Le Manoir de la luxure (part 3 : Ophelie)
Troisième chapitre des pĂ©rĂ©grinations sexuelles de Matthieu au Manoir de la luxure. Après la course exaltĂ©e Ă travers bois avec Nathalie, rien de tel qu’un bon bain de soirĂ©e… en la douce compagnie de la plantureuse Ophelie, Duchesse des Bains
Proposée le 8/01/2018 par Bob Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: Sauna, club, sexe shopType: Roman
Nous rentrâmes au manoir sur nos chevaux, au trot, et le reste de la journée s’écoula paisiblement. Le déjeuner se fit entre Clarisse, Nathalie et moi à la grande table de la salle à manger, où nous contâmes nos ébats, dont le récit détaillé semblait mettre en émoi les domestiques qui nous servaient. Une jeune soubrette joviale proposa même candidement à Clarisse un plan à trois avec Nathalie et moi, sur la « Grande Table des Orgies » (suggérant au passage une permission pour elle et ses amies de se doigter en regardant), mais mon hôte déclina, préférant me ménager.
Dommage, j’aurais pas Ă©tĂ© contre…
L’après-midi s’ecoula en revanche dans une chastetĂ© un peu decevante par rapport Ă ce que j’avais experimentĂ© jusqu’ici, mais nĂ©anmoins satisfaisante (observer discretement la servante qui m’accompagnait au golf se masturber doucement sur mes clubs quand j’avais le dos tournĂ© restait une expĂ©rience plutĂ´t cocasse).
Puis vint le diner, auquel Clarisse ne put malheureusement pas assister. Elle me laissa cependant ma directive pour la soirĂ©e que j’avais attendue avec impatience depuis le dejeuner : rencontrer la seconde Duchesse, Ophelie, aux bains.C’est ainsi qu’on me conduisit dans une aile plus moderne du chateau, bordĂ©e de baies vitrĂ©es donnant sur le domaine. Je compris pourquoi Clarisse m’avait dit de ne pas prendre de maillot, pour les piscines du manoir : lĂ oĂą on exigeait normalement le port de bonnets de bains ou de slips moulants, le port de tout vetement aquatique etait ici prohibĂ©. Bain nu, et bien entendu mixte et libertin, Ă toute heure.
C’est donc avec une simple serviette nouĂ©e en pagne Ă ma taille que je penetrai dans la zone de bains deserte qui abritait une piscine olympique (illuminĂ©e d’un eclat turquoise phosphorescent dans le soir), trois jacuzzis, des bancs de massage carrelĂ©s et une longue ligne de cabines de sauna. Aucune trace d’Ophelie, que je mourais d’envie de voir depuis que Juliette m’avait divulguĂ© sa particularitĂ© : en plus d’etre l’experte en massages erotiques, positions sexuelles aquatiques (pour le moins exotiques) et therapies de sudation tonifiant le corps, elle possĂ©dait apparemment la plus grosse poitrine de tout le domaine, Clarisse comprise (qui pourtant avait des arguments… consistants). Et pourtant, comme chaque residente du Manoir de la Luxure, c’Ă©tait certifiĂ© 100% naturel.
Ne sachant trop quoi faire, je fis le choix d’entrer dans une cabine de sauna. Une bouffĂ©e de chaleur me jaillit au visage quand j’ouvris la porte de bambou, que je m’empressai de refermer derrière moi. Deja, je sentis mon corps se mettre Ă transpirer sainement.
« Oh ! Bonjour ! Je vous attendais ! » Lança soudain une voix enjouée sur ma droite. Je fis volte-face et manquai de tomber à la renverse.
CES MICHES ! Juliette ne s’Ă©tait pas foutue de ma gueule !
Les deux enormes seins, luisants de sueur sensuelle, comprimĂ©s par une serviette blanche qui saucissonnait une divine creature furent les premières choses qui me sautèrent aux yeux, surgissant entre les Ă©charpes de vapeur comme deux icebergs du brouillard. De vĂ©ritables bouĂ©es reluisantes, parfaites, Ă la rondeur dĂ©lectable pour les yeux, dont les tetons pointaient Ă travers le tissu. Je ne pouvais encore en juger toutes les qualitĂ©s, mais cette première image avait dĂ©jĂ failli soulever mon pagne par une extension vigoureuse de mon entre-jambe (en gros j’ai bandĂ© sec).
Mon regard décrocha difficilement des mamelles genereuses pour detailler la sculpturale creature à laquelle elles apparetenaient.
C’etait vraiment pas degueu.
Le grand corps d’Ophelie (elle devait meme etre plus grande que moi de quelques centimetres), d’une blancheur nacrĂ©e, etait drappĂ© dans une longue serviette blanche qui moulait ses formes imposantes. Ses deux Ă©normes pastèques appĂ©tissantes, bien sĂ»r, mais aussi les quelques lĂ©gères rondeurs de ses hanches et de ses cuisses; de petites poignĂ©es d’amour Ă croquer. Ses jambes n’en etaient pas moins sveltes pour autant, longues et fines malgrĂ© ses cuisses epaisses, croisĂ©es Ă©lĂ©gamment comme fermant avec pudeur l’accès Ă son intimitĂ© (qui n’etait sans doute pas cachĂ©e par sa serviette, vu la surface que monopolisait sa poitrine), et terminĂ©es par d’elegants petits pieds. Ses bras Ă©taient croisĂ©s sur son diaphragme, ses seins prisonniers s’epanchant sur eux comme sur un balcon. Enfin, de ses epaules rondes montait un cou fin, gracieux, supportant un doux visage. Une face appaisĂ©e, souriante, presque maternelle (pourtant plus jeune que Clarisse dont le regard ambrĂ© Ă©voquait plus une tigresse avide de sexe…) Ă laquelle j’aurais donnĂ© trente deux ans, environ. Ses cheveux noirs aux etranges reflets de cobalt Ă©taient soutenus au dessus de sa tĂŞte dans une autre serviette, et seules deux petites meches tombaient le long de ses joues empourprĂ©es par la chaleur.
« Je t’attendais avec impatience ! » souffla-t-elle en souriant amicalement « Je t’avoue que le temps paraĂ®t long, quand on est sous aphrodisiaques ! Mais bon, apparemment, interdiction de se doigter… j’ai hâte qu’on commence ! »
Elle tapota le banc en lattes de bambou sur lequel elle Ă©tait assise, me faisant signe de m’asseoir Ă ses cĂ´tĂ©s. Je m’exĂ©cutai sans un mot, tentant de detourner le regard de ses rondeurs aguicheuses.
Je m’assis, et nous restâmes quelques secondes sans echanger. Ophelie me precisa juste qu’une bonne sudation avant de baiser dĂ©lassait le corps et le mettait dans ses meilleurs conditions pour faire l’amour.
« Mais j’y pense, c’est moi qui ai ta dose d’Ambroisy ! » S’Ă©cria-t-elle en se frappant le front. Elld fourra sa main dans l’echancrure de ses enormes seins, y trifouilla comme dans un sac Ă main et en ressortit trois petites pilules bleues marquĂ©es d’un A, qu’elle me tendit.
J’engloutis les cachets d’une traite, et sentis aussitĂ´t les effets de l’aphrodisiaque se manifester sous mon pagne. Mes yeux semblaient vouloir sortir de leurs orbites, attirĂ©s comme par une irrĂ©pressible force magnĂ©tique vers la poitrine rebondie de ma voisine.
« C’est ça que tu regardes ? » Me demanda-t-elle tout bas en riant, aguicheuse, passant son index sous sa serviette pour l’ecarter lĂ©gèrement « Cochon, va ! »
« Très bien ! » soupira-t-elle en se levant brusquement et en se campant face à moi, jambes écartées et poings sur les hanches (me présentant effectivement sa vulve non dissimulée par son vetement) « au boulot ! »
Elle s’agenouilla devant moi, dĂ©fit la serviette nouĂ©e autour de sa tĂŞte pour laisser ses cheveux d’Ă©bène bleutĂ© mouillĂ©s s’Ă©crouler en cascade dans son dos et sur ses Ă©paules, avant de se dĂ©lester de la serviette qui retenait et compressait sa poitrine prisonnière.
L’Ă©toffe immaculĂ©e tomba autour d’elle, et les deux immenses loches se dĂ©ployèrent sous mes yeux alors qu’Ophelie lachait un petit soupir de soulagement, respirant enfin.
Les mamelles Ă©taient titanesques, mais en aucun cas repoussantes. Ce n’etaient pas de trop grosses outres tombantes aux veines bleues et aux tĂ©tons dilatĂ©s, non, mais de splendides miches rebondies, vastes, fastes, gĂ©nĂ©reuses, altières, luisantes de sueur, aux mamelons fermes, qui frĂ´laient parfaitement la disproportion pour sembler oniriques sans paraĂ®tre vulgaires ni grotesques.
Les seins de Clarisse, pourtant joyaux de rondeur et de maturitĂ©, semblaient n’ĂŞtre qu’une poitrine d’adolescente face Ă ces pastèques monumentales.
Ophelie, un sourire tranquille sur le visage, releva ma serviette, découvrant mon pénis dressé de toute sa hauteur, gonflé de grosses veines bleues. Je vis le bout de sa langue glisser subrepticement sur ses lèvres.
Mon hĂ´tesse prit dĂ©licatement mon gourdin en main, l’agitant d’un lĂ©ger spasme nerveux, et le dĂ©calotta du pouce, comme si elle ouvrait une bouteille de Coca. Puis elle replaça une mèche de cheveux derrière son oreille, attrapa ses seins et, se penchant en avant, les laissa s’Ă©pancher sur mes genoux avant de comprimer ma bite entre eux.
Branlette espagnole. Un de mes fantasmes. Et dans ces bouĂ©es moites et chaudes… hmmm.
Ophelie commença un mouvement de va et vient, malaxant sa poitrine fabuleuse qui engloutissait mon pénis dans sa masse. Je sentais une vague de plaisir monter dans mon mât à chaque mouvement.
Les seins d’Ophelie etaient delicieux, chauds, lubrifiĂ©s par sa sueur. Ma bite coulissait entre eux avec un bruit de succion, et son endurance etait mise Ă rude Ă©preuve par cette branlette moite entre les deux obus reluisants.
La Duchesse des Bains scrutait mon regard de ses yeux bleu sombre, une lueur coquine au fond de ses iris. Sentant que j’avais du mal Ă me retenir, elle ralentit la cadence… avant d’engloutir par dessus le marchĂ© mon pĂ©nis dans sa bouche, poussant un petit hoquet. Je faillis bien lâcher la purĂ©e sous le choc.
Ophelie poursuivit sa branlette espagnole en alternance avec sa fellation. L’excitation grimpait en flèche, entre la friction permanente qu’elle excercair, le roulement de ses gargantuesques seins luisants qui engloutissaient mon pĂ©nis avant de s’Ă©taler de toute leur masse sur me genoux pour laisser le relais Ă la bouche gourmande avant de recommencer, et l’eclat mutin de ses yeux qui me fixaient en contreplongĂ©e.
Finalement, tout partit dans la bouche d’Ophelie. Mon hĂ´tesse ecarquilla les yeux de surprise, avant d’avaler le sperme chaud et de relever la tĂŞte.
« T’aurais pu prĂ©venir ! » Rit-elle d’un faux air vexĂ©, un filet de semence blanchâtre dĂ©goulinant de sa lèvre sur son sein gauche.
« Allez, je pense qu’on est Ă bonne tempĂ©rature tous les deux. » Fit-elle en s’epongeant le front « pret pour un deuxieme tour ? »
J’acquiesçai vivement, mon penis s’Ă©rigeant deja grâce Ă ma poignĂ©e d’aphrodisiaques. Ophelie nettoya mon gland degoulinant d’un coup de langue, se redressa d’un bond, m’enfourcha et, ecartant ses levres intimes rasĂ©es de près qui miroitaient presque de toute leur moiteur, s’empala sur ma bite en poussant un petit soupir de satisfaction. Passant ses bras autour de mon cou, s’agenouillant de part et d’aitre de mon bassin sur le banc oĂą j’etais assis, elle fit mine de me laisser le rènes.
Je ne me me fis pas dire deux fois. Attrapant son dos, je la serrai contre moi en donnant un violent coup de queue Ă l’intĂ©rieur de sa chatte, plaquant ses enormes seins chauds et moites contre mon torse. Ophelie poussa un cri de surprise, suivi d’un petit soupir de plaisir joueur.
C’etait parti pour le rodeo.
Je m’elancai a corps perdu dans sa chair, la faisant sauter sur mes cuisses a grands cahots violents. Ma bestialité brusque lui fit hoqueter un hurlement presque effarouché, qui se mua en un large sourir pervers. Et m’etreignit de plus belle.
Ma bite glissait comme dans du beurre. Cuisinée par les aphrodisiaques, maceree dans la vapeur du sauna, la chatte de ma partenaire etait brulante et himide a souhait. On aurait dit une bouche aux levres pulpeuses, aux sons de succion avide qu’elle produisait.
Je sentais son grand corps transpirant s’arquer au dessus de moi avec passion ; ses omoplates jouer dans son dos blanc de statue grecque ; son souffle brulant me caresser la joue dans un soupir rieur ; et surtout, surtout, ses enormes seins, en eaux, qui roulaient sur mon torse. La sueur d’Ophelie gouttait le long de son cou de nacre, dans ses clavicules sensuelles, puis au creux de sa poitrine qui se soulevait dans de grands haut le corps au rythme de nos hanches, compressée contre mes pectoraux. Je sentais ses tetons durs frotter contre les miens dans les roulements des miches moites et douces qui luisaient de toute leur blancheur mirifique sous mes yeux.
« J’etouffe…! » souffla-t-elle Ă mon oreille, en sueur « Maintenant, un saut dans la piscine… viiite ! »
« J’ai la bite en feu ! » retorquai-je dans un rire suffoqué, avant de l’attraper par les cuisses et de me ruer vers la porte du sauna en la maintenant serree contre moi les jambes croisees dans mon dos.
L’effort fut plus ardu que pour mes actobaties avec Clarisse, car si j’avais la force necessaire pour soulever ma trentenaire nympho sur tout son appartement, je peinais plus à soulever la grande Ophelie dont les obus devaient peser leur poids.
C’est donc en bringuebalant ses loches rebondies que je traversai au pas de course la distance nous separant de la poscine, et nous envoyai culbuter tous les deux dans le bassin.
Le choc dans l’eau cyan qui semblait glacee fit instantanĂ©ment redescendre mon excitation critique, en me degrisant et chassant les vapeurs somnolentes et oisives de mon crane, en me redonnant pleine conscience du plaisir charnel. Elle avait parfaitement calculĂ© son timing, l’experte en Bains… le choc thermique avait cristalisĂ© nos ebats Ă leur acmĂ©.
Serrés l’un contre l’autre dans une etreinte puissante, nous finimes par remonter à la surface en nous separant brievement. Ophelie rejoignit le bord en gloussant, faisant la planche, ses deux enormes seins surgissant miroitants de l’eau comme des îles bombées, et sa vulve brassant l’eau au rythme du battement de ses longues jambes rondement sculptées.
Je m’elançai à sa suite à grands mouvements, mon appetit deviant remontant brusquement, et nous npus echouames sur le bord du bassin dans une nouvelle etreinte, ma bite l’empalant dans mon élan. Gemissement de plaisir.
Joignant mes doigts aux siens, la maintenant cambrée à demi dans l’eau, j’entamai un missionaire semi-aquatique, battant des pieds pour rythmer mon balancier porté par les remous.
Ophelie ouvrait sa bouche dans un sourire bĂ©at de voluptĂ©, les yeux fermĂ©s, degageant plus son cou Ă chaque percee dans sa cavitĂ© intime oĂą s’engouffrait l’eau chlorĂ©e. Ses cheveux d’encre s’etalaient en corolle autour de sa tete, fluctuant avec les vaguellettes debordantes que levait mon ouvrage. Et ses seins… Ses seins dansaient, immaculĂ©s, ronds, fermes, enormes, sur sa poitrine dans un ressac violent et plein de passion rythmee.
Je jetai un oeil Ă ma bite : elle entrait et sortait de la chatte rose et douce de la jeune femme comme une murene zebree de veines bleues de son antre de corail.
C’etait le pied… mais Ophelie semblait encore un peu trop tranquille, dans sa beatitude sereine. Il fallait corser la chose !
Je m’aggripai d’une main à l’une de ses enormes bouées, et de l’autre aggripai une de ses fesses rondes par le dessous de sa cuisse, relevant sa jambe par dessus mon epaule. Et là , je donnai une violente impulsion du bassin.
L’elan deborda un peu plus ma sirene plantureuse sur la rive du bassin, dans une vague et un cri de plaisir surpris. Pagayant de toutes mes forces avec mes pieds, je m’efforcai de pilloner la cavité intime de ma partenaire, en mevant force remous.
Cela fonctionna : avec ce redoublement de cadence, un rosissement envahit le visage decomposé par le plaisir de mon hotesse, qui tirait la langue et salivait. Par dessus mon epaule, je vis son pied delicat se tordre de plaisir ; et ses mains m’aggripèrent avec passion, l’une a l’epaule, l’aitre a la fesse, enfonçant ses doigts de porcelaine dans ma chair.
« Ooooh ! OOOOH OUI ! » cria-t-elle en s’arquant de plus en plus.
L’orgasme venait.
Alors, sentant que tout venait, je relachai le typhon dans un ultime martellement. Un hurlement retentit, et resonna dans les voutes de la piscine. Les seins titanesques eurent un dernier soubresaut, leurs mamelons pointants comme jamais, au sommet de la cambrure eructee du dos de la Duchesse des Bains qui s’affaissa peu à peu dans un soupir de volupté.
Éreinté, je m’etalai sur le grand corps blanc de ma partenaire, ma tete echouant entre ses deux loches. Les plus agreables coussins du monde. Ophelie, delicate, passa ses mains dans mes cheveux avec une expression benigne.
« Bien baisé, camarade ! » gloussa-t-elle à mon oreille « Je valide l’experience! »
Je souris, heureux, et me laissai aller un peu plus entre les seins mythiques de la Duchesse des Bains.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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