Le Moulin
Dans un monde parallèle, une société ou les femmes ont le pouvoir ! Suite à un jugement inique un domestique de 17 ans est placé dans un moulin ou règne des femmes despotiques !
Proposée le 17/05/2017 par ghose94 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: InclassableType: Fantasme
I-Compte rendu de jugementL’an 1536 en notre royaume de Goltémie la cour Royale de galindre rend le jugement suivant :
-Moi Primie de ce tribunal spécial destiné aux cas de dépravations de la gente masculine, Lady Lucrèce, placée à la tête de ce tribunal déclare ;
-Que le jour du 22 rosée de l’an 1536, condamnons le jeune Bastien âgé de 17 ans à être détenu dès ce jour au centre de dressage N°12, et ce jusqu’à sa vente en place publique au grand marché aux esclaves de notre province.
-Que ce dressage sera sans conteste possible, tous les recours effectué auprès de ce tribunal par son avocate, aucun recours n’étant admis.
-Que la durée du dressage sera variable en fonction de la docilité du condamné.
-Qu’à ce jour son nom soit effacé de nos registres et qu’il portera désormais le numéro d’esclave suivant 145B, que ce numéro sera porté en fin de dressage sur son séant à l’aide de fers rouges et que cette infamie soit pratiquée soit en place publique soit dans cellule spéciale de sa geôle, pour plus de commodité et afin que chacun puisse identifier l’esclave, il sera désormais nu en permanence, les chiffres de son infamie 145 seront appliqués sur la fesse gauche, la lettre B sur la fesse droite.
-Qu’il lui est désormais interdit de porter tout vêtements, et qu’il sera conduit nu dès la sortie de ce tribunal jusqu’à la charrette qui le mènera dans un premier temps sur la place au pilori, ou il sera exposé et fouetté sévèrement sur les parties honteuses de son corps, qu’il restera ainsi 3 jours au pilori avant d’être amené sur son lieu de dressage.
-Enfin que son sexe sera entravé de telle sorte qu’il ne pourra en tirer aucune jouissance à l’avenir.
-Pour finir je rappelle l’objet de la condamnation ;
L’esclave 145B a été surpris à regarder une femme de haut rang, dont le nom sera tu ici afin de ne pas la compromettre. Cette dernière allait prendre son bain en sa chambre, que cet individu valet de son état, était chargé de remplir le baquet destiné au bain, qu’il a regardé par l’entre bâillement de la porte de la chambre, alors qu’il avait terminé sa tâche, qu’il a fait l’objet d’une enquête et ou la perquisition de sa paillasse a mis au jour qu’il avait dérobé deux culottes intimes de cette gente dame ! les aveux ont été obtenus fort rapidement par la marée chaussée appelé sur les lieux du crime, ici annexé ce procès verbal par la caporale Alexandra Picole.
L’interrogation simple ayant suffit à obtenir les aveux, il sera procédé à un interrogatoire plus poussé à son arrivé au centre de dressage, afin de lui faire avouer d’autres forfaits qu’il a du forcément commettre auparavant.
-La loi autorisant cette largesse, bonté de notre Princesse dirigeante, l’esclave avant d’être mis nu peut s’exprimer librement une dernière fois, esclave as-tu une déclaration à faire, attention seule une confession ou un repentir seront entendus ?
(ce dernier à genoux devant la Primie, balbutia…)
-Madame c’est la seule fois ou…
-Tu mens encore une fois, nous attendons de toi un vrai repentir !
-Mais je vous assure…
-Bien qu’on le bâillonne et que son sort est scellé, je demande une extrême sévérité durant son interrogatoire complémentaire, vu la réaction insensée à une question dont la réponse aurait du être limpide ! Maître qui assure sa défense, veuillez pendre note de la non collaboration du condamné !
-En effet répondit son avocate, cet individu vient de sceller son sort, je retire ma présence de sa défense !
-Je vous rappelle cependant Maître que vous devrez assisté à sa déchéance lors du marquage !
-Bien entendu votre Honneur, je demande qu’il soit châtier comme il se doit avec la plus grande sévérité !Deux gardes, lui fixèrent un bâillon de cuir muni d’un orifice d’où sortait une canule à laquelle était relié une sorte de poire, le garde de gauche exerça de rapide pression sur la poire, ce qui fit gonfler une boule de cuir dans la bouche du malheureux, seul un borborygme sortit sous le bâillon, son visage était en panique, il respirait rapidement pas le nez, ils se saisirent de lui et le menèrent rapidement hors de la salle d’audience, ils franchirent 2 portes et se retrouvèrent dans une pièce de petite taille, là il le lâchèrent et lui adressèrent …
-Allez met toi nu sale petit merdeux et dépêche toi ou on t’arrache les couilles ! il se déshabilla enleva sa chemise et son pantalon de toile court (s’était sa tenue de valet, il avait encore son caleçon, l’un des gardes trouvant que tout cela n’était pas assez rapide, le lui arracha…Il mit ses deux mains sur son sexe…
-Tu caches quoi ? ils s’emparèrent de lui et lui passèrent les bras dans le dos, lui fixèrent un collier de chien à son coup et lièrent ses poignets dans le dos fixés au collier de chien….
-Voila tu vas pouvoir montrer ta petite queue à toutes les femmes du royaume….ah…ah…
ils le prirent sous les bras chacun d’un côté et le menèrent rapidement dehors, une foule déjà dense attendait pour voir le spectacle, les femmes surtout, les plus âgées au premier rang étaient impatientes de voir le petit domestique nu !
Des oh…des ah…des quelle honte ! c’est bien fait ! on devrait lui couper sa queue à ce chien!
Les deux gardes le hissèrent sur une charrette de bois, cette dernière démarra aussitôt, ce qui le fit tomber sur le sol en bois, on arriva rapidement sur la place du pilori, la il le jetèrent à terre, et il du se relever sous les coups de pieds des femmes présentes devant l’estrade, il se releva tant bien que mal, on le poussa à monter les quelques marches de bois du pilori.II-Le PiloriLà il fut fixé par les poignets placés derrière son dos à un portique, se qui l’obligea à se courber en avant, on écarta ses jambes au maximum, on entrava ses chevilles à l’aide d’une barre de fer afin qu’il ne puissent les resserrer…Le bourreau s’avança, il était très gros et masqué, il passa derrière lui et lui saisit les testicules sans ménagement, il hurla dans son bâillon tant la douleur fut vive…
Il sentit qu’on lui lié les testicules avec une corde, très serrée, puis il sentit un étirement de ces dernières (le bourreau venait en effet de lui lier les deux boules, et avait passé la corde dans un anneau fixé au sol, il avait tiré très fortement et tendu la corde, le petit valet devait avoir très mal, car il essayait de gesticuler pour échapper en vain à la douleur….
On le laissa ainsi exposé, nu sous les quolibets des femmes présentent. Durant plusieurs heures on le laissa ainsi…Chaque heure une servante venait lui administré un lavement de plusieurs litres d’un liquide gras, elle expliqua :
-C’est pour pas que tu te lache durant ton chatiement, je te conseille de ne pas te retenir et de te laisser aller durant la nuit qui vient…
A la tombée de la nuit une femme vain sur l’estrade, grande, très musclée, elle portait une culotte de cuir noir ainsi qu’un justaucorps très moulant, elle portait une cagoule transparente noire, laissant apparaitre ses yeux et sa bouche, elle s’approcha de lui, le saisit par les cheveux…
-Maintenant lopette, tu vas commencé à souffrir ! elle s’adressa à la foule :-Bonnes gens je suis chargé de punir et châtier cette larve !
-Je vais donc commencer par lui raser le crane, comme un esclave doit l’être, ensuite je lui fouetterai ses parties honteuses au martinet à nœuds…Il devra avouer tous ses crimes publiquement, sinon sa punition sera plus sévère encore !
A l’aide d’un rasoir, elle pratiqua un rasage de son cuir chevelu, à plusieurs reprises elle le coupa…Puis elle fit de même pour ses sourcils, elle finit son œuvre en lui rasant les parties honteuses de son sexe…Une trappe avait été ouverte juste entre ses jambes, ce qui permettait à la femme de se tenir debout entre les jambes du malheureux. La position dans laquelle se trouvait le petit valet ne facilitait guère la chose, aussi la aussi malgré son habileté , la femme le coupa à plusieurs reprises…
Su la place les langues et les quolibets allaient bon train…
La femme bourreau remonta alors sur l’estrade, se saisit d’un martinet à longues lanières de cuir, chaque lanière était munies de petits neufs, cela afin d’augmenter la souffrance du condamné…
Elle commença par lui fouetté le dos, puis les fesses, enfin elle s’acharna sur ses parties honteuses en pratiquant un fouettage entre ses jambes, sévère et sans aucune compassion…Sous son bâillon, le malheureux hurlait…Enfin elle arrêta après bien dix minutes de fouettage sans interruption…Elle ôta le bâillon et lui dit :
-Allez avoue tout tes méfaits !
Comme il ne savait quoi dire, elle entreprit un second fouettage, plus dur cette fois…
-Alors j’attend qu’a tu a dire ?
En pleurs, le valet hoqueta…J’ai regardé Ma Dame par la porte entrebâillée, je ne voulais pas…Il ne finit pas sa phrase, la femme venait de lui attraper le téton gauche et le tourné sans ménagement, il hurla…
-Non, non…Toujours en pleurs…J’ai regardé volontairement…
-Les culottes à présent, qu’as tu fait avec ?
-J’ai juste senti l’odeur de ma Maitresse…Une nouvelle fois elle lui tordit le téton …
-As-tu éjaculé dedans (elle tordait toujours le téton…
-Oui oui Madame….
-Combien de fois ?
-Je ne sais pas, plusieurs fois…Le fouettage repris, cette fois cela dura longtemps, le valet hurlait…
-Combien de fois chien ?
-10 fois peut-être…..Elle continuait à le fouetter…
-Tu mens !!!
-20 fois Madame….
Elle interrompit la flagellation, parfait, tu sera interrogé plus durement plus tard afin que la juge ai tous les détails de ta perversité…
On le laissa ainsi deux jours, une servante venait régulièrement l’abreuvé mais il ne reçu aucune nourriture durant ce temps, la servante lui administra un lavement toute les heures, afin que s’il ne pouvait se retenir durant son chatiement Chaque matin on venait luis versé un grand baquet d’eau froide pour le laver, la servante le brossait à l’aide d’une brosse à chien dent, puis le rincé à nouveau à l’aide d’un seau d’eau glacée…III- La PalefrenièreAu bout de deux jours donc la femme munie d’un culotte de cuir, vint le détacher et lui intima :
-A partir de maintenant tu devras m’obéir, je suis ta palefrenière, et cela jusqu’à ce que tu sois vendu, chaque marque de désobéissance de ta part sera sanctionné très sévèrement, elle fixa une laisse de cuir à l’anneau du collier de son cou, lui délia les poignets…
-A quatre pattes chien !
Il obéit…
-Allez en avant, il du parcourir les quelques mètres qui séparé l’estrade du pilori à la charrette par laquelle il était arrivé, là deux hommes le jetée à l’arrière, la femme se plaça près du cochet et la carriole s’en fut….Au bout de quelques minutes on parvint devant le centre de redressement…On attendit quelques secondes que la porte fut ouverte…On pénétra dans une vaste cour nue autour de laquelle des portes de fer seules apparaissaient…Sans ménagement on le jeta au sol…
-A quatre vite, dit la palefrenière ! je ne vais pas le répéter constamment, dès que tu es au sol tu dois te tenir à 4 pattes, comme le chien que tu es !!!
Elle le tira par la laisse, tout en lui fouettant le cul sévèrement, arrivé devant une petite porte basse, elle l’ouvrit…IV-La Geole-Entre là dedans, il s’agissait d’une espèce de réduit sombre, il s’avança et aussitôt la porte fut refermée derrière lui. Devant lui une sorte de guillotine en bois, la laisse de son cou fut tirée en avant, l’obligeant à y placé son cou, immédiatement le carcan que formait la guillotine fut resserré emprisonnant son cou, Il était dans le noir total, le sol était fait de gravillons, il ne pouvait ni s lever ni s’allongeait…Il resta ainsi, le cou emprisonné, un temps certain qu’il lui fut impossible à définir, sans doute plus d’une heure, ses genoux étaient meurtri par les gravillons…Soudain devant lui une porte s’ouvrit…La guillotine s’escamota dans le sol et dans le plafond…
-Sort de là ! il avança péniblement…
Devant lui se tenait deux femmes noires, très grandes et très solides, elles étaient vêtues uniquement d’une grosse culotte blanche très haute et d’un soutien gorge blanc, pour l’une et l’autre d’une culotte en nylon noire et rien d’autre, elles s’emparèrent de lui et le placèrent sur une croix de bois placée à l’horizontale comme une sorte de table ou elles le fixèrent sans ménagement, ses quartes membres furent fixés très écartés aux quatre montants, elles passèrent une large ceinture de cuir sur son ventre afin de parfaitement l’immobiliser, enfin elle ôtèrent son bâillon…
Elles vérifièrent son sexe en le manipulant sans complaisance…
-Petite queue, ah ah ah….Elle le masturba rapidement et dès qu’il fut en érection, s’arrêta pris un gant et lui frictionna rapidement ses parties, le gant était imbibé d’alcool ou quelque liquide qui y ressemblait, et il sentit immédiatement la brulure…
-Ici toi jamais bander, sinon punition ! Ah ah ah….Elles versèrent alors de la cire chaude sur ses parties, attendirent quelques secondes, placèrent des bandes afin d’épiler ce qui restait de poils…Il cria…
-Toi te taire ou sinon !
Dès qu’il fut totalement débandé, elles lui fixèrent une sorte de coque de chasteté…
-Comme ça toi ne pas pouvoir, ah ah ah ….
Les deux femmes se reculèrent pour voir leur travail…
Elles le détachèrent et le poussèrent vers une cage de fer, il du s’agenouiller, puis elles mirent une barre de fer dans son dos, les deux bras passés au dessus, elles lui lierre les deux poignets ensemble, les chevilles écartées de chaque cote de la cage et fixées au montant de cette dernière, l’avant de la cage était évidé afin de lasser passer son cou, enfin elles fermèrent le haut en les boulonnant. Pour finir elles lui mire une cagoule de cuir lacée à l’arrière, cette dernière était muni d’une ouverture pour la bouche ainsi que pour les yeux, l’une d’entre elle ôta sa culotte noire et lui fourra dans la bouche, comme il était récalcitrant elle prit l’un ses tétons entre ses doigts et le lui tordit méchamment, il ouvrit alors la bouche et ne pu refuser le tissu qui entra dans son orifice…Un bâillon de cuir vint maintenir la culotte en place…Ses yeux furent a leur tour obstrues par deux caches de cuir. Ainsi immobilisée, elles s’adressèrent à lui :
-Demain tu seras marqué au fer !
Il sentit une piqure dans l’une de ses fesses…V-Annelage et FerragePuis elles quittèrent la pièce. La nuit passa, enfin se qu’il crut la nuit, la notion du temps s’estompait pour lui, il eu du mal à s’endormir, mais un somnifère lui avait été administré (la piqure) et il plongea dans le sommeil…
Le lendemain il fut réveiller tôt, il est 4 heures esclave, il reconnu la voix de la femme à la culotte de cuir. Elle lui ôta ce qui masquait ses yeux….
-Bien tu sais qui je suis à présent ?
Dis oui en hochant la tête, il obéit…
-Bien aujourd’hui ta journée sera longue, avant tout tu va être marqué au fer rouge, cela sera très douloureux, en effet il acété demandé que la marque soit profonde pour que tu souffres davantage ! il regardait la femme tout en l’implorant…
-Inutile d’essayer de m’amadouer, je suis cruelle, très cruelle et j’aime ça !
-Après le marquage on te laissera 2 heures de repos…Puis on procédera à ton annelage, sais tu en quoi cela consiste ? Il bougea sa tête de droit à gauche pour marque la négation…
-Hum, hé bien on va te percer les mamelons afin de munir chacun de tes tétons d’un gros anneau de fer ! (elle lui attrapa un téton et le lui pinça très fort) hum…Tu vas aimer ça, ou plutôt no tu vas détester cela mais moi je vais adorer ! ah…ah…ah…
-En suite, car ce n’est pas fini, une fois tes deux mamelons munis d’anneau, on te mettra un autre anneau, mais cette fois à ta queue ! he oui, ça aussi tu ne vas pas aimer, alors pour ça on va te faire bander et dès que tu seras en érection, on percera de l’intérieur de ton gland, jusqu’au frein, et on y placera un anneau de fer ! si tu n’as pas compris, ce n’est pas grave on va te l’explique en détail quand on y sera !!!
Elles se retourna vars les 2femmes noires :
-Tous le monde est arrivé ?
-Oui Madame !
-Bien faites les entrer !
La juge et ses 2 assesseurs entrèrent, suivi par son avocate, une femme suivait qu’il ne connaissait pas…Elle s’adressa à lui aussitôt :
-Je suis celle qui va te marquer au fer et te percer, j’espère que tu seras courageux, sinon je sévirai en conséquence, (tout en parlant, elle lui ôta le bâillon, puis la culotte de nylon noire, elle était vêtue entièrement de cuir avec des bottines hautes avec de hauts talons)
-On dirai que quelqu’un a oublié sa petite culotte dans la bouche de cette larve ! ah…ah…ah…Elle tendit la culotte vers la petite femme noire, connaissant ses habitudes…..
-Bon mettez moi ça sur la poutre (en désignant le valet) en s’dressant aux deux femmes noires.
Elles le détachèrent, le fier mettre à 4 quatre pates et sous le martinet le conduire vers une poutre de chêne….
-Debout chien ! et présente toi face à la poutre, lève les bras !
Elles le lierre par les poignets à la poutre les deux bras levés et joints…
-Ecarte les jambes ! encore ! encore ! (il se retrouva sur la pointe des pieds…
La femme vêtue de cuir s’approcha, mis sa main entre ses cuisses et saisit sans ménagement son sexe…
-pouh il est petit dit elle en s’adressant à l’assemblée, il faudrait mieux le castrer !
-oh non gémit le prisonnier…
-Oh tais toi ou je te le coupe de suite ! écarte bien les jambes qu’on puisse te lier les chevilles…Dans un mur de briques en face, elle ouvrit alors une petite porte, il sentit aussitôt l’onde de chaleur, deux fers étaient au feu !
-Bon je t’explique, sur le fer de droite se trouve les 3 chiffres que tu porteras sur ton cul, (elle sortit le fer et lui fit voir les 3 chiffres rougis par le feu, ils formaient le nombre 145, le valet se mit à sangloter…
-inutile de brailler, Madame la Juge puis je procéder au marquage de l’esclave ?
-Faites donc, il doit être lent et profond vu la gravité de sa faute !
Le fer le pénétra, une sensation horrible l’envahit, il hurla longtemps, le fer fut imposé 10 secondes et très profondément, il s’évanouit tant la douleur fut vive…
-Ranimez le pour qu’il puisse subir le châtiment de la lettre !
Il fur ranimé à l’aide d’un grand baquet d’eau glacé dont on l’aspergea…Il gémit, ah j’ai mal, je demande l’indulgence de la cour …
-Aucune indulgence ne te sera accordée et comme tu as prit la parole sans autorisation, je demande aux exécutrice de t’entraver la langue, la femme en cuir (sa palefrenière) lui saisit ses testicules et les tournèrent sur elle même, il hurla ce qui suffit à l’une des assistante, pour lui attraper la langue pour la prendre à l’aide d’une longue pince de fer, il paniqua, mais déjà la seconde assistante plaça deux languettes de bois flexible au dessus et au dessous de sa langue, puis elle plaça de chaque coté des ces languettes un élastique qui empêchait toute parole, la langue sortit et emprisonnait ainsi, il ne pouvait plus parler !
-Voilà qui est plus descend dit la Juge !
-Appliquer l’autre fer ! ce fut immédiatement fait, seul un bruit bizarre sortit de sa bouche, mêlé de pleurs de hurlement et de supplications incompréhensible…L’odeur de la chair brulée emplit la pièce, l’avocate sembla incommodée…
-Cette odeur, quelle horreur !
-Les âmes sensibles peuvent sortir répliqua séchement la Juge ! (l’avocate baissa la tête et se fit dès lors discrète…
Cette fois l’esclave 145 B, puisque désormais se serait son nom, ne s’évanoui pas, ce qui fut encore plus pénible pour lui, on le laissa souffrir durant 10 bonnes minutes avant que les femmes noires lui badigonne le cul avec des onguants de cicatrisation…
Une autre femme vétue de noir entra alors en scène, elle se dirigea vers l’esclave…Elle portait des lunettes, elle observa les marques et s’exclama :
-Parfait, voila un esclave bien marqué, il ne lui manque plus que de gros anneaux à ses tétons et un fixé à sa queue et il sera prêt pour son dressage !
Tu ne me connais pas esclave, je suis la dirigeante de centre de redressement et de dressage, j’ai parcouru ton dossier, il est consternant, tu devras expié longtemps avant ta vente ! fais moi confiance je suis experte et Alexandra à les mains libres pour te dresser ! Bien à présent annelé moi cette larve dit elle en s’adressant à la femme tout de cuir vétue !
-Bien Madame la Directrice !
On détacha l’esclave et on le plaça à nouveau sur la croix horizontale, les bras et les jambes écartelées à l’extrême…Il ne pouvait toujours pas s’exprimer la langue enserrée entre les 2 planchettes de bois…
Une fois cela fait la femme en cuir, s’approcha d’un petit brasero et se saisit d’une longue pointe de fer rougit, elle faisait environ 5 mm de diamètre, à l’aide d’une pince spéciale munie de 2 machoires applaties et percée d’un trou, elle attrapa sans ménagement le téton jusqu’à l’aréole et serra très fort, l’esclave gémit de plus belle, elle fit alors pénétrer la pointe rougie par le trou de la pince, une fumée noiratre s’échappa et sans plus attendre, elle perca le téton, l’aiguile de fer ressortit de l’autre coté du téton, elle tourna alors plusieurs fois l’aiguille sur elle même, la ressortit entiérement puis la fit pénétré une seconde fois, elle recommença cela 5 fois de suite, l’esclave étant parfaitement sanglé il ne pouvait que subir la torture atroce, elle ota cette fois l’aiguille et la pince, la femme noire en sous vetement blanc, passa sans attendre un gros anneau ouvert dans le trou du téton, elle prit une grosse pince et serra l’anneau de façon à le refermer afin qu’il reste captif du téton…
L’opération fut réitérée de la même façon sur le second téton…La juge s’approcha se saisit des 2 anneaux et tira dessus sans ménagement
-Parfait ! demain il sera temps de finir le travail, vous lui placerai un anneau dans sa verge, je veux que se soit la même dimension…
Sur ce tous quittèrent la pièce sauf la femme en cuir et les 2 femmes noires.
La femme en cuir s’adressa aux deux femmes :
-Vous me le préparé pour la nuit, pas de nourriture mais qu’il boive 2 pintes d’eau (environ 6 litres) d’ici demain, il faut qu’il garde l’eau ! elle sortit de la pièce…
Les 2 femmes muni d’un entonnoir se dirigérent vers lui, elle lui placérent un baillon anneau qui empéché de fermer la bouche puis enleverent les planchettes de sa langue, elle placérent une sort d’entonnoir de métal dans sa bouche et le fixérent à l’aide de lanière de cuir, de sort qu’il ne pouvait se soustraire à l’appareil…l’autre femme celleà la culotte noire, commença à ligaturer ses testicules, puis elle fit de même avec son sexe.
-Comme ça toi pas pouvoir faire pipi, hi hi hi…Apparemment cela l’amusé beaucoup…
-L’autre femme versa au moins 1 litre d’eau dans l’entonnoir et il du boire sans pouvoir s’y soustraire….Cela fut rapide….Elle sortirent alors de la pièce et la lumière s’éteignit…
Environ une heure plus tard la femme culottée de blanc, refit son apparition et elle recommença la même opération, puis sorti, lumière éteinte…Elle n’avait rien dit, il subissait…
Encore une bonne heure et retour de la même tourmenteuse :
-Alors toi aimé ça ? Non hein, mais moi beaucoup aimé !!!
En refit la même opération…
-Voila 3 litres encore 7, hum….Elle toucha son ventre, bien toi bien prendre !
Elle sortit…VI-Premier bridageEncore une heure, il somnolait légérement…Il sentit une douleur aux seins, une nouvelle femme était près de lui :
-Réveil petit chien !!! et vite !
Elle était totalement nue, son sexe était juste au dessus de sa tête, ses seins plantureux était munis de gros tétons, elle était très grande et impressionnante.
Elle souriait et prenait beaucoup de plaisir en voyant la détresse de l’esclave…
Elle s’adressa à lui avec un parlé parfait :
-Bon demain je vais percé ta petite queue, avant tu devras pisser l’eau que l’on t’aura fait boire cette nuit, ensuite tu devras bander bien dur pour que je puisse bien te percer, tu auras très mal, (elle lui montra une aiguille longue de 20cm et d’un diamètre d’environ 5mm) la panique se lisait dans les yeux de l’esclave !
-Tu vois c’est avec ça que je vais te percer, je te dirai tout ce que je ferai au fur et à mesure afin que tu souffres au maximum, j’aimes faire souffrir les petits blancs avec des petites queue comme toi, ah ahah…Mais pour l’instant il faut que tu boivent encore, cette fois se sera 5 litres !
Elle vida un premier litre, puis à peine eut il tou avaler qu’elle vers un second litre et elle continua ainsi jusqu’au cinquième litre….
-Bien tu avales bien, je revient bientôt pour encore 2 litres, profite bien, elle tapota son ventre, hum, tu gonfles bien, aha ah…Elle sortit, mais revint moins de 10minutes plus tard….
-Tu vas etre content plus que 2 litres, (qu’elle versa aussitôt, il n’en pouvait plus sa vessie était dilatée son ventre aussi…
Elle enleva l’entonnoir et plaçca immédiatement une grosse culotte de coton blanc, puis une seconde elle enfonça bien….
-Hum se sont mes culottes sales de ces deux derniers jours (elle plaça une bande adhésive pour lui fermer la bouche et l’empécher de se débarrasser des sous vetements)
-Bon, je vais délivrer ton petit bout de quequette ! hi hih i…
Elle défit les ligatures de son sexe, mais conserva celles qui enserrées ses testicules et qui lui faisait si mal…
Elle se recula et attendit :
-Tu peux commencé à pisser ptite bite !
Pour le contraindre elle appuya fortement sur son ventre, ne pouvant plus résister il commença à se vider, cela dura un bon moment, dès qu’il eut finit, elle se dirigea vers une armoire, qui contenait des vetements, elle mit un short de cuir noir moulant et un chemisier blanc, à ses pieds des chaussures à talon et c’est tout, elle se dirigea alors vers le rideau qui était en face lui et le tira sur toute sa longueur….La croix horizontale ou il était attachait, bascula alors lentement vers l’avant et prit un position quasiment verticale…En face de lui un public d’environ 30 personnes etait assis, apparemment pour assister à son humiliante punition…
-Mesdames, Messieurs je vais procéder à la touche finale de la déchéance de ce petit esclave, je suis la perceuse officielle de notre comté, le sujet sera pénétré par l’urêtre par l’aiguille que je vous présente, cette dernière ressortira juste au niveau du frein de son gland, un anneau de 5mm de diamètre et de 5 cm de circonférence sera alors placé à l’endroit ou l’aiguille sera passée auparavant. L’esclave doit subir toute la rigeur de son châtiement, au cas ou il perdrait connaissance, le supplice sera interrompu, l’esclave ranimé et le supplice reprendra et cela jusqu’à compléte fin, soit l’annelage définitif ! je vous souhaite un très agréable spectacle ! (des applaudissement fusérent, quelle présentation !)
-Comme il est bien plus commode pour l’esthétique du résultat que le sujet soit bandé, je vais donc commencé par sa mise en érection, le perçage commencera dés que cette dernière sera bien réalisée, le sujet ne devant tirer aucun plaisir de cette séance, il ne devra en aucun cas éjaculer !
Elle passa alors des gants de latex talqués, et commença une branlette rapide…
S’adressant alors à l’esclave :
-Bien entendu si cette larve est récalcitrante et qu’elle tarde à se mettre en l’état demandé, je le ferai entrer en érection en plaçant une sonde dans son cul dans laquelle je ferai passer un courant entrainant une érection réflexe et qui permettra le percement…Elle arracha alors le sparadrap couvrant sa bouche et en sortie les 2 culottes qui étaient à l’intérieur, l’esclave toussota légérement…
-Alors que choisit tu ? La mise en érection par branlage ou la sonde dans l’anus ?
-La branlette répondit-il mécaniquement…
-Non tu n’as pas compris il s’agit d’un branlage pour mise en érection, pas d’une branlette, il est hors de question qu’un éjaculat quelconque sorte de ton ridicule petit bout !
-Hum voila ça vient enfin, comme vous le constatez Mesdames, Messieurs, le sujet est à présent en état d’être chatié !
Elle se saisit de l’aiguille, décalotta le malheureux et sans hésiter, elle fit pénétrer l’aiguille dans l’urêtre en biais et d’un geste précis ressortit au niveau du frein en bas du gland, l’esclave se mit à crier et même hurlé, la femme savourait cet instant, elle tourna l’aiguille sur elle même plusieurs fois, afin de bien réaliser le perçage.
-Te voilà perceé comme un esclave doit l’etre, je vais laisser l’aiguille afin que le trou reste bien ouvert, puis ta palefrenière demain sans doute la remplacera par un anneau…Elle se dirigea vers le rideau et le referma, le spectacle était terminé !
VII-Tourment après perçage (ou comment une servante devient une putain)
On laissa l’esclave ainsi entravé et gémissant durant la nuit, il était seulement abreuvé par la noire à la culotte blanche de temps à autre….Celle ci à chacune de ses visites en profitait pour tourner l’aiguille sur elle même afin de permettre à cette dernière de ne pas se coller dans le trou, à chaque fois c’était supplique de l’esclave mais en vain, elle rétorquait simplement :
-Toi doit souffrir, car toi esclave !
Le lendemain la palefrenière entra et se dirigea vers lui…
Elle observa l’aiguille qui lui percé le gland…
-Hum, beau travail,(elle tourna une nouvelle fois celle ci)
-Ah je vous en supplie !
-Tais toi chien ou je te corrige !
Elle tenait dans sa main une sorte de petit cadenas en acier, muni d’un verrou.
-Etant donné que tu es coupable d’un crime sexuel, il a été décidé qu’au lieu d’un anneau, se serai un cadenas qui te serait posé !
Elle présenta le cadenas ouvert, retira l’aiguille d’un seul coup, écarta la plaie et y introduisit le cadenas, il hurla de plus belle, pour toute réponse elle le gifla violement…
-Tu sais ce que veux dire te taire ? On dirai que non, bon puisque c’est ainsi, tu subiras les orties aujourd’hui !
Elle ferma le cadenas et en prit la clef, qu’elle ajouta à la chainette qui pendait à son cou…Elle sortit, aussitôt après la femme à la culotte blanche entra, elle portait des gants et dans ses mains tenait un petit sac, qu’elle ouvrit aussitôt et elle en sortit plusieurs branches d’orties, qu’elle frotta énergiquement sur ses testicules, entre ses jambes ouvertes, sous ses bras et sur ses seins. La brulure cuisante fit immédiatement son apparition et il se mis à gémir….
-Toi pas comprendre te taire ? Elle ota alors sa culotte, tira sur le cadenas de son sexe, il ouvrit la bouche et elle y fourra sa culotte, Elle ota son soutien gorge, puis vint mettre sa chatte sur son visage…
-Hum toi sentir odeur de moi ? A partir de maintenant toi toujours me voir nue, car toi devoir lécher ma grosse chatte ! moi jouir sur toi ! toi me lécher après que je fais pipi ! hi hihi….
Si moi pas satisfaite, alors toi souffrir, orties, martinet, etc…
Il avait le nez dans sa chatte et très vite il suffoqua…
Jour après jour il fut ainsi dressé à la jouissance de la femme et uniquement à cela, la femme était insatiable et il devait la satisfaire avec sa langue plusieurs fois par jour…Il était régulièrement puni par les moyens appropriés et cela qu’elle soit satisfaite (ce qui était rare à ses dires, bien qu’elle jouissait beaucoup) Elle exigeait qu’il lapa et avala toute sa mouille et sa jouissance abondante. Quel que soit le résultat il était chatié, au mieux par 10 coups de martinet, il n’y avait pas de pire, une fois cependant ou elle n’avait pas jouie, il eut les couilles attachées par un anneau au plafond se qui l’obligea a resté cambré sur sa croix, elle pendant qu’il souffrait lui passa systématiqement tout le corps aux orties, il du supplier de longues minutes avant qu’elle consente a arrété. Quand ce fut fait elle chevaucha sa bouche, l’obligea à l’ouvrir et urina longuement et il du tout avaler sous peine de reprise du chatiement ! elle utilisait toujours des ordres brefs et secs :
-Langue ! langue plus profond ! obéir !
-Lécher poil à moi !
-Ouvrir bouche ! moi pisser dedans ! toi tout avaler, sinon étirer couilles au plafond !
Une servante s’occupait du quotidien, nourriture, nettoyage au jet à l’eau froide, il ne quittait jamais le cadenas de son sexe, la cicatrisation de ses différents tourments se faisait peu à peu, la servante lui administré des ongants à cet effet….Il devait la satisfaire régulièrement et elle aimait se faire sucer, mais ne le punissait jamais. Un jour celle qui le dressait entra alors qu’elle se faisait sucer par l’esclave, ce fut terrible, la femme insulta la servante dans une langue inconnue, la gifla à plusieurs reprises, la servante à genoux suppliait mais il semblait que rien ne pouvait calmer la colère de la dresseuse…Deux hommes vinrent la chercher et il ne la revue plus…Quelques jours plus tard la palefrenière vint lui donner quelques explications :
-La servante qui s’occupait de toi a été vendu à un bordel, elle a été plaçée à l’abbatage, c’est à dire au plus bas niveau du bordel, elle doit avoir au moins 50 clients par jour. Tout ça est de ta faute !
-Mais Madame !
-Tais toi tu ne dois pas répondre jamais, je vais prendre des mesures pour rendre tes conditions ordinaires, nourriture et lavage plus dures !
-En attendant tu devras toi aussi passer à l’abbatage, nous avons été trop douces avec toi, désormais tu auras à lécher et recevoir l’offrande urinaire de plusieurs dresseuses, je vais les choisir très dures et cruelles, cela te passera l’envie de séduire une petite domestique ! Plusieurs dresseuses entrèrent dans la pièce et elles se succédèrent sur sa bouche pendant de longues heures…Après chaque jouissance ou pas il était puni très sévérement sans aucune complaisance, il reçu à deux reprises le fouet, attachés par les poignets et soulevé du sol, dans une petite cour intérieure du centre de dressage…
Enfin au bout de quelques jours la palefrenière présenta ses nouvelles conditions de détentions, il fut mis à genoux les mains liées dans le dos fixées par une chaine à un collier de cuir qu’on avait passé à son coup ….Ses couilles étaient lestées par un lourd poids de métal
Devant lui les 4 femmes dresseuses, assises, nues les cuisses ouvertes…
-Baisse la tête, tu n’a pas le droit de regarder la chatte de tes dresseuses, tu dois juste les sentir et les lécher, d’ailleurs dans les nouvelles conditions de ta détention tu ne pourras plus les voir !
Et pour mieux se faire comprendre elle mis un bandeau sur ses yeux….
-Voici les nouvelles règles, quand tu ne seras pas au dressage, tu sera placé dans une cage munies de barreau, assis sur un siège de fer, les cuisses ouvertes, tu sera emprisonné aux chevilles et aux poignets sur des accoudoirs, ton anus sera pénétré par un plug de fer, et tes couilles serrées emprisonnées chacune dans une manille de fer ta bite dans une cage de même type et cadenassée, ta tête sera maintenue dans un casque à barreau qui l’immobilisera totalement, ta bouche ouverte recevra un plug qui servira à te nourrir, tes besoins seront recuillis dans un bac placé sous toi, une sonde te sera placé à l’aide d’une canule dans ta bite afin que tes urines soient évacuées. Avant chaque séance de dressage, tu sera lavé au jet d’eau froide, puis séché, enfin tu devras te rendre à 4 pattes et en laisse au salon de dressage, ou là tu devras réaliser ton ouvrage de lécheur de chattes ! Enfin d’ici 1 mois tu seras vendu à la plus offrante, l’acheteuse devra prévoir une servante autoritaire et sadique qui ménera ta vie en dehors du plaisir de ta Maitresse, un contrat en bon et du forme sera annexé et régir cette vente. Sur ce il fut mené en salle de dressage et du s’acquitter de plusieurs jouissance données aux dresseuses…..VIII-Une Dame de qualité en visiteLes jour passèrent et un matin la palefrenière et entra et annonça :
-B415 tu vas avoir une visite, la Dame qui va arriver est succeptible de t’acheter, je te conseil de bien répondre à toutes les questions qu’elle t’adressera, si tu as compris hoche la tête, ta bouche étant baillonnée ! il obéit et quelques minutes plus tard une femme entra et vint s’assoir sur un fauteuil, elle posa ses bras sur les accoudoirs et regarda fixement l’esclave, elle semblait très sévère, elle était vétue de bottines de cuir, d’un pantalon très moulant, d’un chemisier noir transparent qui laissait voir un soutien gorge rouge muni de dentelles noires. la première question qu’elle posa fut étrange…
-Est il normal que cet esclave est le crâne non rasé ? (en effet depuis sa détention, on avait pas pratiqué de coupe à ses cheveux et ceci avaient bien repoussés…
-Oui Madame repondit la palefrenière nous préférons laisser ainsi les esclaves à la vente, il est facile d’y remédier si vous le souhaitez ?
-Oui, j’ai des exigences en ce domaine mais nous en reparlerons, pour l’instant faite le avancer devant moi !
L’esclave fut tiré par la chaine fixée au cadenas de son sexe à genoux devant la femme…
-Bien je vois qu’il a été correctement annelé, tous les accessoires sont fournis avec je suppose ?
-Oui bien entendu, les anneaux des tétons, le cadenas sur son gland, les manilles à testicules…
-A ce propos j’aimerai quelques modifications, en ce qui concerne le cadenas, je souhaiterai qu’il soit remplacé par un gros anneau similaire aux tétons, cette anneau devra être soudé afin qu’on ne puisse l’enlever ! il faut aussi qu’il soit doté d’un collier de cuir à son cou, le cadenas maintenant ce collier sera aussi soudé, sa taille sera munie d’une ceinture de fer cadenassée,dont la serrure sera soudée elle aussi, une chaine sera passée entre ses jambes et reliée devant et derrière à la ceinture, à cette chaine il faudra adjoindre un plug de fer qui pénétrera son anus !
-Il y aura un léger supplément de prix mais cela sera sans problème…
-Bon à présent je souhaite le tester enlevez lui son baillon…
Elle le saisit alors par les 2 tétons et les tira fortement vers le haut…L’esclave se souleva légèrement…
-Non non garde la position, je dois connaitre ton seuil de douleur (elle tira alors sur les anneaux et les vrilla, ce qui lui tordit les tétons…
-Ah…
-Chut chut silence B415 ! (elle recommença…cette fois beaucoup plus fort….)
-Ah….
-Hum pas très obéissant ni résistant, j’y remédierai ! bon quand est il livrable ?
-Dès ce jour, une fois le contrat établi ! avez vous amené la servante chargé de sa prise en main ?
-Oui elle attend dans la pièce voisine, je vais la laisser avec l’esclave pendant le temps que nous consacrerons au contrat….
-Sarah entrez ici et voyez ce que nous pourrons faire de cette chose, comme d’habitude ne transigez sur rien !
Une servante entra dans la pièce. Elle semblait très jeune, elle alla s’assoir à un petit bureau, elle prit un cahier et un crayon, l’observa sans mot dire et commença à écrire…De temps à autre elle se tournait vers lui, puis reprenait son écriture…
-Dis moi chien depuis que je t’observe, j’ai remarqué que quand j’écris tu en profite pour regarder sous ma jupe !
-Non…non Madame je ne me permettrai pas….
-Tu dis que je mens ?
-Non non Madame…il ne put terminer sa phrase elle s’était levé et l’avait giflé à 3 reprises de toutes ses forces…
-Alors un tu te tais, tu ne me réponds jamais, sauf si auparavant je t’y est autorisé, ce qui arrivera rarement! deuxièmement tu m’as accusé de mentir ce qui est très grave et tu seras puni en conséquence et cela très sévérement, ne te fie pas à mon physique je suis cruelle au delà de ce que tu peux imaginer, dis toi qu’ici dans ce centre de dressage tu étais en vacances ! alors à présent je vais te questionner, tu ne parles pas tu hoche la tête soit par l’affirmative soit par la négative, compris ?
Il hocha la tête par l’affirmative…
-Tu as regardé sous ma jupe ?
Il hocha par l’affirmative, elle écrivit sur son cahier….
-Tu as vu ma culotte ?
Il hocha par l’affirmative, elle ecrivit sur son cahier….
-Est elle noire ?
Il hocha par la négative, elle ecrivit sur son cahier….
-Elle est rouge alors ?
Il hocha par la négative, elle ecrivit sur son cahier….
-Serait elle blanche ?
Il hocha par l’affirmative, elle ecrivit sur son cahier….
-Tu as donc menti ?
Il hocha par l’affirmative, elle ecrivit sur son cahier….
-Bon problème temporairement réglé ! Voyons as tu le droit de te branler ?
Il hocha par la négative, elle ecrivit sur son cahier….
-Normal dans ton cas, tu sais que tu es qualifié de pervers sexuel ?
Il hocha par l’affirmative, elle ecrivit sur son cahier….
-Es tu d’accord pour le châtiment qui t’ai administré ?
Il hocha par l’affirmative, elle ecrivit sur son cahier….
-Bon quelques questions sur ce qui te servait de queue ! hi hi….
quelle est la longueur de ton sexe en érection ? Tu me réponds en indiquant un nombre !
-16 cm (elle se se leva et le gifla comme la fois précédante mais plus violemment encore, j’ai dit un nombre, j’en ai rien à foutre de tes centimètres, tu me prends pour une conne je sais bien que ce ne sont pas des mètres, pauvre con ! en plus tu mens je veux la bonne longueur, inutile de te vanter ! (il allait répondre à nouveau…)
-Bon inutile, je marque 10 de toutes façon tu ne pourra plus t’en servir comme un homme, petite lopette !
-Bon question je porte une culotte noire n’est-ce pas ?
Il hocha par la négative…Elle se leva le gifla et lui dit en soulevant sa jupe, regarde je te dis qu’elle est noire ! (sa culotte était blanche…)
-Alors réponds ma culotte est-elle rouge ?
Il hocha par l’affirmative…
-Voila tu commences à comprendre, mais il n’est pas certain que la prochaine fois je ne changerai pas la réponse, il faut que tu saches que je suis injuste et bien plus perverse que toi !!!
Sur cette interressante conversation, la Dame acheteuse et la palefrenière entrèrent…
-Bon Sarah, as tu fait connaissance avec cette larve, qu’en penses tu ?
-Madame, il est pervers, menteur et peureux, je préconise un achat mais à très faible prix ! Il serait à mon avis nécessaire de le chatrer ou tout du moins de le brider au niveau de son bout très sévèrement !
-Et vous palefrenière, votre avis ?
-Je pense tout de même à un prix raisonnable, il est jeune et pourra vous servir longtemps…
-Oui oui, mais l’avis de Sarah m’est précieux et elle est au contact de tous mes esclaves, je lui ai travaillé les tétons tout à l’heure et elle a raison en ce qui concerne sa dureté au mal ! Il me semble bien faible !
-Je suis d’accord MAdame c’est une vraie lopette, mais qu’attendre donc d’un voyeur pervers comme lui ?
-Bon bon je sais que nous finirons par nous entendre sur le prix, je suis une fidèle cliente non ?
-Bien entendu Madame, nous sommes d’accord sur l’essentiel et le contrat doit être pratiquement prêt à présent, je passe le prendre à mon secrétariat (elle sortit)…
Se tournant vers Sarah,
-dites moi ce que vous pensez de son utilisation ma chère Sarah ?
-Pour moi il devra être placé au moulin de pressage de l’huile !
-Hum oui c’est une bonne idée, la production est en baisse et cette production est de bon rapport !
-Il faudra évidemment l’équiper en conséquence, dans un premier temps nous briderons sévérement son gland, afin qu’il ne puisse entrer en érection, les gardes chiourmes du moulin pourront l’utiliser à leurs propres plaisirs, elle ont ordre de ne jamais se laver la chatte et la raie du cul, et se sont les esclaves attachés au moulin qui doivent les nettoyer avec leurs langues !
La dame s’assit de nouveau dans le fauteuil, intima à l’esclave de se présenter devant elle à genoux…
-Viens là B415,(elle le saisit par les tétons et comme à son habitude vrilla les anneaux)
-Ah !
-Chut chut, écoutes moi bien, et je ne veux entendre aucune protestation ni jérémiade durant mon explication, Sarah ici présente ta nouvelle Maitresse, va te brider le gland, pour celà elle te le percera décalotté au niveau de sa base de façon à pouvoir y passer une petite barre de métal, à cette barre sera fixé une cage identique à celle que tu portes actuellement, mais cette fois définitivement, elle ne te sera plus enlevée car elle sera rivetée à la petite barre, l’anneau qui pénétre ton gland sera ensuite reposé et soudé ! celà fait, le poids qui étire tes testicules sera agrandit progressivement et étirera tes boules vers le bas, tu verras c’est fort désagréable et les esclaves supplient en général pour que l’on arrete l’étirement. Quand tes testicules seront assez basses ont y placera le poids de métal correspondant à 1 kg, de la même façon on soudera le dispositif définitivement !
La peur se lisait dans les yeux de l’esclave, elle le fixait tout en continuant à lui martyriser les tétons…
-Qu’en dites vous Sarah ?
-Parfait comme d’habitude Madame !
-Bien mais avant tout nous avons une surprise, qui compte beaucoup dans la négociation d’achat, c’est même cela qui a emportait ma décision ! la juge est d’ailleurs la pour confirmer mes dires !IX-Préparation à la vente de B415
La juge qui avait administré le procès entra ainsi que la palefrenière suivie de toutes les dresseuses qu’il avait deja subit…La juge prit la parole :
-Je vois que l’on acommencé ton bridage ! bien par jugement complémentaire vu les fautes rapportées par tes dresseuses, ta palefrenière et Dame Catherine ta nouvelle propriétaire, les fautes sont ainsi énnoncées :
*Mensonges durant le procès et après celui ci durant sa détention
*Rébellions multiples par non obéissances immédiates aux ordres
*Protestation devant les sanctions par protestations nous entendons les cris et dénégation sous les tourments
*Perversité par des regards inapproprié sous la jupe de Sarah ici présente et qui peut attester ?
-Absolument Madame la Juge, l’esclave B415 a maintes fois regardé sous ma jupe durant mon questionnement !
-En effet, je poursuis :
*Pour sa non repentance, en effet à aucun moment et de lui même il a approuvé son chatiement et demandé que l’on soit plus sévère envers lui, ce qui prouve son incapacité à reconnaitre les faits reprochés !
-Prononçons sa vente définitive à Dame Catherine ici présente pour le modeste somme de 150 Ducas, étant entendu que l’esclave soit placé sur un moulin à huile destiné à moudre les olives sur la propriété de cette Dame, demandons à ce que le dit esclave y soit maintenu dans la plus stricte obéissance et qu’il soit régulièrement discipliné par le fouet ou tout autre tourment jugé utile et cela une à plusieurs fois par jour ! qu’il y soit maintenu nu, les anneaux aux tétons et marquage ayant déja été réalisé, il devra être totalement bridé en ses parties honteuses, pour cela le sexe sera encagé définitivement empéchant toute dilatation de sa verge, son anus sera pénétré et ne sera libéré que pour pouvoir vider ses immondices fécales. Sur quel moulin sera placé l’esclave ?
-CE sera le moulin N°8 Madame le juge répondit Sarah, le plus dur, 3
gardes chiourmes y sévice et elle sont sans complaisances et redoutables, la première est surnommées Chagatte, la seconde l’Africaine et la troisième Chatoune, je vous ai d’ailleurs fourni les photos de ces dernières afin qu’lles soient annexées au contrat de vente.
-Hum en effet, vous êtes parfaite Sarah, Madame Catherine vous avez la
une collaboratrice de premier choix !
Elle tendit les photos des futures geolières à la juge.
-Vous m’avez parlé de 3 gardes et je vois 4 photos ?
-Ah oui il s’agit de la responsable du moulin N°8 ! surnommé Brutalia !
-Bien bien, y a t’il d’autre chose que je dois avoir avant de sceller ce contrat ?
-Ah oui Madame le juge, ce moulin est très dur et nous avons des pertes en esclave !
-De quel ordre ?
-La survie ne dépasse pas deux années, enfin nous avons un esclave qui est là depuis cinq ans, mais nous devons songé à le remplacer !
-Bon avez vous le dossier ce ce dernier ?
-Oui le voici, c’est aussi un pervers et un voleur, il a fait son temps !
Parcourant rapidement les feuillets du dossier, oui je vois il aurait du être executé selon les modalités de son procès, je vois ici qu’il devait être castré, cela a t’il été fait ?
-Non Madame nous avons eut une dérogation, car comme vous le savez un esclave bridé est plus facile à tenir en laisse qu’un esclave chatré !
-Hi hi hi vous avez raison Sarah…Bien à présent qu’il ne fait plus correctement son travail faites le chatrer devant le reste des esclaves du moulin et vous placerai B415 à sa place ! il saura à quoi s’en tenir désormais ! La juge se tourna à nouveau vers l’esclave, qui pleurait depuis un petit moment déja…
Inutile de chialer lopette, je te conseille de filer droit et de travailler dur au moulin, je vais te montrer les photos de tes nouvelles patronnes, elles ont tous les droits sur toi, quand tu auras suffisemment servi et qu’une autre larve comme toi prendra ta place, l’Africaine te castrera ! en attendant tu devras les satisfaire sur tous les points, avant tout la production d’huile, puis le nettoyage avec ta langue de leurs founes, ah oui j’oubliais : elles ne se lavent jamais , ouh hou hou ! et gare à toi si tu eas un haut le coeur !!!
Toutes sortir et il resta à genoux dans le noir…Tremblant en songeant à ce qui l’attendait !X-La conduite au moulin(2femmes poiliciere prennet en charge B415)
Quelques jours plus tard, alors qu’une dresseuse le punissait comme chaque jour à l’aube, en général 10 coups de fouets et étirement des testicules, grace à l’écarteur d’acier le travail d’étirement progressait régulièrement, la souffrance de l’esclave s’en voyait accrue chaque jour, mais s’il suppliait on ajouter un tour de vis supplémentaire à l’écarteur…
Deux femmes blanches entrèrent dans la salle de travail de l’esclave, l’une d’elle prit la parole :
-Salut à toi, nous sommes les convoyeuses pour mener l’esclave portant le numéro B415 au moulin N°8 appartenant à Dame Catherine !
-Oui il s’agit de la lopette que je suis en train de travailler à lécarteur de couilles ! vous avez un document de transport ?
-Tenez le voici…
Elle lit rapidement le document, s’assura de sa parfaite authenticité, tout est en ordre, nous allons le préparer au départ…
-A ce propos vous constaterez que Dame Sarah qui est la collaboratrice de Dame Catherine a demandé certaines modification, voyez le paragraphe 4, ou il est précisé que l’esclave B415 doit être livré nu et sans aucun accessoire, sauf les anneaux des tétons et de son bout !
-En effet, mais je tiens à vous préciser que voila 6 mois que cet esclave est chez nous et que sa queue est bridée et qu’il n’a ni bandé, et encore moins éjaculer depuis ! je ne garantie pas son état dès qu’il aura été libéré de toute entrave !
-Nous le savons, mais nous avons des ordres, nu et sans aucun accessoires sauf les trois anneaux !
-Bien je vais appeler mon aide…Elle sonna et quelques instants plus tard la dresseuse à la culotte noire apparue…
-Il faut tout enlever ceinture, baillon, bride, il ne conserve que les anneaux des tétons et du gland !
Une fois cela fait l’esclave du se mettre à genoux, tête baissée, mains dans le dos.
-Tu attend la sans bouger, nous allons chercher ta chariote de contension pour le transport !
Elle revinrent quelques minutes plus tard en poussant un chariot de fer, muni de 4 roulettes, sous le chariot des barres d’acier et divers ustensiles dont il ignorait l’utilité, la convoyeuse blonde s’adressa aux dresseuses :
-Nous vous demandons assistance au cas ou B415 ne serait pas coopératif !
-Evidemment répondirent elles en coeur…
-Toi lève toi et pose ton cul sur le plateau du chariot, (le petit plateau était carré et muni à chaque angle d’un trou de 5 cm de diamétre environ) écartes les cuisses sur chacun des coté, encore et obéit rapidement aux ordres ! que je n’ai pas à répéter !
Il écarta les cuisses et chacune des femmes plaça l’une des barres qui se trouvaient sous le chariot au 4 angles du plateau, ainsi ses jambes ne pouvaient plus se rejoindre, elles placérent des clavettes pour retenir les barres au plateau, elle placérent alors un panneau de fer carré de la meme dimension que le plateau sur lequel il était assis, le panneau avait un trou rond permettant de passer la tete de l’esclave, et elles le fixérent en haut des 4 barres cylindriques de façon à maintenir sa tete au niveau du cou, le plateau etait muni de glissieres qu’elles utiliserent pour y placer deux demi plaques de métal, ce qui une fois en place maintenait la t^te de l’esclave immobilisée dans une sorte de carcan, ses poignets furent fixés aux barres arrière dans le bas fixées à deux anneaux qui dépassaient du plateau. Elles lui placérent alors un bracelet de cuir à chaque cheville, passérent une chaine dans l’anneau central en haut du plateau près de son visage, la chaine étant munie à chaque extrémité d’un mousqueton, il fut aisé aux geolières de fixer chaque cheville de chaque coté de la chaine. L’esclave ainsi captif était donc assis sur un petit chariot d’acier, les bras en arrière, les chevilles et les jambes relevées devant, la posture était très humiliante, laissant apparaitre son sexe annelé, les jambes étant très remontées et écartées laissait voir son anus !!!
-Bien à présent il nous faut lui placer ceci dans le cul !
La brune tenait dans sa main une sorte de godemichet en métal qui était muni de deux boules ! Elle vaselina abondemment son anus, car il etait impossible d’introduire l’objet sans le déchiré, ce qui aurait empéché son futur travail d’esclave au moulin ! Elle introduisit le god dans son anus et poussa pour faire entrer la première sphère…
-Allez aide un peu minable pousse que je puisse ecarter ton cul de lavette…Elle poussa fortement et cette fois la première partie entra….Il avait atrocement mal et se retenait d’hurler…
-Bon le seconde partie va être très pénible dit elle en s’adressant aux geolières, il va forcément beaucoup crier, si c’est le cas nous le musélerons sévérement…
Elle lubrifia très abondemment à nouveau et recommença cette fois sans modération sa poussée, il ne put tenir et se mis à crier et supplier…
-Oh Madame, s’il vous plait j’ai très mal, je ne supporterai pas cela, je ferai ce que vous voudrez…Elle le gifla !
-Ce que je veux c’est que tu manges avec ton cul ce gros god, quand tu regardais les femmes en cachette tu n’avais aucune honte ? Alors maintenant c’est le début de ta vie honteuse qui commence, être sodomisé sera ton quotidien !
Les 3 autres femmes présentes éclatèrent de rire et lui balancèrent quelques quolibets…
-Pauvre petite pédale qui se fait emmencher et qui pleure, bon soyons sérieuses, donne moi la cagoule intégrale Martha dit elle a la blonde en cuir…
-Tu vois avec ça finit les cris, nous allons tout faire entrer et n’entendrons plus tes gérémiades ! elle lui présenta un masque de cuir intégrale, il n’y avait qu’un trou pour la bouche et une chainette munie d’un bouchon pendait du masque, a coté du masque un entonnoir pouvit etre fixé dans l’orifice bucal, sans que l’esclave ne put refuser cette humiliation supplémentaire ! Elle lui fixerent donc le masque, dès que se fut fait, lui imposerent l’ouverture de sa bouche et y introduire une grosse culotte de coton qui devait être blanche à l’origine, mais dont la propriétaire avait du la garder plusieurs jours, elles finirent par la mise en place du bouchon, et sans perdre de temps poussérent fortement le godemiché qui pénétra sous les cris et les pleurs à peine audible de l’esclave ! Une fois qu’il fut calmé, elles otérent le bouchon, ainsi que la culotte, y introduisirent la canule de l’entonnoir, qui etait assez longue et elle alla se loger dans sa gorge, il eut un haut le coeur, la femme attendit en core et fixa l’entonnoir par un astucieux verouillage au masque, sa gorge était brulante et ouverte à toute penetration sans qu’il puisse s’y soustraire, il entendit :
-Qui a une envie de pisser ?
-Moi…
-Moi aussi…
Il reçut dans sa gorge un liquide chaux et odorant, la femme urina longtemps…
-Hou ca fait du bien, c’est agréable d’utiliser un esclave urinoir !
Elles versérent à tour de role leurs urines dans l’entonnoir, puis après un moment d’accalmie, il sentit qu’on déplaçait le chariot, après quelques minutes un bruit de métal se fit entendre, puis des cliquetis dont il ignorait la provenance. En réalité le chariot avait était introduit dans une fourgonette et il avait était ammaré au sol pour éviter son déplacement durant la route. Enfin il sentit qu’on avait fixé aux anneaux de ses tétons une sorte de fil, on fit de meme à l’anneau de son sexe…
-Tu veux bien mettre ce fil sur le god ?
-Oui, tout est relié ? On fait la check list ?
-Alors les 2 tétons branchés, son bout aussi, le god branché…Bon enlève l’entonnoir et muselle le…
On ota l’entonnoir, et mis en place le bouchon.
-La nouvelle qui doit venir avec nous est arrivée ?
-Je pense que oui, je vais la chercher….
Quelques instant plus tard, une personne entra dans le fourgon…Il s’agissait d’une jeune noire, très belle et qui portait un soutien gorge ouvert laissant apparaitre ses beaux seins, elle portait une jupette sans culottte ce qui laissait apparaitre toute sa toison, de petits noeuds rouges compléter sa tenue blanche…
-Oh, cet homme doit se rendre au moulin comme moi ?
-Oui assiez toi nous allons t’expliquer avant de partir…Bravo tu es très sexy…
-Merci Madame, c’est la première fois que je porte cette tenue !
-Non au contraire, elle est conforme à ton futur métier, Alors tout d’abord ce n’est pas un homme, tu peux l’appeller à ta convenance : esclave, B415 (c’est son numéro d’esclave), lopette, larve ou ce que tu veux mais jamais homme ou autre, d’accord ?
-Oui Madame
-Bien tu vas travailler au moulin comme garde chiourme ? C’est cela ?
-Oui Madame…
-Alors tu vas faire la route avec cet esclave, mais tu ne dois pas être compatissant avec lui, tu n’as pas encore appris le métier mais au moulin tu seras formée, que sais tu exactement sur ton futur métier ?
-Eh bien je sais que je devrais garder des esclaves qui y travaillent, qu’ils devront être obéissant et les punir si nécessaire…
-Oui tu sais que ce sont tous des criminels, qui ont commis des fautes impardonnables ?
-Heu oui vaguement…
-Bon tu pourras pendant la route jusqu’au moulin interrogé cet esclave, toutes tes questions seront utiles à ton information, il faut trois heures pour arriver au moulin, cela te donne le temps…
-Bien Madame, je pourrai lui poser n’mporte quelle question ?
-Oui surtout soit curieuse, ne te refuse rien ! Comme tu le vois il y a des fils sur toutes ses parties sensibles, ses tétons, sa queue, son anus, ici sur cette cloison tu vois il y a un interrupteur qui une fois actionné envoi un courant très désagréable à cette lopette, il va donc gémir beaucoup, si tu es incommodée par ces gémissement tu enlève le bouchon de sa bouche et tu y places cette culotte sale (elle lui montra une étagère ou etait placé le sous vetement) et tu remet le bouchon, cela suffit à le rendre silencieux…Enfin sauf quand la douleur est intense, tu vas mieux comprendre !
-Bien Madame…
-Entre chacune de tes questions n’oublie pas d’actionner l’interrupteur, en revanche durant ton interrogatoire arrete le système, si les réponses ne viennent pas suffisament vite ou quelle te semble peu claires ou mensongères, tu a à côté de l’interrupteur cette molette qui te permet d’augmenter la puissance de la décharge electrique, n’hesites pas à l’utiliser, sinon tu replace la molette au milieu comme ceci, je te fais une demonstration.
Elle enleva le bouchon et mit l’interrupteur sur marche, aussitot une lamentation de l’esclave se fit entendre….
-ooooooh….
-Si j’augmente le volume !
-ooooooooooooh aaaaaah non je vous en prie………..ahhhhhh…..
Elle arreta l’appareil.
-Tu as compris ?
-Oui il a vraiment très mal ?
-Oui c’est une souffrance difficile et pénible, le système une fois actionné envoie les décharges de façon aléatoire, le supplicié ne sait pas quand il recevra la décharge, il peut y avoir 10 secondes au minimum ou 3 minutes entre chaque décharge, de plus la décharge permet 9 combinaison différentes, car il y a 4 points de connections, chacun des fils sur les tétons, le sexe et l’anus peuvent recvoir la decharge et cela independemment l’un de l’autre !
-Je ne comprend pas très bien ?
-Voila, il peut recveoir une decharge du téton droit au téton gauche, la fois d’après du téton droit à sa queue, puis peut être de sa queue à son anus
Pour simplifier voici la totalité des combinaisons :
TG pour Téton gauche
TD pour téton droit
Q pour queue
A pour anus
ce qui donne pour les combinaisons simples à deux (douloureuses):
TG+TD ou TG+Q ou TG+A ou TD+Q ou TD+A ou Q+A
Pour les combinaisons à trois (très douloureuses)
TG+TD+Q ou TG+TD+A
Enfin pour la combinaison ultime horriblement douloureuse, celle ou quelque soit le baillon il souffrira tant que ses gémissements seront atroces dans ce cas l’esclave se plaint plusieurs minutes durant, c’est la que tu devras utiliser la culotte comme baillon)
TG+TD+Q+A
-Cette fois j’ai tout compris, quand partons nous ?
-Dans quelques instants le temps de terminer la paperasserie administrative et en route, nous montons à l’avant toi tu restes avec la lopette, ok ?
-Bien Madame, je pense lui poser de nombreuses questions !
-Oui ce test comptera pour que tu sois recrutée définitivement, pour l’instant tu as réussit la première partie de ton examen, voici ton test pratique, tu consigneras par écrit toutes les questions posées ainsi que ses réponses parfaitement détaillées, en arrivant la rsponsable du moulin vérifiera tout cela et elle décidera avec Maitresse Catherine de la réussite ou non de ce test !
………..Le fourgon démarra, la jeune femme ne perdit pas de temps et commença un long questionnaire :
-Bon je ne vois que ta bouche mais cela me suffit, alors je débute dans le métier comme tu l’as entendu, mais je compte bien progresser rapidement alors il va falloir que tu m’aide petit esclave….
-Oui je ferai de mon mieux Madame…
-C’est bien d’être coopératif, alors avant tout je veux que tu saches qui je suis, j’ai 17 ans, j’ai été sélectionnée car j’aime dominer les hommes, mais comme toi tu n’es pas un homme mais un esclave, je dois apprendre à te faire souffrir ! hi hi, tu aimes souffrir ?
-Oh non Madame…
-Alors d’après toi pourquoi es tu ici, dans cette position si humiliante devant moi ?
-J’ai été jugé coupable de perversité !
-Hum de perversité, voyez vous ça ! explique moi un peu ? Quel crime as tu commis ?
-J’ai regardé ma Maitresse alors qu’elle allait prendre son bain….
-C’est en effet très grave pour un domestique, tu l’as vu nue ?
-Oh non, en combinaison seulement…
-Seulement, bon nous allons faire de suite une pause, enfin pour toi se sera de la douleur !
Elle mis en marche l’appareil et se cala dans un fauteuil en face de lui pour observer….Il reçu une première décharge qui alla de son téton droit à son anus, il treissallit de tout son corps….
-AAAAh…..
-Hum alors dis moi d’ou du téton à mes fesses Madame…
-Bon alors je veux des réponses précises, j’ai un rapport de travail à faire, précises le téton, et tu dit anus et non fesses !
-Téton droit Madame à l’anus…
Trente secondes s’écoulèrent et de nouveau une décharge….
-Aaaaah, j’ai mal s’il vous plait !
-Cris si tu veux, pleure, mais je ne veux entendre aucune supplication, je t’écoute d’ou à ou ? Vite, ou j’augmente la puissance de la prochaine décharge !
-De mon sexe à l’anus Madame…
-Tu remplaçeras sexe par petit bout !
Il n’eut pas le emps de rectifier une nouvelle décharge, cette fois il se tordit de manière ridicule sur sa chariote de fer…
-Ah…oh…..ah…….aaaaaaaaaaaahhhh..
-cela suffit ou ?
-De mon téton gauche au droit et l’anus….
-Hum une bonne décharge !
Elle arreta la machine…
-Bon tu dois etre bref dans tes reponses, je ne dois pas avoir à demander, tu pleure tu cries, puis tu par exemple téton gauche, petit bout, anus, c’est compris ?
-Oui oui Madame…
-Reprenons le questionnaire, donc tu as minimisé ta faute, voir sa Maitresse même en combinaison est très grave, on aurait du te chatrer pour une telle faute, le sais tu ?
-oh me chatrer, pour cela ?
-Et oui, bon donc plus minimalisation dorénavant !
-Oui Madame
-Je suppose que tu as reçu le fouet en place publique au moins ?
-Oh oui, j’ai reçu le fouet et j’ai été frotté aux orties…
-Ah très bien les orties, je vois que tu as été marqué au fer, mais je ne peux lire le numéro ?
-B415 Madame …
Très bien tu connais ton numéro, mais cela ne suffit pas il faut te présenter ainsi, quand evidemment on t’interroge « je suis lopette B415 » pas esclave, car un esclave c’est le grade juste au dessus du tien, toi tu es un sous homme et donc une lopette, c’est clair ?
-Oui c’est très humiliant Madame…
-Evidemment que ca l’ai, mais il faut que tu expies tes fautes, d’ailleurs quelles sont tes autres fautes avouées ?
-J’ai été condamné pour avoir volé 2 culottes à ma Maitresse…
-Et c’est exact ?
-Oh non Madame, mais on m’a obligé à l’avouer…
-Hum donc tu penses que l’on a instruit à charge contre toi et que la juge t’a injustement condamné ?
-Euh oui en partie…
-Holala, tu n’as donc rien appris, tu sais au fond de toi que tu mens, que tu es coupable !
-Je vous assure….
-C’est très grave ce que tu viens de faire, et quand bien même on aurait instruit contre toi, c’est pour ton bien qu’on l’a fait, une lopette comme toi ne peut être innocent même s’il n’a rien fait ! enfin quelle vie aurais tu eut ? un petit domestique soumi et vil ? A présent tu es entre les mains de femmes certes sévères et cruelles, mais qui seront te dresser et te permettre de te racheter de tes fautes ! oui pour celà il te faut souffrir pour expier, tu seras torturer comme en ce moment, tu sera humilié, frappé, mais sache que c’est pour ton bien.
bon je vais te mettre en punition une bonne demi-heure et nous reprendrons ce questionnaire avec de meilleures intention de ta part !
Elle remit la machine route…
La machine fit son oeuvre, faite de douleur attroce, quand vint le moment ou la phase ultime fut atteinte (les tétons, son bout et son anus simultanément, il rala durant environ 3 minutes en pleurant beaucoup et suppliant en vain bien sur, elle ne l’avait pas baillonné durant cette phase, mais lui avait parlé avec le m^me type de propos, ventant la voie de la repentance…
-Oui tu ssouffres, mais ta queue et ton anus doivent subir ces tourments pour que tu ne recommences plus !
Soudain le véhicule s’arreta, depuis quelques minutes la route devenait difficile et cahotique…
La porte arrière s’ouvrit….
-Arret pipi dit la femme brune qui venait d’ouvrir la porte…
-Hum il y a un pot pour uriner dit la blonde…
-Ah oui, je vais me soulager dit l’apprenti garde chiourme !
La bonde vint à son tour…
-Cela fait une heure que nous roulons, la route à partir de maintenant va être difficile jusqu’au col, il nous faut encore une heure pour y arriver ! ah tous le monde fait pipi, à mon tour !
Elle urinérent chacune leur tour dans un pot destiné à cet usage, puis la brune se dirigea vers la lopette avec l’entonnoir, l’introduisit sans ménagement en tirant sur l’anneau du téton droit, fit pénétrer la canule jusqu’à sa gorge et quand ce fut fait verouilla le systeme, elle prit le pot d’unrine et le versa entièrement dans l’entonnoir….
-Hum c’est bon hein de se rafraichir !
Les 3 femmes riérent ensemble…
-Hi hi hi, on dirai qu’il commence à aimer ça !
-De tout façon il n’a pas le choix ! oh oh oh….
-Bon comment cela se passe à l’arrière, habituellement dit la blonde, c’est moi qui reste avec le convoyé, mais comme tu es du voyage on a pensé que c’était mieux pour toi que tu t’occupes de cette lopette ?
-Oui merci cela fera avancé ma connaissance pour mon futur travail !
Tout se passe bien, mais je pensais pas qu’un domestique puisse etre aussi pervers, a qui peut on faire confiance ?
-Hé oui, 17 ans et déja aussi pervertit, c’est vrai qu’il a le même age que toi !
-Ah oui ! la machine est tres efficace, je viens de le mettre une demie heure sous son controle, il en a vraiment bavé, je n’ai jamais entendu autant de supplications et de pleurs !
-Ne te laisse pas attendrir, utilise le baillon si necessaire !
-Oh non, j’aime beaucoup l’entendre gemir et pleurer, je ne m’en lasse pas, je dois meme dire que je suis très exitée, j’ai les poils de ma chagatte tout mouillé ! hum….
Pour mieux, qualifié son propos elle passait les mains sur sa chatte, effectivement elle était toute humide….
-Bon nous allons repartir, durant cette heure, il faudra le mettre en éjaculation forcée !
-Ah comment ça ?
-Tu as vu qu’on lui a placé un gros bazar dans le cul ?
-Oui, vous avez du vous amuser à lui mettre ça ?
-Il a pleuré comme une fillette, c’était très drole ! ah ah ah…..
-Alors je t’explique : ici il y a un autre interrupteur, quand tu l’actionnes, cela envoie une décharge spécifique qui va exiter sa prostate, et ce qui provoque une éjaculation, c’est très douloureux, il ne ressent que de la douleur et aucun plaisir, mais cela provoque une éjaculation reflexe, dès qu’il a ejaculé, la machine reste en phase d’attente un certain temps puis recommence, donc à nouveau éjaculation, etc…
-Je comprends, mais quelle est l’utilité ?
-En fait au moulin les lopettes qui y travaillent doivent ne pas bander, cela d’ailleurs ne leur sert à rien, ils sont bridé définitivement en arrivant, mais ils travaillent moins bien s’ils ont des envies, hi hi hi…
-Oui et alors ?
-Hé bien le fait que la machine fonctionne ainsi, les rend au bout d’une heure de fonctionnement quasiement impuissant !
-Ah il ne bandera plus jamais ?
-En tout cas moins bien, mou dans un premier temps, puis après deux autres séances au moulin avec à chaque fois une intensité plus soutenu, cela devient définitif…
La blonde retira l’entonnoir de la bouche de la lopette…
-Tu entend petite lopette tu vas devenir impuissant, c’est garanti ! oh oh oh….
on entendit un petit rale et quelques sanglots, puis le bouchon sur sa bouche se referma précédé evidemment de la culotte de coton, pour eviter qu’il casse ses dents par la violence du traitement et surtout pour masquer des cris insupportables
-Ne t’inquiete pas tu l’entendras quand même, c’est la torture la plus pénible qui existe, car outre la douleur la lopette perd définitivement la virilité qui lui restait ! Alors pour rendre tout cela interessant tu places ce recipient devant son bout pour récolter son sperme, conserve tout bien tu verras tout à l’heure ce qu’on en fera ! Ah ah….
-Bon on te laisse travaillé, on reprend la route ! amuse toi aussi, si tu me comprend !
La porte se referma, elle entendit la brune dire à la blonde :
-Elle est bien cette petite, mais elle est un peu maigre pour le moulin ! hi hi…
Elle ne comprit pas cette dernière phrase complètement, mais elle serait bientôt fixée….
-Alors, on va bien travaillé, tu as entendu ce qui t’attend, alors allons y
Elle maneuvra l’interrupteur B qui actionné la décharge prostatique…
Immédiatement le corps de lopette se tendit et se raidit…
-Aaaaaaaaaaah….
Il y eut trois décharges, et lopette éjacula abondemment, elle se recula juste à temps pour ne pas recevoir la giclée et la recevoir dans le récipient.
-Pas mal, je pense que les trois séances seront necessaires pour te rendre totalement impuissant !
Au bout d’un moment la machine recommença, toujours 3 décharges necessaires pour l’éjaculation, lopette s’agitait mais solidement attaché comme il l’était il ne pouvait rien faire que subir et subir encore, il haletait pleré, gémissait, ce qui amusait beaucoup la jeune fille, ah vraiment elle avait choisit un bine beau métier, elle avait hate d’etre au moulin !
-C’est ta cinquième éjaculation, ta queue commence à ramollir et ton sperme diminue, tu es sur la bonne voie petite lopette, dire que c’est grace à moi que tu ne pourras plus jamais bandér, je suis très fière, su tu savais !
Un bon quart d’heure que cela durait ! lopette était extenué en nage sous son masque, tout lui faisait mal dans ces entrailles, son anus en feu, et le supplice durait durait…
-Bon on fait une pause ? comme s’il avait le choix !
Elle ota bouchon et culotte, sa machoire tremblait encore…
-Allons allons, calme toi ce n’est que le début un petit quart d’heure, la première séance doit durer une heure pour avoir une efficacité !
-Madame dit il en tremblotant, je n’en peu plus, c’est trop horrible si vous saviez…
-Je sais je sais mais c’est pour ton bien, autrement c’est la castration chirurgicale, que préfére tu ?
-Je m’en moque MAdame, je ne veux plus souffrir ainsi, je n’ai pas mérité cela, je serai obeissant, totalement !
-Mais bien sur que tu le seras, mais il faut en passer par là, bon assez discuté pour rien, on reprend !
-Non no…..
Il ne put rien ajouter, elle fourrait déja la culotte entre ses dents et remis le bouchon…
-hu….ah…n….
Elle remit la machine en route, les éjaculations et les pleurs se succédérent…aucune compassion n’était à attendre de la jeune fille….Elle faisait son travail avec zele et au fond elle pensait qu’elle rendait service à lopette, qu’un jour il en serait reconnaissant !
-Hum ca m’exite trop tes gémissement, elle s’assit dans le fauteuil et se mit à se caresser, elle jouit fortement avec des gémissement de jeunette en chaleur…
-Ah je jouis petite lopette, c’est bon de t’entendre gémir comme ça !!!
ahhhhh…..
Elle n’arréta la machine, qu’au second arret de la camionette, durant trois quart d’heure le supplice avait duré en permanence, à 4 reprises lopette s’était évanouit, mais les décharges électriques qui meurtrissaient son cul finissait toujours par le ranimer !
-Second arrêt, j’arrete la machine, tu ne bandes plus depuis dix minutes, et il n’y a plus de sperme…Peut-être qu’une seule séance sera suffisante pour toi ! Elle ota le bouchon puis la culotte qui était trempé de salive…
-Houla tu as trempé cette pauvre culotte, il va falloir que je la remplace par la mienne !
-Madame je vous supplie d’arreter cette torture, je serai obeissant…
-Tututut, tu sais que c’est inutile….La porte arrière s’ouvrit à nouveau….
-Alors cette séance d’éjaculation ?
-La jeune apprenti brandit triomphalement un gros tube qui contenanait une belle dose de sperme !
-Hum pas mal, je suis surpris que cette petite lopette est donné autant….Il était sec à la fin ?
-Oui et plus d’érection !
-Ah, j’espère que ce n’est que temporaire…En fait nous avons commis une erreur, cette lopette était destiné aux gardes chiourmes pour leur plaisirs personnel, et…Enfin m^me s’il devait etre bridé, il …enfin il ne fallait pas le rendre impuissant….
-Mais, mais….je n’y suis pour rien moi…comment cela va t’il se passer ?
-Voila moi et ma collègue ne pouvons perdre notre travail, et après tout c’est toi qui a utlisé l’appareil…
-Vous voulez me rejeter la responsabilité….Non non je refuse…
-Ecoute nous n’avons pas le choix, je sais que c’est injuste….mais….allez obéie met toi à genoux, nous allons t’entraver !
-Non no je ne veux pas !
Durant cet conversation, lopette B415 avait tout entendu, il y eut du bruit, des cris, des insultes, on se battait à coté de lui…Au bout de quelques minutes cela se calma…
-Voila elle est neutralisée, et baillonnée !
-Quant à toi, on va t’enlever ton masque, et tu vas bien écouter ce qu’on va te dire !
Elle enlevérent le masque qu’il portait depuis plus de 3 heures à présent, il faisait assez sombre à l’arrrière du fourgon, mais il vit le visage de la brune prés du sien, qui lui intima :
-Tu vas raconté la meme histoire que nous, la gamine la aurait simplement du t’infliger des décharges ordinaires, mais pas te travailler pour te rendre impuissant, elle n’en avait pas reçu l’ordre ok ?
-Heu oui mais je devrais mentir, en ai je le droit Madame ?
-Ecoute nous bien tu as interet à retrouver ton peu de virilité, après tout tu as subit un début de traitement et pas la dose irrémédiable, alors moi et ma collègue on va tout faire pour t’aider, sache simplement que les gardes chiourmes veulent une lopette avec une certaine virilité, tu comprendras plus tard pourquoi, es tu d’accord pour cette version ?
-Dans ce cas et si je ne subit plus cette torture…
-Oui nous te l’assurons, si la responsable du moulin voit que tu ne peux plus bander, elle fera poursuivre le traitement et tu finiras le reste de ta vie, qui sera brève à pousser le bras d’un moulin, les autres esclaves pourront à chacune de leur pauses abusé de toi et te sodomiser comme une bete, est ce ce que tu veux ?
-Non non…
-Bien alors quand nous serons interrogées à notre arrivée au lieu de rendez vous, assure et confirme tous nos dires si tu est interrogé !
-Bien Madame j’obéirai !
-C’est ton interet, nous sommes obligée cependant à te laissé entravé sur la chaise de fer, les jambes relevées et exposé à nos regards, ça nous ne pouvons rien y changer, je sais que c’est très humiliant pour toi…
-Oh oui j’ai très honte d’etre exposé ainsi, mais je comprend vos obligations…
-Bon tu feras une bonne lopette, ah oui désormais quand on demandera de te présenter, si on te le demande, tu devras te présenter ainsi je suis lopette B415, tu as compris ?
-OUI Madame je suis lopette B415
-C’est parfait ! puis que nous sommes d’accord, la gamine est enfermée dans le coffre que tu aperçois la bas, tu ne dois pas la voir car c’est la règle pour les jeunes novices garde chiourme, seule la responsable du moulin décide quand elle sera capable d’exercer sa fonction et de se montrer aux esclaves et lopettes.
-Bien Madame !
-tu dois savoir qu’il n’y a qu’une seule lopette par moulin, mais environ 25 esclaves qui sont destinés à tourner la roue !
-Je devrai aussi être attaché à la roue ?
-Non tu est destiné aux plaisirs des gardes chiourmes, tu devras t’assurer que leur culottes sont propres (elle ne portent que ca devant les esclaves, qui ne les voient jamais totalement nues). Tu devras les laver, les masser, enfin tous les soins qu’elles te demanderont, tu devras faire leurs cuisines, etc…Tu portera une petite chemise de nylon de femme très courte, afin que ton sexe soit toujours visible, comme tu le sais deja on te bridera le sexe, bon ce ne sera pas agrèable mais tu t’y feras ! une fois par mois tu auras le droit de te masturber, si tu arrives à jouir malgré le bridage tant mieux, tu devras le faire en 2 minutes maximum, sinon tu attendras le mois suivant ! si tu n’arrives pas à éjaculer tu seras puni, la punition est radicale en ce cas, tu seras attaché à une table par les bras, la face contre la table, les jambes et cuisses écartées, les esclaves récompensés pour leur zele au travail pourront te sodomiser…
-oh non…pas ça..
-Ne m’interrompt pas, tu n’auras pas le choix….Voila sommairement quel sera ton existance désormais, bon reprenons la route, dans 10 minutes nous serons arrivées, la route étant trop difficile sur sa fin, la responsable du moulin viendra vous chercher avec son 4*4 ! soit très humble avec elle !
Une demi-heure plus tard un 4*4 arriva, il s’agissait de brutalia la responsable du moulin .
-Que se passe t’il ici ? demanda Brutalia, on vient de m’informer que vous avez convoyé une esclave et une lopette, qui est cette esclave ?
-Mais non nous avons convoyé une lopette qui est sur sa chaise d’enculage, et une apprenti garde chiourme qui devait vous rejoindre !
-Nous n’attendons l’apprentie que la semaine prochaine, je comprend rien à cette affaire, cela sent la punition collective tout ça !
Elle ouvrit la porte de la fourgonette et vit la lopette sur sa chaise d’infortune…
-Bon ok pour cette lopette, il a 17 ans n’est ce pas ? pas mal, elle le saisit par les cheveux…
-Ouvre la bouche ! mieux que ca et sort ta langue, hummm…..toi tu vas me faire jouir, je vais me vider en toi….je sens que ça va etre bon…
Elle mit 2 doigts dans sa bouche attrapa sa langue et la malaxa brutalement….
-Hum t’aime le foutre de femme ?
-o..u..i Madame….
-C’est bien présentes toi !
-Je suis lopette B415 Madame…
-J’adore, dès notre arrivée au moulin, après un rapide interrogatoire, je te fais enchainer au pied de mon lit, tu ne vas pas beaucoup dormir cette nuit !
Elle se retourna vers les 2 convoyeuses :
-Alors elle est ou cette esclave ?
-Mais…
-Il n’y a pas de mais ! je vous dit que l’apprenti n’arrives que la semaine prochaine, montrez moi cette salope !
Elles se dirigèrent vers le coffre, l’ouvrirent, à l’intérieur se trouvait la jeune fille, elle était vétue de sa tenue de cochonne, les nichons et sa chatte poilue à l’air !
-Débaillonnez la ! vous voyez bien que c’est une putain et non une garde chiourme, elle est jeune et maigre, je ne veux que des vrais femmes très solides comme moi !
Elle enlevèrent le baillon…
-Qui es tu sale petite vicieuse demanda Brutalia ?
-Mais j’ai passé un examen la semaine dernière pour être embauchée au moulin N°8 ! Madame…
-Oui ça je le sais, mais tu n’as pas été retenue comme garde chiourme pour les raisons que je viens d’indiquer, mais comme putain pour les esclaves du moulin !
-Ah non certainement pas !
-Comment ça, je suis la responsable du moulin et tu voudrais m’apprendre qui ou n’est pas recrutée et sur quel poste ?
-Certainement non Madame, mais je n’aurai jamais accepté le poste que vous m’indiquez !
-Ah ah voyez vous ça, hé bien sache petite trainée que c’est bien le poste qui t’es réservée !
-Je vois qu’il y a erreur sur la personne, je vais donc décliner votre offre et repartir avec ces deux convoyeuses vers la ville !
-oh oh oh …..ah …ah…..hi…
Brutalia et les 2 convoyeuses se mirent à rire….
-Mais c’est impossible petite putain (elle l’avait saist par un sein et le pressé si fort qu’elle cria)
-Mais vous me faites mal !
-J’y compte bien, alors écoutes tu es ici et tu y restera, on ne part jamais du moulin, jamais, tu vas devenir une bonne putain pour mes 25 esclaves, un point c’est tout, la discution est terminée !
-Mais non….
Elle ne put aller plus loin, les deux convoyeuses avaient sortis leur martinet et s’était mis à la battre sans ménagement…
-Tu te tais, tu as compris, tu ne veux pas comprendre , à ton aise, je voulais te laisser un temps d’adaptation, mais puisque tu n’es pas coopérative, dès ce soir tu seras livrée à la brigade de jour, les esclaves pourrons te violer toute la nuit !!!
-oh non Madame, je déteste les hommes, je vous en prie !
-Tu es mal tombée, putain tu as été recruté putain tu le seras désormais ! quant à vous deux, vous mériteriez que je fasse un rapport à Sarah et Maitresse Catherine pour votre désinvolture, je vous prévient que si la lopette est abimée, je vous en tiendrez responsable ! a présent cela suffit, vous vous retournez au centre de redressement, mettez cette trainée à l’arrière de mon 4*4 et correctement attachée ! La lopette vous lui le placerez sur le siège passager avec les attaches qui conviennent !
Les 2 convoyeuses attachérent la jeune putain bras et jambes écartées sur la nacelle arrière qui etait découverte à 4 anneaux qui se trouvaient aux 4 coins de la plateforme…Lopette fut placé sur le siège avant, les chevilles fixées aux siege par 2 anneaux fixés au sol, on lui mis les mains menottées dans son dos, l’anneau de son sexe fixé par une attache qui se trouvait sous la boite à gants, enfin elles passérent une chaine à travers les 2 anneaux de ses tétons reliées au siège à 2 anneaux de chaque coté…
-Bon alors tout est prêt, je peux partir ?
-Oui Madame répondit la brune, souhaitez vous que l’on vous accompagne pour plus de sécurité ?
-Non idiotes, le moulin est un endroit secret et seule je suis autorisée à le quitter et encore je ne puis me rendre en ville ! tous ceux qui y sont y restent ! sauf évidemment si vous souhaitiez devenir vous aussi les putains de mes esclaves ? Ah ah ah….
Elles ne répondirent pas, elles avaient une véritable peur de Brutalia les grosses mamelles comme on l’appelait derrière elle !
Elles remontérent dans leur fourgonette et disparurent au bout de la route…Brutalia attendit quelques minutes qu’elles fussent assez loin, par précaution elle monta dans son 4*4 et alluma un écran qui permettait de savoir ou était la camionnette, on avait en effet placé un mouchard sur cette dernière afin de s’assurer que le véhicule ne faisait pas demi tour ou essayé de connaitre ou se situé le moulin….Voilà elles sont à 5 kilomètres à présent…
-Nous pouvons partir ! alors Lopette tu es content de devenir ma petite lopette ?
-Heu oui Madame…
-Tu feras tout ce que j’aime, tu m’obéiras bien ?
-Oui, je ferai de mon mieux…
-Il faudra faire plus que ton mieux !XI-Le moulin N°8Il arriva au Moulin de nuit, deux gardes chiourmes le placére dans une cage de fer et partirent aussitôt, on l’avait comme annoncé laissé nu et équipé comme demandé par Dame Catherine, seul le bridage définitif n’avait pas été réalisé….Plusieurs heures s’écoulèrent, puis une femme entra. Il s’agissait de Brutalia…
-Hum, petite lopette je vais bien m’amuser avce toi! je suis Brutalia les grosses mamelles, tu comprends pourquoi ?
La femme était impressionnante, elle était nue, elle tenait sa grosse culotte dans sa main, elle avait des cuisses imposantes des seins énormes, évidemment qu’il comprenait son surnom ! il eut le malheur de croire qu’il devait répondre !
-Oui Madame….
-Ah et pourquoi ?
-Hé bien ….Je ne sais…comment dire…
-Ah je vois, mais va y n’hésite pas…
-Hé bien je suppose que c’est en rapport avec euh….
-Avec quoi ?
-Hé bien vos seins….
-Ah qu’est ce qu’ils ont mes seins, comme tu dis ?
-Hé bien ils sont beaux et….
-Et ???
-Heu imposants…
-Donc si je comprends bien tu dis que j’ai une poitrine imposante ?
-Heu oui….
-Ah ah ah…Toi tu es comique, je crois que tu n’as pas compris ou tu étais ?
-Heu si Madame….
Elle ouvrit la porte de la cage…
-Vient la petite larve, met toi à genoux la tête vers le sol, mais tu te crois ou ? Tu vas en chier sale vermisseau, on m’avais prévenu mais c’est au dela de tout !!! Sache que tu n’est plus rien ici, une merde, tu devras boire la pisse de mes gardes chiourmes, les lécher, avaler toute leur mouille ! si tu fais tout ce que l’on te dit tu recevras un peu d’eau sinon de la pisse ! as tu compris lopette de merde ?
-oui…
-Mais tais toi ici aucun esclave, ni lopette ne me répond jamais ! ouvre ta bouche en forme de cul, trou à merde !
Il obéit, elle cracha une quantité de salive incroyable dans sa bouche…
-Avale tout, avale je te dit !
Il avala, mais eut un léger haut le coeur…
-C’est quoi ça ? tu devrais être honoré qu’une femme comme moi te fasse cadeau de ses crachats ! je vais donner ordre que toutes les gardes du moulin te craches dessus et te fasse avaler leurs douceurs ! tu oses me répondre et dire que j’ai de grosses mamelles, mais c’est incroyable. Dès demain on va te tatouer sur le ventre en gros « je suis lopette b415 chaque femme doit me cracher et me pisser dessus » sur le dos tu auras une grosse chatte et des mamelles y seront tatoués ! elle attrapa sa queue le décalotta et lui introduisit son petit doigt dans l’uretre…Elle l’enfonça jusqu’à ce qu’il eut très mal, son visage se tordit, il essaya de résister, il savait, on l’avait assez prévenu, que tout gémissement ou cri de sa part serai une occasion de le punir encore. Elle continuait et lui dit :
-Regardes moi, oui dans les yeux, je veux y voir ta douleur (il obéit) elle avait un regard cruel et méchant…
-Alors comme ça tu as regardé mes mamelles, je sais qu’elle sont grosses, mais toi tu n’as le droit à rien, me^me les regarder est une faute, j’ai aussi une grosse chatte, tu devras la lécher et me faire jouir, mais meme cela est une faute et je te punierai, rien de ce que tu feras ne trouveras grace à mes yeux, tu es la pour souffir et ta souffrance est mon plaisir…elle forçait à présent le passage et son doigt était rentré de 2 phalanges, la douleur devint trop grande, il poussa un cri…
-Ah…
-Tu as mal petite lopette ? ne réponds surtout pas !
D’un seul coup elle enleva son doigt…
-Hum tout les jours je te travaillerai ton bout, mais quand tu sera bridé, j’y introduirai une sonde de métal, tu verras que la douleur d’aujourd’hui n’est rien !
Elle se recula et s’assit sur une chaise de bois face à lui, les cuisses largement ouverte…
-voyons ce que tu sais faire avec ta langue ! Lèche moi la foune !
Il s’exécuta, il avait déjà quelques expériences avec les dresseuses, dès qu’il approcha, il sentit l’odeur caractéristique de la femme…
-Tu sens mon odeur, il va falloir t’y habitué très vite ! Léches moi dans la comissures des cuisses là ou cela sent le plus fort….Elle le fit travailler ainsi une bonne heure, il dut la lécher partout sous les bras, ses fesses, ses seins, etc…
Elle jouit plusieurs fois en poussant des cris sans retenu, puis d’un seul coup elle lui tira la tête en arrière..Le regarda fixement et dit :
-On va percer ton bout de part en part, là ! (elle désignait la base du gland) et on y soudera une cage de fer très étroite ou l’on fera pénétrer en force ton gland ! plus jamais, non plus jamais tu n’auras l’occasion de vider tes couilles ! d’ailleurs je pense te les faire enlever, dès que j’aurai l’autorisation de ma Maitresse !!!
-Mais les convoyeuses…
-Tais toi, que viennent faire la dedans les convoyeuses, celles là font et raconte n’importe quoi, je vais les faire chatier c’est sale petites blanches !
Elle se leva, sonna et aussitot une femme apparut.
-Je te présente la garde chiourme dite l’Africaine, elle va t’attacher au pied de mon lit, que je puisse utiliser ta langue quand bon me semble ! Tu lui donneras beaucoup à boire cette nouvelle lopette est excellente, dès la nuit prochaine je te la preterai !
-Merci patronne !
-Tu verras elle dégouline de mouille, c’est la plus cochonne d’entre nous, de plus elle la main lourde, sa spécialité c’est la fessée à main nue, gare à ton cul ! Ha ha ha…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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