Laurie, continue, plus vite, maintenant.Laurie sentait le petit mouvement de mes fesses se contracter Ă chacun de ses mouvements Ă elle. Elle sentait les testicules durs, très serrĂ©s.— Argh… c’est bien, petite garce, tu vas me faire venir ! ***J’adorais entendre Daniel se laisser aller.On a beau avoir Ă©tĂ© bien Ă©duquĂ©e, quand la tension monte dans le corps, c’est lui qui parle et qui commande !Je souriais en entendant ses paroles, il me traitait de salope, de garce ! Je serrais la bite de mon beau-frère, je l’avais pratiquement Ă ma merci. Je me sentais puissante, tellement puissante. Cette fois, je n’avais pas eu besoin de me masturber devant lui, ou de me dĂ©shabiller. Je l’avais excitĂ© juste Ă ma manière Ă moi, et lĂ , je le branlais comme je l’aimais. Cela faisait des annĂ©es que j’attendais cela, que j’en rĂŞvais. J’allais passer Ă l’étape finale, Ă prĂ©sent. Et tant pis s’il trouvait ça trop fort… Que trouverait-il Ă y redire, d’ailleurs ?Alors, sans lâcher son mandrin, je me plaçai devant lui, plantai mes yeux dans les siens. Puis, d’un geste rapide, je l’engloutis d’un coup, très loin, pratiquement dans le fond de ma gorge et plaquai son pubis contre mes joues. Un doigt dans ma vulve, je recueillis ma cyprine puis en frĂ´lant la rosette entre ses fesses, je lui introduisis la première phalange de mon majeur dans l’anus.Il eut un violent sursaut ! Plaisir, Ă©tonnement ou un peu de douleur ? Il se crispa et je sentis ses muscles enserrer mon doigt.— Ohhhh Laurie ! …Laurie sentait Daniel perdre pied. Tout son corps Ă lui Ă©tait parcouru de grands frissons. Il avait perdu sa superbe. Il n’était plus capable de dire quoi que ce soit de sensĂ©. Il n’était plus capable non plus de tenir solidement sur ses jambes. Elle le sentait vaciller. Elle ne se concentrait plus vraiment sur ce qu’elle faisait. Elle savait que son orgasme Ă lui ne tarderait pas, qu’au point oĂą il en Ă©tait, cela prendrait encore une ou deux minutes, maximum, s’il tenait jusque-là …— Laisse-toi aller Daniel… ton cadeau d’anniversaire commence !Puis Laurie enfonça lentement toute la longueur de son doigt et l’agita doucement et le sortant doucement elle caressa la prostate en ayant soin de ne pas dĂ©clencher son orgasme. Elle se redressa et, retirant son doigt, lui demanda de patienter un moment.Daniel reprenait ses sens, cette pratique amoureuse lui Ă©tait totalement inconnue. Son anus brĂ»lait de cette pĂ©nĂ©tration. Il ferma les yeux, redĂ©couvrant le plaisir puissant du doigt de sa belle-sĹ“ur.Lorsqu’il rouvrit les yeux. Elle se tenait lĂ , devant lui, Ă contre-jour. Et ce qu’il vit tout d’abord, ce sont ses Ă©paules bien charpentĂ©es, ses hanches larges rĂ©vĂ©lant son sexe, son ventre, ses longues cuisses, ses yeux qui, mĂŞme s’il n’était pas possible d’en distinguer la couleur puisqu’elle Ă©tait juste « une ombre », brillaient d’un Ă©clat gourmand. Son pubis noir bien dessinĂ© contrastait avec la clartĂ© de sa peau. Les voiles de ses petites lèvres franchissaient la frontière de son sexe, fripĂ©es comme une rose ancienne.Puis, elle se tourna lĂ©gèrement, comme pour se prĂ©senter Ă lui de profil. Et c’est lĂ qu’il distingua ses petits seins dont les tĂ©tons dardaient, et surtout, surtout, quelque chose dont il n’aurait jamais imaginĂ© la jeune femme se munir…Lui qui aimait les sous-vĂŞtements blancs, il fut presque choquĂ© de ce que Laurie portait. Une culotte noire. Pas un string, non. Une vraie culotte, mais « amĂ©liorĂ©e ». Un anneau d’environ cinq centimètres Ă©tait intĂ©grĂ© sur le devant du sous-vĂŞtement et dans celui-ci, un jouet noir, d’une vingtaine de centimètres de long, ne laissait aucun doute sur l’usage qui pourrait en ĂŞtre fait. Cela rĂ©veilla vraiment l’homme… Qu’avait donc prĂ©vu cette petite vicieuse ?— C’est bon ? Tu as fini de me regarder ? Ça t’excite un peu ? Eh bien, Daniel, c’est ton cadeau d’anniversaire, et je sais que tu vas aimer cette petite pĂ©nĂ©tration…— Laurie, c’est quoi ça !— Je pense que c’est exactement la taille qui te convient… Tu as dĂ©jĂ pratiqué ? Toi, un adepte de la sodomie ? Ton joli petit cul de beau-frère m’excite tellement… J’ai du lubrifiant. Du gel, ça te va ? Je la regardai. Je ne connaissais pas ce cĂ´tĂ© de Laurie ! Quelle perverse ! Rien qu’à m’imaginer ĂŞtre pĂ©nĂ©trĂ© par ce pĂ©nis en silicone alors qu’elle s’occuperait certainement de moi d’un autre cĂ´tĂ© avec ses mains me fit bander encore plus. Et la connaissant, je savais qu’elle raconterait tout Ă sa sĹ“ur avec moult dĂ©tails ! — Laurie… enfin, tu es ma belle-sĹ“ur ! Tout de mĂŞme ! je ne crois pas que Lise ait fait ça avec ton mari ! — Eh bien, mon cher, tu te trompes ! La sodomie est bien prĂ©sente dans tous les couples ! Donc je te propose de dĂ©couvrir cette pratique avec moi ! Mets-toi Ă genoux Daniel, je vais te lubrifier ! — Mais je ne… Alors Ă©levant le ton :— Daniel, retourne-toi, Ă genoux, et Ă©carte les jambes… Je m’agenouillai, sentant la punition proche si je n’obĂ©issais pas.— Ne bouge pas et laisse-toi faire. Ta femme n’était pas si compliquĂ©e avec mon mari ! Laurie attendit un moment et c’est d’un doigt très sĂ»r qu’elle lui enduisit de gel la rosette anale et commença Ă titiller son anus avec son majeur. Elle Ă©tait très douce, mais insistante. Elle n’allait pas trop loin dans l’orifice de l’homme, mais c’était assez pour qu’il se dilate de manière tout Ă fait spontanĂ©e et convaincante ! L’intromission s’annonçait idĂ©alement.Insistante, elle fouillait ce fourreau Ă©troit de son doigt, dĂ©couvrant l’intimitĂ© de son beau-frère.Laurie regarda le gode fixĂ© Ă son pubis, trouvant dommage qu’il ne soit pas vivant pour possĂ©der vraiment sa victime, et ressentir en elle les vibrations du plaisir.Elle voulait commencer par pĂ©nĂ©trer Daniel en levrette, pour qu’il se sente vraiment embrochĂ©, et puis elle changerait de position… Avec la levrette, il est certain qu’elle ne devrait pas faire de grands mouvements pour s’enfoncer Ă fond.Lentement, elle imaginait la matraque dans son cul, enserrĂ©e. Captif de ce petit passage Ă©troit… profond, cette dague en silicone flexible suivrait les courbes de l’anus et s’enfoncerait au maximum dans le rectum.Laurie sourit Ă Daniel et il fit pareil. Ses premiers mouvements Ă elle furent lĂ©gers. Elle avait posĂ© le gode contre la rosette, agaçant les plissements du sphincter par de lĂ©gères poussĂ©es. Daniel avait protestĂ©Â :— Ohhh, doucement… !— Ne t’en fais pas, Daniel ! Laisse-toi faire ! Alors, d’une poussĂ©e plus forte, elle força le gland sur la rosette de son beau-frère qui poussa un long gĂ©missement.— Oh ! tu es Ă©troit ! On attend un peu que le sphincter se dĂ©tende avant de l’introduire Ă fond.Par petites poussĂ©es, elle pressait le gode dans le sillon des fesses, alors d’un coup l’anus accepta l’extrĂ©mitĂ© Ă©paisse du pĂ©nis.— Oh, le gland est entrĂ©, Daniel ! Maintenant, profite, laisse-toi faire ! Je vais te faire dĂ©couvrir ce que les filles ressentent quand elles sont enculĂ©es ! Laurie saisit les hanches de son beau-frère et effectua de lents va-et-vient pas très profonds, juste de quoi agacer l’entrĂ©e. Elle n’avait qu’une envie, celle d’entendre son beau-frère lui demander de l’enculer plus profond. Daniel Ă©tait vierge de cet endroit, sauf parfois un doigt s’y perdait ! Lise lui avait racontĂ© qu’il n’avait encore jamais sodomisĂ© une fille, mĂŞme pas sa femme. Ses autres conquĂŞtes se montraient en gĂ©nĂ©ral moins hardies et plus conventionnelles. Juste un doigt, pas très loin, pas très rapide, pas une vĂ©ritable insertion et surtout pas ce genre de jouet… LĂ , il ondulait : ses jolies fesses se contractaient au rythme des aller-retour du « pilon » de Laurie.La sensation Ă©tait tout de mĂŞme dĂ©rangeante, intrusive, mais très excitante. Une vraie queue aurait Ă©tĂ© plus douce, moins dure, se serait mieux adaptĂ©e Ă son anatomie !Il commença Ă gĂ©mir doucement, essayant d’échapper Ă la poussĂ©e du pal. Mais ce n’était pas ça que la jeune femme attendait… Elle voulait qu’il soit si excitĂ© qu’il soit incapable de parler ou de gĂ©mir.Elle voulait le faire rĂ©agir, lui faire sentir le ressenti d’une fille enculĂ©e ! Rien que des cris et des mots crus. Elle voulait le faire sortir de son beau langage, lui infliger quelque chose qu’il ne connaĂ®trait sans doute plus d’ici longtemps… ĂŞtre « la seule dispensatrice de ce plaisir Ă la limite de la douleur ». Qu’il ressente le moment oĂą le gode dispenserait doucement le plaisir pour le mener Ă l’orgasme !— Redresse-toi, Daniel ! Elle n’allait pas continuer de s’occuper de lui de cette manière. Elle n’aimait pas cette position. Elle voulait se coller Ă lui, comme quand elle s’occupait d’une demoiselle. Il se releva donc. Elle plaqua sa poitrine et son ventre inexistant contre le dos de l’homme en lui attrapant les tĂ©tons elle les pinça. Alors elle renfonça l’appendice dans l’anus de son beau-frère d’un coup. Il sursauta. Cette « surprise » lui arracha un petit cri de douleur.— Oh Laurie ! Plus doucement… Mais, les mouvements reprirent. Daniel sentait le gode s’enfoncer entre ses fesses, il Ă©tait taraudĂ© de manière de plus en plus violente, et doucement la lĂ©gère douleur se changeait en plaisir.— Laurie… Ahh… petite garce ! tu en profites ! Attends, non ! quand ton mari apprendra ça ! — Ah Daniel ! Lise m’avait dit que tu voulais me sodomiser ! Je voulais d’abord que tu saches ce que c’est ! Et c’est un beau cadeau d’anniversaire ! Une sensation de possession, de chaleur douce, pas agressive, un sentiment de bien-ĂŞtre se rĂ©pandit dans son fondement. Ă€ nouveau, il soupira. Laurie de sa main gauche, lui empoigna le sexe et commença Ă le branler…— Ahh, ce que c’est bon, Laurie… enfonce encore un peu plus loin… ahh, doucement… c’est trop bon… Daniel avait l’impression d’être un privilĂ©giĂ©, de s’autoriser un plaisir que d’autres s’interdisaient.L’idĂ©e de se faire pĂ©nĂ©trer n’était pas facile. Il avait l’impression de devenir homo.La sodomie est encore pour certains une pratique transgressive. Mais ce petit goĂ»t d’interdit a une saveur particulièrement apprĂ©ciable !PossĂ©dĂ© par l’arrière et masturbĂ© par l’avant, il haletait. Elle savait vraiment s’y prendre. Son ventre Ă elle, collĂ© au bas de son dos, ses doigts titillant le tĂ©ton de l’homme et sa main gauche le masturbant. Il y avait tellement de sollicitations de part et d’autre de son corps qu’il sentit l’orgasme se prĂ©cipiter. Il ahanait. Comme elle l’avait tant dĂ©sirĂ©, il perdait toute contenance.Sa respiration s’accĂ©lĂ©rait sans qu’il ne fasse d’efforts, de grosses bouffĂ©es de chaleur et une envie de pousser des cris de jouissance incontrĂ´lĂ©s.— Non, pas encore… retiens-toi ! susurra Laurie.C’était sorti tout seul de la gorge de Laurie. Ce serait trop facile pour lui. Il ne fallait pas que les choses se passent ainsi.Laurie d’un ample mouvement de hanches rentrait et ressortait le gode des fesses de son beau-frère. Le gel facilitait la pĂ©nĂ©tration, et Ă chaque mouvement elle voyait le phallus en silicone s’enfoncer un peu plus.Daniel avait l’impression de vie Ă l’intĂ©rieur de lui, les longues poussĂ©es lui arrachaient des gĂ©missements de plaisir, et Laurie excitĂ©e forçait chaque fois un peu plus, donnant Ă chacun de ses mouvements un sentiment de force et de puissance.Laurie d’une dernière poussĂ©e enfonça profondĂ©ment la verge en silicone en lui. Par petits coups, elle l’introduisait de plus en plus loin, fouillant son intimité…— Ah, Laurie, je vais venir !Elle se dĂ©tacha de lui. Il Ă©tait complètement perdu. Elle n’allait tout de mĂŞme pas le laisser dans cet Ă©tat d’excitation ? Elle n’allait pas le laisser dĂ©bander sans rien faire ? Ah non…— Retourne-toi, Daniel… ne jouis pas maintenant ! Ce que je veux, c’est que tu me pĂ©nètres… que tu me possèdes ! … fort… !Ayant dĂ©grafĂ© le gode, et tout en gardant sa fameuse culotte noire, elle se coucha sur le dos. Comment allait-il s’y prendre pour… Elle Ă©carta le tissu, lui dĂ©voilant son intimitĂ©. Elle Ă©tait mouillĂ©e, trempĂ©e, mĂŞme. Ses lèvres Ă©taient gonflĂ©es et très rouges. Daniel d’un mouvement de poignet arracha la culotte, et forçant l’écart de ses cuisses n’eut aucun mal Ă faire entrer son sexe dans celui de la jeune femme. Sa queue violait sa chair, plongeait dans la lĂ©zarde chaude de la vulve.La jeune femme haletait de plus en plus vite, et après un moment, il la sentit se raidir enfin de tous ses membres, et jouir Ă fond soufflant comme une forge, tout en crispant une main dans ses cheveux, avec des paroles incomprĂ©hensiblesLaurie avait besoin que quelque chose pĂ©nètre sa chair, force ses parois. Elle n’était plus qu’un sexe gonflĂ© et palpitant qui se contracte, se relâche et se contracte encore.Il fallait qu’elle sente le gland de Daniel repousser les parois et se frayer un passage jusqu’au fond, ĂŞtre pleine, entièrement remplie.Elle voulait cette chair musclĂ©e dans son bas-ventre qui Ă©pouse les formes de son vagin, comme si chaque chose devait trouver sa place. D’un mouvement de hanches, il remonta vers le fond, jusqu’au bout, et sentit le vagin l’enserrer. Il commença alors Ă aller et venir en elle, pendant qu’elle l’entourait de ses jambes et les nouait au-dessus de ses fesses. Il sentait les rides de son vagin contre le bourrelet de son gland, celles qui le faisaient comme voyager en carrosse sur une route bien empierrĂ©e, et de plus en plus fort Laurie accueillait en elle ses secousses avec de petits cris de surprise.Il la pilonna, encore et encore, lui arrachant des cris de femme violĂ©e. Puis, brusquement, il sortit du vagin et visant le sphincter anal, il enfonça son gland d’une poussĂ©e Ă travers celui-ci. Celui-ci s’enfonça sans difficultĂ©. Daniel s’arrĂŞta, laissant Ă Laurie le temps de s’habituer. S’abaissant, il commença Ă la dĂ©vorer de petits baisers le long de la bouche.— Là  ! Alors ma belle… tu vas aimer, tu vas bien me sentir au fond. Je vais te faire jouir de ce cĂ´tĂ©. Redresse-toi et regarde ma verge te pĂ©nĂ©trer. Remonte bien les jambes. Laurie s’appuya sur ses coudes et, redressant le buste, fixa le dĂ©but du sexe fichĂ© entre ses fesses.Alors Daniel enficha lentement celui-ci dans l’anus de sa belle-sĹ“ur, dont les yeux allaient de son visage Ă l’ouverture anale qu’il remplit complètement.Laurie gĂ©mit sous la poussĂ©e du gros gland et retint un petit cri lorsque le phallus s’installa dans son derrière :— Ohhh Daniel ! Non ! tu es vraiment trop gros !Mais Daniel Ă©tait bien installĂ©, il sentait les muscles qui l’enserraient et qui se contractaient autour de la godille qu’il venait d’insĂ©rer dans le rectum de Laurie.— J’adore regarder mon sexe qui entre en toi, c’est toujours aussi magique pour moi. Ce pont entre nous. Comme si mon sexe extĂ©rieur Ă moi devenait un ĂŞtre Ă part entière. Regarde-toi aussi ! J’adore regarder tes fesses qui s’ouvrent pour m’accueillir !Celle-ci par des mouvements du bassin tenta d’accepter le mieux qu’elle pouvait ce mandrin de chair qui lui dĂ©fonçait les fesses, mais son beau-frère la regardant droit dans les yeux continua Ă enfouir sa verge de plus en plus loin, s’enfonçant dans le rectum Ă©troit, cherchant l’endroit oĂą se rĂ©pandre et dĂ©gorger son sperme.Et puis, d’un coup, Laurie se sentit venir… C’est vrai qu’il mettait du cĹ“ur et de l’énergie Ă l’ouvrage, mais il fut Ă©tonnĂ© de l’intensitĂ© du plaisir qu’elle manifestait Ă prĂ©sent. Sa tĂŞte roulait de gauche Ă droite, ses doigts s’activaient sur son clitoris en Ă©rection, dur comme un petit caillou. Pour que Daniel se sente bien enserrĂ©, elle contractait au maximum ses fesses. Le fait d’être aussi enveloppĂ© augmenta son l’excitation et la duretĂ© de son membre. Sauvagement, il lui empoigna les seins.— Je vais te remplir de foutre, petite salope ! Je vais te dĂ©foncer, te remplir le cul de sperme ! Ahhh, je vais juter ! …Laurie Ă©coutait les vulgaritĂ©s qu’il lui chuchotait Ă l’oreille tout en se masturbant le clitoris. Elle regardait son sexe ouvert, et plus bas l’anus serrĂ© autour du pĂ©nis qui coulissait rĂ©gulièrement.Elle pleurait tant l’afflux de sensations Ă©tait vif. Elle dodelinait de la tĂŞte, disait oui, puis non. Daniel aimait la voir perdre tout contrĂ´le. Cela le rendait fou, ivre de dĂ©sir pour cette petite chose fragile, mais si dĂ©terminĂ©e et si forte, finalement. Et puis, et surtout, il avait envie de voir ses yeux saphir se voiler, sa poitrine se soulever de plus en plus vite.— Ah… Je viens ! cria Laurie. Et, se redressant, un de ses doigts se glissa entre les fesses de Daniel.Daniel dut la retenir, l’empĂŞcher de faire sortir son sexe de son anus, et continua de la pilonner pour prolonger son orgasme. Il sentit son sexe se raidir dans la gaine chaude de Laurie quand le doigt de sa belle-sĹ“ur pĂ©nĂ©tra son anus, puis les pulsations violentes de son orgasme giclèrent son sperme par saccades, Ă©pais et abondant dans le rectum de sa belle-sĹ“ur.Laurie se laissa glisser sur les draps, les fesses en l’air :— Ah Daniel ! Tu es le premier Ă me faire cela ! je n’ai jamais joui comme ça ! Tu m’as rendue folle ! Mais j’ai adoré !Daniel regardait le ventre, le sexe de Laurie et l’anus d’oĂą s’écoulait le sperme chaud. Il se pencha, prit un peu de la mouille coulant de son vagin pour la mĂ©langer au sperme qui sourdait de l’anus. Puis il attira sa bouche contre la sienne, mĂ©langeant leur langue dans leurs sĂ©crĂ©tions intimes.Alors Laurie lui dĂ©clara en le regardant :— J’aime le goĂ»t de ton sperme mĂ©langĂ© Ă mon aciditĂ©, c’est un festin de choix !Puis continuant plus doucement et prenant la main de Daniel :— Je me demande ce que mon mari et ta femme ont bien pu faire ensemble aujourd’hui ! Je sais que Lise n’est pas la dernière pour inventer des situations bizarres et faire jouir Éric ! Il faudra un jour que nous assistions et nous mĂŞlions Ă deux Ă leurs Ă©bats ! … En tout cas, on aura des choses Ă se raconter demain matin, et de quoi complĂ©ter notre petit carnet secret !— Dans tous les cas, je crois que l’aventure de notre famille est loin d’être terminĂ©e !***Pour connaĂ®tre les prĂ©cĂ©dentes aventures de cette famille, lire : « Le Placard (1) », « Le Placard (2) », « Le Placard (3) », « La tour gĂ©noise – Épisode 1 », « La tour gĂ©noise – Épisode 2 », « La tour gĂ©noise – Épisode 3 »