Les 1001 perversions de Nathalie (7) – Après-midi torride
Il est déjà midi passé quand Nathalie se réveille… Et elle chasse très vite la pensée que demain tout se terminera et il qu’il lui faudra retrouver sa vie bourgeoise, sage et tranquille. Six jours de sexe et de luxure ont chamboulés son existence.
Proposée le 7/11/2018 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHHLieu: Mer, piscine, plageType: Fantasme
« Je suis une vraie salope parce que j’en ai envie, besoin… Je veux appartenir à des hommes, être prise, sentir leurs queues me pénétrer… Je suis une nymphomane et j’aime la bite et ça me plait », se dit-elle.
Elle s’étire dans son lit. Elle est moite, et elle a encore sur elle l’odeur des mâles qui l‘ont couverte, la nuit passée. Toutes ces langues qui l’ont léchée, ces bouches qui l’ont sucée, ces queues qui l’ont investie et qui l’ont fait râler de plaisir.
Elle glisse une main entre ses cuisses et se fait jouir très vite, très fort. Elle se lève, va prendre une douche.
Léa et Marc, nus, sont déjà attablés lorsque elle les rejoint sur la terrasse. Germain fait la mise en place pour le déjeuner. Il est nu lui aussi.
– Ma chérie, tu te souviens, je t’avais promis Germain, hier…
Germain fait son service, Nathalie a sous les yeux sa grosse queue, qui pend et balance sur ses couilles velues, lourdes et pleines. Prometteuses d’innombrables giclées. Oui, elle veut ce mâle. Ce gorille velu, elle le veut dans son cul, elle veut sentir cette pine noueuse et épaisse lui remplir le con.
– Avant d’être à notre service, il fut l’un des meilleurs gode à pattes de Mr. K. Il est inépuisable, ma chérie, je m’en sers parfois, lorsque Marc rend les armes.
Tout en parlant, Léa caresse les fesses de Germain comme on cajole le dos d’un toutou.
– Il te comblera, ma chérie. Sais-tu qu’il est capable de gicler trois ou quatre fois ?
Nathalie touche à peine aux mets servis et va s’étendre sur une chaise longue. Elle a envie. Elle veut jouir. Qu’il vienne enfin ! Qu’il la lui mette ! Léa la sermonne :
– Tu veux attraper un coup de soleil ? Il faut mettre de la crème.
Elle débouche un flacon d’ambre solaire et dirige une giclée sur la poitrine de Nathalie. L’huile lui coule sur les seins, et sa consistance épaisse lui rappelle le sperme de Germain lorsque il a juté sur elle.
Léa s’accroupit et étale doucement la crème sur les épaules, le cou et la poitrine de Nathalie. Les yeux fermés, elle se laisse aller. Léa remarque que le traitement agit. Les pointes des seins, déjà durcies, s’allongent encore. Nathalie rejette la tête en arrière, comme pour bien dégager son corps et sa gorge.
Léa étale l’ambre solaire sur tout le buste, revenant sans cesse sur les seins dont elle effleure les mamelons à chaque passage. Elle poursuit son massage insidieux qu’elle étend à l’intérieur des cuisses.
Nathalie pousse des soupirs, crispe ses mains sur les longerons de la chaise longue et écarte largement les jambes, invitant la masseuse à s’en occuper.
Léa comprend le message. Délaissant la poitrine, elle caresse l’intérieur des cuisses de ses mains enduites de crème. Installée au bout de la chaise longue, elle masse les deux jambes en même temps par de lents mouvements de bas en haut.
Quand elle arrive au creux des aines, elle insinue ses pouces, effleure les poils de la toison pubienne. Chaque fois, Nathalie se cambre, et pousse un soupir bruyant, en écartant un peu plus les cuisses.
Marc observe. Il a sa queue en main et se branle lentement. Germain l‘imite. Ils ont une vue directe sur l’entrejambe. Les yeux fixés sur les mains de Léa, ils espèrent qu‘elle va enfin s‘occuper du con de Nathalie.
Léa pose ses mains en haut des cuisses, juste au ras du renflement du mont de Vénus. Avec une cruelle lenteur, elle rapproche ses pouces l’un de l’autre. Ses doigts clapotent dans la mouille qui détrempe les poils et les bords du con.
Elle les remonte à l’intérieur de la vulve, vers le clitoris, caresse les petites lèvres et l’entrée du vagin. Nathalie se raidit, supplie :
– Plus vite !
Léa se prend au jeu. Compte tenu de la grosseur de ce dernier, elle n‘a aucun mal à dénicher le clitoris, qu’elle masse et fait rouler entre ses pouces. Nathalie fait vaciller la chaise longue en décollant ses fesses. Elle se cambre, soulève sa croupe pour offrir son con baveux et son cul à ces doigts inquisiteurs, à une main possessive.
Finalement, la bouche ouverte sur un cri strident, elle explose dans un orgasme interminable. Ses mouvements désordonnés font pénétrer les doigts de Léa dans son vagin. Elle les laisse enfoncés jusqu’à ce que cessent les spasmes de plaisir.
Nathalie git sur sa chaise longue, inerte, sans force. Les cuisses ouvertes, la fente du con est visible. Elle se vautre dans sa nudité moite, cuisses écartées, face à Germain qui dévore des yeux son corps. Elle est obscène, elle fait penser à une putain qui s’offre à un client. Le client, c’est Germain.
Il s’approche, la queue raide, dressée jusqu’au nombril. Léa quitte sa chaise longue, s’agenouille et s’empare de son membre. Elle passe sa langue dessus. Elle le prend dans sa bouche et le suce.
Elle dit à Nathalie de le faire aussi. Elle ouvre la bouche et sort sa langue. Germain regarde la langue se poser sur sa queue. Elle lèche doucement, en même temps que Léa, tout le long, et puis elle poursuit seule. Gloutonne, elle suce le gland et le laisse glisser entre ses lèvres. Maintenant turgescent, il suinte et remplit sa bouche.
Germain grogne, lui tire les cheveux, puis soudain, sans ambages, il la bouscule ventre sur les serviettes de bain, fesses offertes.
Sa langue plonge entre ses fesses, lape les lèvres humides. Un doigt parcourt son sillon, s’enfonce dans ses deux orifices. Nathalie frissonne, ses reins ondulent, ses tétons durs frottent sur les serviettes. Elle quémande une nouvelle jouissance, elle veut être saillie, elle est une chienne en chaleur.
Il l’agenouille. À quatre pattes, elle lui présente son cul. Et il la lèche encore, écarte ses fesses, salive sur elles, use de caresses sur sa chatte et son cul jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus… Alors il la pénètre et elle se cabre pour mieux recevoir ses coups.
Il la prend par les hanches et la fait aller et venir et sa queue ainsi branlée, il la ramone toujours plus profondément. Elle gémit, il mord son épaule. Elle tourne la tête, leurs langues se mêlent et son con bien rempli commence à bouillonner.
Un long filet de bave blanche ruisselle de sa chatte sur les serviettes de bain. Il lui pince le clitoris en la traitant de salope et la laboure encore, en lui écartant méchamment les fesses pour mieux voir sa queue s’enfoncer dans sa chatte.
Il applique une main sur sa bouche quand il la sent venir, attrape ses cheveux, elle halète. De sa gorge s’échappent des râles rauques et les voilà tous deux tordus de jouissance.
Bête à deux dos, ils restent écroulés. Germain ne se retire pas, il reste en elle et elle sent qu’il ne débande pas tout à fait.
Un gémissement lui fait lever la tête… Marc, agrippé aux accoudoirs de sa chaise longue, éjacule dans la bouche de Léa.
Lorsque Germain sort enfin de sa chatte et se relève, elle voit que son gros mandrin brun est encore à demi bandé, luisant de mouille et de sperme. Il pique une tête dans la piscine, imité par Léa et Marc.
Léa l’exhorte à les rejoindre dans l’eau, mais après quelques brasses, elle retourne se coucher sur sa chaise longue. Elle n’est pas rassasiée, elle en veut encore… « Je suis une cochonne insatiable », se dit-elle, et elle sent sa chatte gonfler.
Elle écarte les cuisses. Marc et Germain peuvent voir sa vulve entrebâillée s’écarquiller impudiquement au-dessus de leurs têtes. Ils sortent du bassin, elle les regarde venir. Ils bandent tous les deux et la verge de Germain est à nouveau d’une grosseur impressionnante.
– On va la rafraîchir, la pauvre, clame Léa. Vous avez vu comme elle transpire ?
Elle puise de l’eau dans le bassin, à deux mains, et la répand entre ses nichons, descend vers le con. Nathalie frissonne de plaisir, se cambre pour s’offrir au filet frais. Léa l’exhorte :
– Écartes les cuisses… Germain va t’en verser sur la chatte…
Les yeux fermés, elle obéit. Germain puise de l’eau et Nathalie sent que Léa lui ouvre le con. Germain, à genoux, y verse l’eau tiède, en un mince filet.
– Ohhh, c’est bon… c’est…
Nathalie se cambre encore plus.
– Ils vont bien s’occuper de toi, Germain et Marc…
Germain fait entendre une sorte de grognement. Léa encourage Nathalie :
– Montre-toi bien. Fais-nous tout voir… Ils vont t’aider.
Marc et Germain lui font passer les genoux par-dessus les accoudoirs. Marc lui ouvre les lèvres de la vulve. Germain se penche entre ses cuisses ouvertes. Une coulée de mouille coule hors du vagin et descend dans la raie des fesses. Léa bat des mains :
– Il va te baiser… Tu veux qu’il te baise encore ?
– Oui, je veux qu’il me baise encore…
– Je te branle un peu, juste avant ? Je te prépare pour lui…
Elle se met à gémir, follement excitée, quand les doigts de Léa jouent à l’intérieur du con. Ils pincent, tirent, farfouillent, sous les yeux exorbités de Germain. Marc intervient :
– Vous permettez, Germain, je vais passer le premier pour bien lui ouvrir le trou.
Serrant sa grosse bite dans son poing, Germain se relève. Une excitation bestiale se reflète sur ses traits en regardant Marc pénétrer Nathalie. Elle le serre convulsivement contre elle, le corps agité de spasmes rapides. Léa prévient Marc :
– Attends… Ne la fait pas jouir tout de suite. Elle n’a pas encore été enculée ! Je veux voir Germain l’enculer. Vous voulez bien l’enculer, pas vrai Germain ?
Marc se retire. Germain lâche d’une voix rauque :
– Je veux l’enculer, oui !
– Oh ! Mais vous êtes aussi pervers que Marc ! Retourne-toi, ma chérie. Mets-toi à genoux sur la chaise.
Elle obéit…
– Écarte bien les fesses… Donne-lui bien ton trou !
Marc sépare lui-même les fesses de Nathalie, pour faire saillir l’anus. Germain s’avance, son pieu braqué devant lui. Marc dirige :
– Oui, Nathalie, ouvrez bien la moule, il va vous l’enfoncer, ouvrez-la encore plus, vous êtes cochonne… Voilà, c’est parfait !
Germain enfourche ses mollets retournés et pointe son gland sur le con. Il s’enfonce d’un coup, tout au fond, la faisant crier d’une voix rauque. Mais tout de suite après, il se retire, et appuie son dard sur l’anus. Elle se met à gémir.
Le gland s’enfonce, puis toute la grosse queue, lentement. Et puis il se met en mouvement. Il la besogne longuement, à grands coups de bite, se retire et revient et Nathalie à l’impression que ça dure des heures et que ça n’en finit pas.
Elle bave, elle vagit, elle jouit, elle geint et jouit encore. Finalement, Germain grogne :
– Je peux plus… c’est trop…
Se mordant les lèvres, il est agité par une violente convulsion et éjacule. Il reste collé à la croupe ouverte, puis se recule et son chibre ressort.
Épuisé par l’orgasme, il s’allonge sur une chaise longue. Mais en voyant le corps nu de Nathalie vautré devant lui, il a une nouvelle érection. Léa exulte :
– Regarde, Nathalie, il bande encore une fois. Profites-en ! Va sur lui, enfonce-toi-la par devant !
Il présente son pieu à la verticale. Alors, elle enfourche la chaise longue et s’accroupit sur lui, s’empalant. Marc enfourche la chaise longue à son tour et écarte ses fesses.
Il n’a aucune peine à l’enculer dont l’anus est resté dilaté. Elle s’agite sur Germain, monte et descend, en haletant, en bredouillant des mots obscènes, pendant qu’il lui pétrit les seins et Marc suit le mouvement.
Ils jouissent dans un concert de gémissements et de râles et tout de suite après, Marc sur son dos, elle s’affaisse sur la poitrine de Germain.
Ils restent un moment emboités. Puis les mâles se détachent d’elle, elle les entend plonger dans la piscine.
Encore affaiblie par le plaisir, elle n’a pas la force de les rejoindre. Ses yeux se ferment et elle se couche sur la serviette de bain, les bras en croix. Une brève somnolence la terrasse. (à suivre)© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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