Les 1001 perversions de Nathalie (11) Le Cercle (3)
Lorsqu’elle remonte dans le restaurant, aprĂšs s’ĂȘtre rĂ©ajustĂ©e et rafraĂźchie, Nathalie voit l’homme attablĂ© en compagnie de Marc et de LĂ©a.
– Nathalie, je vous prĂ©sente Juan, un ami de longue date. Il sera notre hĂŽte ce soir au Cercle.
Proposée le 17/02/2019 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
ThĂšme: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: InclassableType: Fantasme
– Marc m’a beaucoup parlĂ© de vous et de vos… charmes. Il n’a pas exagĂ©rĂ©âŠ
Son regard bleu acier a quelque chose de fascinant. Nathalie a l’impression de rougir comme une collĂ©gienne. Tout Ă l’heure, dans les toilettes, en lui lĂ©chant le cul, il la tutoyait. Maintenant, il la vouvoie.
Ils passent une aprĂšs-midi de farniente au bord de la piscine. Nus, comme d’habitude, et Nathalie a tout le loisir de dĂ©tailler Juan, apparemment assoupi sur sa chaise longue.
Il est plus jeune que Marc. Dans la quarantaine, estime-t-elle. Un corps d’athlĂšte, intĂ©gralement bronzĂ©. Une belle queue, fine mais trĂšs longue. Nathalie prend chaud en imaginant la nuit Ă venir.Lorsqu’ils arrivent au « Cercle », le parking encombrĂ© de limousines laisse deviner que tout le gotha du Cercle sera lĂ ce soir.
Mme K. les reçoit en souhaitant la bienvenue Ă Nathalie comme si elle n’attendait qu’elle.
Au milieu du « Salon bleu », Mr. K. trÎne dans son canapé, deux nymphettes lovées à ses pieds. Il y a foule ce soir, la plupart des convives sont nus, quelques uns déjà plus ou moins accouplés, sur un divan ou sur la moquette.
Aujourd’hui, Mr. K. veut infliger une punition de principe Ă la petite Sophie parce qu’elle a pris trop Ă la lĂ©gĂšre certaines rĂšgles :
– Sophie, petite vicieuse, tu nâes pas sans savoir que tu me dois une pĂ©nitence. Monsieur Marc va te lâinfliger. Tu va recevoir quelques bonnes fessĂ©es bien appliquĂ©es. Je viendrai ensuite te donner lâabsolution. Es-tu consentante ?
– Oui, Monsieur.
Une femme, une duĂšgne, sâadosse Ă un piller du salon et appelle Sophie Ă elle. Elle la fait se courber et enlacer sa taille. Dans cette position, elle prĂ©sente ses fesses Ă Marc. Un cul dodu, un con charnu. Marc sâinstalle un peu en retrait dans lâangle de ses cuisses.
La femme dit dâune voix douce :
– Tu es prĂȘte ?
– Oui, Madame !Â
Elle retient sa respiration, attendant le premier coup. Il claque sur sa fesse droite. Elle encaisse le coup sans trop broncher, elle espĂšre que les suivants seront de mĂȘme nature.
Marc lui laisse aprĂšs chacun le temps de lâassimiler avant de lui en servir un autre. Puis les coups se font de plus en plus cuisants.
Au dĂ©but, elle nâĂ©met quâune forte respiration, puis se met Ă pousser des « aiiiiie », des « ooohhhh », et des « aaaahh » de plus en plus larmoyants. Elle ne veut pas demander grĂące, mais la douleur de plus en plus vive lây force quand mĂȘme.
– Monsieur ! Madame ! J’ai fait pĂ©nitence. Je vous demande pardonâŠ. Â
Marc arrĂȘte sa noble tĂąche..
Mais ce n’est pas fini. Pour lui donner lâabsolution Mr. K. se munit, en guise de goupillon d’un martinet Ă laniĂšres de cuir. La terreur de toutes, paraĂźt-il.
Il lui en applique un seul coup sur chacune de ses fesses écarlates. Cela lui fait pousser un grand cri qui retentit dans tout le salon et la fait vaciller sur ses genoux.
La femme lui fait bien Ă©carter les cuisses et Mr. K. lui sert un coup de revers. Les pointes des laniĂšres viennent frapper la partie la plus tendre de lâintĂ©rieur de ses cuisses, les lĂšvres de son con et son clitoris. Elle hurle de douleur et lĂąche les hanches de la femme. Au second coup de revers, elle se retrouve assise sur le carrelage, baignant dans sa pisse qu’elle nâa pu contenir.
Marc la relĂšve. Elle se blottit dans ses bras. Elle lĂšve les yeux, lui jette un regard de petite fille perverse.
– Vous m’avez fessĂ©e fort, monsieur, ça fait encore malâŠ
Il glisse sa main entre ses fesses, elle est mouillĂ©e jusqu’au trou du cul. Il enfile un doigt, remonte vers son con, trempĂ© de mouille et de pisse, y met deux doigts. Tandis qu’il la doigte, Sophie se trĂ©mousse, frotte ses tĂ©tons durs contre son torse, presse son ventre contre sa queue tendue.Â
– Oh oui monsieur⊠Câest bon.
Il retire ses doigts de sa chatte, les renifle :
–Â Tu mouilles beaucoup et tu sens fort.
Elle glousse :
– Câest Ă cause de tout ce que vous me faites, monsieur.
LĂ©a glisse Ă l’oreille de Nathalie :
– Regarde⊠Marc bande comme un cerf. Fesser une petite le met dans tous ses Ă©tats. Il est en rut, il va la baiser. Et moi, ça me met en chaleur.
Ce disant, elle fait remonter ses doigts sur les cuisses de Nathalie. Elle l’oblige Ă les ouvrir, fait glisser sa robe en haut de ses jambes. La toute petite culotte laisse voir par transparence sa touffe et le renflement charnu des grandes lĂšvres.
Dans son canapé, Mr. K., qui est en train de se faire lécher par ses deux nymphettes, lance :
– Madame, quand on met dâaussi ravissants dessous, ce nâest pas pour les cacher !
Il ajoute, voyant LĂ©a palpant la vulve tiĂšde sous le tissu :
– Montrez-vous, madame⊠Faites nous voir votre plaisir…
Nathalie se cabre quand LĂ©a fait descendre sa main sur son ventre pour lâinsinuer sous la culotte. Fourrant un doigt Ă travers ses poils, elle touche son entaille chaude et humide. Du bout du majeur, elle dĂ©sunit ses lĂšvres et fait tourner son doigt au bord de son vagin. Les reins cambrĂ©s, le corps tendu contre le canapĂ©, Nathalie frissonne en poussant de petites plaintes sourdes. LĂ©a frĂŽle son clitoris Ă demi Ă©rigĂ©, le titille…
– Oui… Câest bon !
Elle lui retire sa petite culotte, découvre la vulve épaisse et poilue. Elle plonge ses doigts dans sa toison pour dégager sa fente. Nathalie se met à gémir quand Léa pose ses lÚvres sur sa chatte.
Juan fait glisser les épaulettes de sa robe, découvre ses gros seins tendus. Il les dénude, les tétons sont dressés, mauves comme des framboises mûres. Il les caresse tandis que Léa lÚche la vulve ouverte.
Devant eux, Marc a fait mettre Sophie à genoux sur un canapé, le haut du corps reposant sur le dossier. Posté derriÚre elle, il la saisit à la taille.
Elle gĂ©mit en sentant la queue se faufiler entre ses cuisses. Marc lui caresse les bords du vagin avec son gland. Elle le supplie de la prendre. La main de Marc sâabat sur sa fesse. Enfin, au moment oĂč Sophie se sent sur le point de devenir folle dâimpatience, il lui enfonce sa queue.
Sa verge, dure, glisse jusquâau fond du vagin avec facilitĂ©. Marc entame un lent va-et-vient, il la prend posĂ©ment, de bas en haut, agrippĂ© a ses hanches. Lorsque ses coups de queue deviennent plus violents et quâil se met Ă la fesser Ă toute volĂ©e, Sophie, supplie, quĂ©mande, mendie, sanglote.
Elle jouit encore, lui nâa pas Ă©jaculĂ©, il sait quâĂ la façon dont elle a pris son plaisir, Sophie lui appartient.
Sucée par Léa, tétée et mordillée par Juan, exposée comme une salope à tous les regards, Nathalie dégouline. Le ventre éperdu de désir, elle ne quitte pas Marc des yeux.
Il s’est retirĂ© du con de la fille. Il tient dâune main sa queue maintenant dirigĂ©e plus haut. Il promĂšne le gland sur la croupe de Sophie, puis contre sa rondelle. Il appuie de ses reins, il progresse lentement. Il la sodomise.
Elle ne le refuse pas. Sa bouche est ouverte, sa tĂȘte penchĂ©e vers le divan, elle acquiesce en silence, elle accepte ce pieu qui Ă©carte son cul pour entrer lentement, toujours plus loin.
Brusquement, Marc progresse dâun coup, son ventre vient contre les fesses de Sophie et elle accompagne l’intrusion dâune longue plainte.
Marc commence son va-et-vient dans les reins de Sophie, lentement au dĂ©but, plus vite ensuite. CourbĂ© sur elle, le bras droit passĂ© sous son ventre, il la branle, en mĂȘme temps quâil lâencule.
Un cri encore, aigu et long. Sophie jouit Ă nouveau. Marc lui pilonne le cul en la tenant maintenant par les hanches. Elle a posĂ© sa tĂȘte sur le divan, complĂštement offerte. Son visage nâexprime rien, sinon un infini plaisir.
LĂ©a, qui se masturbe en continuant Ă sucer Nathalie, jouit avec des gĂ©missements rauques. Nathalie la suit, arrosant sa bouche dâune giclĂ©e de mouille.
Un long rĂąle, câest Marc. Il vient de jouir, lui aussi. Il se retire lentement du cul de Sophie, son sexe semble interminable. Il est toujours dressĂ© vers son anus quand il sort enfin. Il donne une petite tape sur les fesses de la fille, comme pour lui dire quâil est content dâelle, quâelle sâest bien conduite.
Sophie lâembrasse, se frotte Ă lui comme une chatte qui ronronne de plaisir, son corps frissonne sous ses mains. Ă voix basse, elle dit des mots, toujours les mĂȘmes :
– Vous mâavez remplie, je vous appartiens.
Marc la prend par la main. Elle se lÚve, docile, les yeux baissés.
Mr. K. fait servir du champagne. Léa quitte le salon, entraßnant derriÚre elle un « gode à pattes ».
Nathalie n’en peut plus, le brasier que cet accouplement a allumĂ© au creux de ses reins la rend folle. Son con est une fournaise, et Ă la raideur et aux palpitations de la queue de Juan, qu’elle a prise en main, il n’est pas loin de jouir Ă©galement.
Elle le supplie :
– Baise-moi⊠Prends-moi ici, tout de suite…
Mr. K. intervient :
– Tout de suite, oui, mais pas ici, madame⊠Juan, faites donc connaĂźtre la « Vitrine » Ă notre invitĂ©e.
La « Vitrine », la piĂšce dans laquelle Juan emmĂšne Nathalie est un salon aux murs tapissĂ©s de miroirs. Au fond de la piĂšce, sĂ©parĂ© des spectateurs par une grande vitre, un couple baise. Nathalie reconnaĂźt la femme. C’est LĂ©a qui sâabandonne Ă son « gode Ă pattes » de la façon la plus obscĂšne possible.
Juan pousse Nathalie contre la vitre. Un léger sursaut, en raison du froid du verre sur la pointe de ses seins. Elle sent Juan, debout derriÚre elle, la queue raide, dure, calée entre ses fesses. Son cul à elle enserre sa queue.
Nathalie porte une main Ă son bas-ventre. Sa main qui nâest pas occupĂ©e Ă se frotter vient enserrer la queue de Juan et elle commence Ă le branler.
Face Ă eux, ils baisent bestialement. LĂ©a tend ses reins Ă son mĂąle et accompagne ses mouvements. Nathalie voit la dure colonne de chair qui se fraye un chemin dans le fourreau humide. La bouche ouverte, la chevelure secouĂ©e de mouvements dĂ©sordonnĂ©s, LĂ©a sâabandonne Ă la saillie.
– Plus vite ! Plus vite !
LĂ©a, qui se laisse enculer comme une chienne en chaleur devant ses yeux. Les corps transpirants et rougis par lâexcitation… Tout ça les excite de plus en plus, Ă la vue du rythme auquel Nathalie triture son bouton et Ă la raideur de la bite de Juan dans sa main.
Il ne tient plus. Il jouit, il rĂ©pand tout son foutre sur les reins de Nathalie. Son jus coule le long du sillon de ses fesses jusquâĂ son con puis se disperse le long de ses cuisses.
Il se baisse et commence à la lécher pour ne pas en perdre une goutte. Ses lÚvres se retrouvent sur sa chatte, sa langue sur le clitoris. Il lui mange le con, Nathalie feule en jouissant sur sa bouche.
Un deuxiĂšme homme a rejoint LĂ©a et son « gode Ă pattes ». Bien membrĂ©, comme celui qui est entre ses fesses depuis tout Ă lâheure. Il lui tend son pieu dĂ©jĂ gonflĂ© de dĂ©sir. Elle ouvre la bouche et sâempare de lui.
Juan se prend en main et se branle, Nathalie voit sa queue durcir à nouveau. Elle se colle contre la vitre, elle écarte largement les cuisses. Le chemin lui est tracé. Elle veut sa queue.
Il place son gland contre sa chatte et lâappuie sur lâentrĂ©e de son fourreau. Elle mouille tellement qu’il nâa pas le moindre mal du monde Ă la pĂ©nĂ©trer. Il commence son va-et-vient. Il se retire, revient, se retire et revient et se retire encore.
Elle geint, frustrée :
– Ohhh⊠ReviensâŠ
Il ignore sa requĂȘte. Il joue, elle supplie :
– S’il te plaĂźt⊠Reviens…
Il lui glisse Ă l’oreille qu’il veut l’entendre lui dire oĂč elle le veut.
– Reviens⊠Dans mon culâŠ
Elle se place contre la vitre, les mains plaquĂ©es sur le verre. Sa queue, bien lubrifiĂ©e par sa mouille, n’a aucun mal Ă la pĂ©nĂ©trer, Ă la remplir, dedans jusqu’aux couilles. Il prend appui sur ses hanches et la besogne consciencieusement.
Elle utilise une de ses mains pour se frotter pendant qu’il la possĂšde. Elle pousse de petits cris. Le trio face Ă eux arrive au bout. LĂ©a hurle de plaisir, elle jouit et ses amants semblent ne pas en ĂȘtre loin non plus.
Dans le fondement de Nathalie, les va-et-vient de Juan se font rapides et violents. Il bute au fond de son cul Ă chaque retour, elle sent ses couilles ballotter contre sa chatte. Elle crie et elle se laisse aller en mĂȘme temps que les hommes face Ă eux.
Le premier recouvre le dos de LĂ©a de son foutre. De longs jets blancs et puissants sâĂ©crasent jusquâĂ sa nuque. Le deuxiĂšme ne tient plus. Il se masturbe face Ă elle qui nâattend que ça. Il jouit dans un grand rĂąle. Son sperme vient buter sur le visage de LĂ©a, elle se dĂ©lecte de son nectar.
Quand Juan grogne qu’il va venir aussi, Nathalie le repousse et se jette goulĂ»ment sur sa queue. Elle colle ses lĂšvres sur son gland et elle le pompe comme une adolescente qui ferait un suçon Ă son petit ami. Il gicle dans sa bouche et elle ne cesse de le tĂ©ter que lorsqu’il s’est entiĂšrement vidĂ©.
Elle se relĂšve. Elle se fait chatte. Elle plante ses ongles dans ses fesses tout en lâembrassant et partageant avec lui son jus de plaisir. Il est temps de faire une pause, afin de permettre Ă chacun de rĂ©cupĂ©rer un peu de forces. Ils regagnent le « Salon bleu ». On sert du champagne, des entremets.
Mais Nathalie n’est pas encore rassasiĂ©e. La braise qui couve dans son ventre n’est pas Ă©teinte. Elle se revoit dans le « Salon rouge », lors de sa premiĂšre nuit au Cercle. Cinq hommes l’ont prise, baisĂ©e, saillie, malmenĂ©e, elle a hurlĂ© de plaisir. Elle en aurait voulu dix, vingt.
Lorsque Marc, qui a repris des forces, prend sa bouche et conduit sa main sur sa queue Ă nouveau tendue, elle lui murmure :
– Ce soir, je veux tout… Pour vous. Je veux ĂȘtre votre salope. Conduisez-moi au « Salon rouge ».
Comme la premiĂšre fois, on lui pose un masque de velours noir sur les yeux.
– Vous ne l’enlĂšverez que lorsque vous y serez autorisĂ©e.
Des doigts agrippent fermement sa main droite. Ils traversent un couloir. Une porte qui s’ouvre. Nathalie perçoit des voix dâhommes et de femmes et des odeurs de sexe. Un doigt trĂšs fin se faufile entre ses cuisses, presse impudiquement sa vulve, glisse dans son vagin. Une voix de femme :
– Cette femelle est trempĂ©e.
Ses reins se creusent quand le doigt fouille le bord de son anus. Lâimpudeur de cet attouchement la fait couler.
Un homme se colle contre elle, prend sa main, la plaque contre lui. Il ne porte quâun slip, gonflĂ© par son sexe et ses couilles. Elle agrippe le volumineux paquet Ă travers le tissu. Il la saisit par les cheveux, la met Ă genoux devant lui.
Elle sait ce qu’elle a Ă faire⊠Elle le suce Ă travers le slip, puis, comme elle l’a dĂ©jĂ fait avec Germain, elle le baisse avec ses dents, fait descendre l’Ă©lastique sous les couilles. Tout en lĂ©chant son sac, elle fait glisser le slip d’une main en branlant l’homme de l’autre main. Un murmure approbateur dans l’assemblĂ©e lui indique que l’on goĂ»te sa prestation.
L’homme la relĂšve, elle continue Ă le branler. Il gicle. Une femme se joint Ă lâhomme, elle lĂšche le foutre rĂ©pandu sur son ventre et ses seins. Elle prend sa bouche, lui fait goĂ»ter le sperme, lui pĂ©trit les seins pendant qu’un autre homme vient se coller derriĂšre elle. Il s’agenouille. Elle se cambre et gĂ©mit lorsque une langue se met Ă explorer son sillon fessier.
Elle est soudain renversĂ©e sur un divan. On Ă©carte ses cuisses sans mĂ©nagement, tandis que des mains sâemparent de son corps.
Des doigts masculins et féminins pressent ses seins gonflés, des dents mordillent ses tétons bandés, des bouches sucent sa vulve chaude et juteuse.
Les odeurs de sexe se font plus insistantes. Un membre dur force sa bouche. Elle le sent gorgé de sperme, il gonfle encore entre ses lÚvres par petites saccades.
On saisit ses poignets pour tirer ses bras en arriĂšre, comme si on voulait accentuer la soumission de sa posture. Une verge sâenfonce dans son con. Lâinconnu la pistonne vigoureusement. Chaque fois que le gland heurte son utĂ©rus, elle gĂ©mit, elle tressaille en sentant les couilles pleines frĂŽler sa chatte. Ses plaintes sont Ă©touffĂ©es par la queue Ă©paisse qui emplit sa bouche.
Ils accĂ©lĂšrent leur cadence, les deux hommes se vident presque en mĂȘme temps dans ses orifices.
Sans un instant de rĂ©pit, des doigts, des langues, des queues se succĂšdent en elle. On la met Ă quatre pattes pour ĂȘtre sodomisĂ©e, plusieurs fois de suite.
LivrĂ©e Ă tous, elle ne compte plus ses orgasmes. Certains mĂąles, trop excitĂ©s, se masturbent sur elle pendant que dâautres la possĂšdent. Des femelles en chaleur viennent s’asseoir sur sa bouche, elle lape leurs chattes trempĂ©es et boit leur mouille.
Lâorgie sâarrĂȘte. Le brouhaha des conversations a repris dans la piĂšce. Nathalie nâa aucune idĂ©e du temps Ă©coulĂ© depuis son arrivĂ©e.
Son vagin dĂ©borde de tout le jus reçu, son corps est couvert de sperme. Elle est toujours allongĂ©e sur le divan bas. Le foutre coule doucement Ă lâintĂ©rieur de ses cuisses.
Elle aurait pu enlever le bandeau nouĂ© sur ses yeux, mais elle ne veut pas enfreindre la rĂšgle du jeu. LĂ©a lui retire le bandeau. Marc et Juan lui prĂ©sentent leurs bites dressĂ©es. Elle s’agenouille devant eux pour les avaler.
Encore excitĂ©e Ă la pensĂ©e qu’ils l’ont vue livrĂ©e Ă tous, elle engloutit l’une aprĂšs l’autre leurs verges palpitantes, lĂšche leurs couilles pleines.
Marc Ă©jacule copieusement, arrosant sa gorge de jets tiĂšdes. Elle le boit avec dĂ©lice, comme chaque fois qu’il jouit dans sa bouche. Et tandis qu’elle offre son con et son cul Ă LĂ©a qui la lĂšche et la suce, Juan se rĂ©pand sur elle.La petite Sophie conduit Nathalie dans une salle de bains. Comme une camĂ©riste consciencieuse, elle la lave, la savonne soigneusement, termine la toilette en lui parfumant le corps, sâattardant sur les seins dont les pointes frĂ©missent, sur le sexe qui palpite et sur lâanus qui se contracte sous la brĂ»lante vaporisation. Enfin, elle refait son maquillage.Il est plus de 3 heures du matin lorsqu’ils prennent une derniĂšre coupe de champagne. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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