Louise, objet de désir
Louise et moi recevons un ami de passage, la soirée s’annonce bien.
Proposée le 29/04/2015 par Ludwig Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Louise se révèle une amante d’exception, en plus d’être une femme remarquable. Je prends beaucoup de plaisir à la faire rire, à la combler, à déclencher un petit rire ou un regard heureux. La vie avec elle est quelque chose qui nous révèle, nous soude et nous épanouit. Je la laisse libre puisqu’elle est libre par nature, je lui laisse de tendes instants seule avec Adeline maintenant qu’elles y ont pris goût mais ça n’ira pas plus loin.Louise, un peu jalouse, un peu inquiète que sa meilleure amie ne la remplace dans mon coeur, se refuse à aller plus loin tous les trois, ce que je comprends parfaitement. Ce n’est pas facile de vaincre les complexes des femmes, mais elle m’a demandé ça tellement tendrement qu’elle m’a touché au plus profond de mon coeur.Il existe pourtant des dizaines de manières de faire jouir ma femme et je compte bien toutes les explorer. Je sais que ma chère et tendre est un petit peu exhib, voire beaucoup. Elle prend plaisir à être vue et remarquée et souvent elle sort dans la rue dans des habits toujours très classieux mais jamais vulgaires. Je lui demande de temps en temps de ne pas mettre de sous-vêtements, et elle le fait bien volontiers.L’aventure dans le bois l’avait bien émoustillée et elle m’avoua après coup qu’elle avait vu le cycliste et qu’elle l’aurait bien aidé avec sa pompe à vélo. “Le pauvre me dit-elle, il était à moitié nu le chibre dans les fourrés en train de s’astiquer, ça devait être assez frustrant d’autant qu’on a fini avant lui”.
L’idée de nous faire voir tous les deux, l’émoustillait, mais l’idée de voir avec les mains encore plus. J’avais une petite idée là-dessus.Un soir, Raphaël, un vieil ami dans la trentaine, passait en déplacement professionnel dans le coin et je l’invitais à passer à la maison histoire de ne pas faire comme beaucoup de commerciaux hôtel-restaurant seul dans une zone industrielle sinistre.
Il avait rencontré Louise une seule fois et le courant était largement passé entre eux. Je savais qu’il lui plaisait puisqu’elle m’en avait fait la remarque. Nous nous étions donné rendez-vous, lui et moi dans un café histoire de bavarder et de tuer un peu le temps. Il n’avait pas changé, toujours aussi athlétique, toujours aussi élégant. La trentaine sûre, il en jetait dans son beau costume et j’étais sûr qu’il plairait à ma Louise. Nous discutions, de tout, de rien, de nos années dans ma première boîte là où nous étions connus.J’orientais volontairement la discussion vers les amours, il venait de se séparer de sa compagne, pas nécessairement dans les cris et les larmes mais assez pour lui faire passer pour un temps le goût de l’engagement. Il papillonnait de femme en femme depuis quelques mois, des aventures sans lendemain rencontrées qui à un salon, qui sur internet, qui à une soirée et la situation lui convenait parfaitement. Je lui parlais de Louise et il eut ce petit regard dans les yeux. Il la trouvait absolument charmante (comment pouvait-il en être autrement).De but en blanc je lui demandai si il accepterait de préparer une petite surprise à ma femme. Le sous-entendu était assez gros pour qu’il se doute que ce n’était pas anodin et il accepta volontiers.
Arrivés à la maison, nous préparâmes un bon repas en attendant que Louise ne rentre du travail. Nous dressâmes une belle table, il m’aida en cuisine, nous prîmes une douche et nous attendions tous les deux en costume que ma femme adorée ne rentre. Quand elle ouvrit, elle trouva Raphaël en chemise-cravate et moi en train de l’attendre au salon. Elle fut surprise de le voir et ils se firent une gentille bise sur les joues alors que j’embrassais ma bien aimée.Elle alla prendre une douche et revint dans une jolie jupe qui lui arrivait à mi-cuisse laissant deviner la naissance de ses bas et un haut en satin violet qui lui allait à ravir. Pendant ce temps, nous avions préparé un petit apéritif et nous l’attendions au salon. Un Mojito pour moi, un Sex On The Beach pour Raphaël et une Piña Colada pour mon amoureuse. La discussion se fit agréable, des moments comme j’aime en passer. Raphaël nous parlait avec passion de son nouveau travail, de ses aventures de coeur, de tout et de rien. Louise riait, souriait et appréciait la soirée.
Nous passâmes à table.
-Oh, c’est superbe les garçons, vous avez préparé une superbe table. En quel honneur?
-Eh bien, dit Raphaël, comme ça, pour toi. Il ne devrait y avoir aucune occasion pour faire plaisir. Pas besoin de la Saint Valentin, ni de Noël pour que les gens pensent les uns aux autres.Elle nous gratifia d’une chaude bise à chacun et le repas commença. Les compliments de Louise nous avaient mis du baume au coeur et la conversation s’orientait sur le sexe qui semblait être la cause de la rupture de Raphaël.
-Disons qu’elle et moi n’avions pas les mêmes attentes à ce niveau, nous dit-il, je la désirais, je l’aimais mais elle était rétive, refusait que je la vois nue après cinq ans de vie commune, ne voulait pas essayer certaines choses ce qui me frustrait énormément, moi qui adore le sexe.
-Peut-être que tu n’as pas trouvé la bonne voie, la bonne façon de faire, lui répondit Louise.
-Eh bien, sans doute est-ce de ma faute mais par la suite, j’ai eu des aventures qui ont été très intenses, j’ai pu me rassurer sur ma capacité à combler une femme sexuellement. C’est que nous n’étions pas faits l’un pour l’autre. J’espère qu’elle trouvera quelqu’un qui partage sa façon de voir le sexe.
-C’est sûr qu’une bonne entente sexuelle dans un couple ça aide quand même beaucoup, et puis il faut fusionner sur tous les tableaux. Il y aura obligatoirement des désaccords mais il faut s’entendre au mieux.Le dîner était exquis et je laissais les deux repasser au salon pendant que je remplissais le lave-vaisselle. Louise vint me voir un instant et me demanda si je voulais de l’aide.
-Non, merci mon amour. Tu passes une bonne soirée?
-Oh oui, Raph est vraiment un homme gentil et cultivé.
-Il te plait?
-Il me plait dans quel sens?
-Tu le trouves attirant?
Elle rougit à ma dernière question.
-Eh bien oui, il est bel homme, il a beaucoup de charme.Je servis un Bayley’s à Raph, un Curaçao bleu à Louise et je dégustais une Vodka au bouleau et blé noir ramenée de Russie. Nous nous assîmes sur le canapé discutant encore. Raph vit mon DVD de Lolita de Kubrick et s’exclama:
-Lolita, il y a une éternité que je n’ai vu ce film, je me souviens l’avoir adoré. Ca vous branche?
-Oh oui, avec plaisir, répondit Louise.
Le film démarra et Louise avait sa tête sur mon épaule, Raph, de l’autre côté d’elle me regardait avec un œil complice. Rapidement, elle posa sa tête sur mes genoux et je sentais que la position n’était pas confortable pour elle.
-Allonge-toi sur nous deux ma chérie, proposai-je, tu n’es pas bien comme ça.
-Oui, mais je ne veux pas te gêner Raph.
-Au contraire, donne-moi tes jambes et profite.Elle s’allongea sur nous deux. Les jambes sur les genoux de Raph et sa tête sur moi. Je passais ma main dans ses cheveux, la caressant doucement, Raph entreprit de lui masser les pieds. Je sentais que ma petite puce appréciait à sa respiration qui devenait plus profonde. Elle émit des petits gémissements quand je me mis à lui masser le dos du mieux que je pouvais compte-tenu de la position. Je passais mes mains avec douceur dans son dos et j’appréciais cette peau de cachemire. Raph lui malaxait les petons, la massant des mollets à la voûte de ses pieds. Je sais quand ma femme est un peu émoustillée, elle suce son pouce.
Pour ne pas qu’on entende ses petits gémissements de chatte ronronnant elle suça son pouce. Elle était de moins en moins absorbée par Humbert Humbert et Lolita. Raphaël remontait lentement vers ses cuisses et je passais ma main sur ses flancs caressant son ventre et la commissure de sa poitrine de plus en plus franchement.
-Oh, les garçons, souffla-t-elle, c’est divin ce que vous me faites.Je pris ça pour un clair encouragement et nous nous rapprochions l’un de l’autre. Raph remontait franchement vers ses cuisses et sa petite jupe et je passais ma main franchement sur son ventre. Je relevais son petit haut et dévoilais son ventre à celui qui s’immisçait franchement sous sa jupe. Une franche bosse pointait sous mon pantalon et il me lançait des regards entendus qui ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’il prenait à caresser ma femme. Il remonta sa jupe et je vis la douce dentelle de ses bas et de son boxer. Elle avait toujours ces magnifiques fesses, la courbe qu’elle imprimait m’excitait follement. De mon côté, j’étais franchement sur ses seins, à travers la dentelle de son soutien-gorge, je titillais ses tétons durcis.Mon érection se faisait très forte et à ce que je pus voir, Raphaël aussi. Il avait sa main entre ses cuisses, tâtant son petit nid d’amour qui s’humidifiait. Elle écarta les jambes pour lui laisser encore plus l’accès à son intimité. Elle gémissait, sa bouche entrouverte, ses yeux clos, elle semblait apprécier d’autant qu’elle commençait à se dandiner.
-Dis-moi ma chérie, tu penses qu’on serait mieux plus à l’aise dans un lit?
-Oui me dit-elle de sa petite voix.
-Ça te plait?
-Oh oui, mon chéri, tu veux bien qu’on continue?
-Demande à Raphaël.
-Raph, tu veux bien continuer?
-Plutôt deux fois qu’une!Nous nous levâmes, elle réajusta sa jupe et son haut, et embrassa Raphaël à pleine bouche avant de m’embrasser aussi. Coquine, elle nous prit par la main et nous guida vers la chambre. Elle nous embrassa encore chacun notre tour et nous intima l’ordre de nous asseoir tous les deux. Elle alluma l’halogène et le mit en lumière douce. Elle prit la télécommande et mit une musique érotique, un funk, Marcus Miller. Elle se déhancha lascivement, faisant jouer ses hanches. Elle caresse son corps en remontant sa jupe, en remontant son haut. Elle mord ses lèvres, elle passe un doigt dans sa bouche, et le descend vers son sillon mammaire si joliment dessiné. Elle se tourne vers nous, se baisse et remonte lentement en se cambrant et en bombant son joli petit postérieur qui me rend fou. Elle ouvrit très lentement la fermeture éclair et laissa tomber sa jupe. Elle nous dévoila un joli boxer en dentelle avec des bas noirs. Elle se tourna, jambes tendues elle se pencha en avant pour que nous profitions du spectacle.
-Vous en voulez plus les coquins? Alors, il va falloir m’en donner plus. Sortez-moi vos queues, montrez-moi.Je me levai, descendis ma braguette et sortis mon sexe déjà très dur de mon boxer. Raph en fit de même. C’est la première fois que je voyais un sexe d’homme en érection devant moi et la sensation était assez étrange. Besoin masculin de comparer, la sienne est plus longue mais plus fine que la mienne, une belle queue pour ma petite coquine. Le pantalon aux chevilles, nous commençâmes à nous branler alors que Louise nous regardait avec envie.
Elle continua pendant que Marcus martyrisait ses cordes de basse. Elle enleva son haut nous laissant une vue sur ce magnifique soutien-gorge en dentelle assorti au boxer. Elle se pencha lentement, nous laissant la vue merveilleuse sur ses collines d’amour à rendre un curé fou. Ses cheveux tombaient sur son visage tandis qu’elle se relevait. Elle se tourna lentement, nous nous masturbions toujours. Elle nous offrait son dos, cette merveilleuse chute de reins, à notre vue. Ses fesses dansaient au rythme de ce funk endiablé.Elle chassa ses cheveux pour nous laisser pleine vue sur son dos, de la nuque aux fesses. Je la désirais, j’étais vraiment excité au point de voir perler quelques gouttes au sommet de la verge. Raph se branlait doucement, il était très dur lui aussi. Elle chercha de ses petites mains l’agrafe de son soutien-gorge et elle céda. Laissant tomber les bretelles, elle nous le jeta. Elle se retourna, les seins couverts par ses cheveux aussi bien que par ses mains. Elle nous lançait des regards très salaces qui en disaient long sur ses intentions. Elle ôta ses mains et ses cheveux, ses seins s’offrirent à notre vue. C’était merveilleux. Elle a des seins magnifiques, et Raph me dit à l’oreille:
-Elle est vraiment canon ta femme, ralala, ces seins…
Elle avait entendu et vint si près de nous que je pouvais presque l’embrasser. Elle esquissa le geste et coquine alla vers Raph et esquiva de la même manière.-Allez, à poil, tous les deux. Sinon, je garde le bas.
J’ôtais ma chemise, mon pantalon en bas des chevilles, mon boxer, mes chaussettes et me retrouvai nu comme un ver aux côtés de Raph nu lui aussi. Un bel homme, le corps hâlé, les pectoraux saillants, je lui envie ses tablettes de chocolat. Louise semble le trouver à son goût. et se lèche les lèvres avec envie.
Elle se tourne, dos vers nous, elle tend ses jambes, prend son boxer par les hanches, se penche lentement en avant et le fait glisser très lentement jusqu’à ses chevilles. Nous y découvrons son petit abricot lisse luisant d’envie, son petit oeillet rose vierge et ses fesse de déesse. Ce strip-tease d’enfer nous a donné envie. Nous nous levons, et l’enserrons tendrement de caresses, sur ses hanches, ses fesses, partout où le cachemire de sa peau nous emporte.Nous la transportons sur le lit, la couchons et Raph l’embrasse fougueusement. Je caresse ses épaules et je lèche déjà avec envie ses seins pointés gonflés de désir. Elle commence à gémir. Raph descend vers l’autre sein. Je passe mes mains sur son ventre ou sur ses épaules. Elle suce avec avidité le doigt de Raph et je sens qu’à ce rythme, elle va jouir rapidement. Je suce ses seins, j’aspire ses tétons, je les pétris. Elle gémit, se tord, elle va jouir.
-Continue comme ça, c’est trop bon… je viens, je viens….oui…oui, encore….oui.
Ses mains se crispent sur nos têtes et elle jouit sous les assauts de nos langues.Pas une seconde je n’arrête et je mordille son téton. Elle pousse un petit cri de plaisir. Raph quant à lui est plus aventureux et sa langue descend vers son ventre et sa grotte d’amour dont je sens les effluves de plaisir. Elle écarte les jambes. Raph descend sa langue, lèche sa fente lisse. Elle écarte encore plus les jambes laissant un libre accès à sa chatte gorgée d’envie. Il glisse une langue sur l’entrée de ses lèvres, puis remonte vers ce clitoris gorgé de mouille. Elle a attrapé ma queue et la branle frénétiquement. Elle me tire à elle et la place sur sa langue. Elle suce avec beaucoup d’envie, au rythme des coups de langue de Raph sur son bouton d’amour. Elle me lèche le gland, passe la langue sur mon méat, puis sur la verge entière puis sur mes couilles. Elle l’humidifie entière lèche encore le gland de sa langue experte avant de l’avaler sans arrêter de pétrir le sommet avec sa langue. Elle me branle franchement en m’avalant au fond de sa gorge. Elle passe sa main sur mes bourses.Raph écarte les lèvres et le clitoris est à l’air libre, ou plutôt à l’abri dans ses lèvres. Elle gémit, je sens qu’elle va jouir encore une fois. Je passe une main sur ses seins, je roule un de ses tétons entre mes doigts et elle se crispe sur mon chibre. Le cri est étouffé par le barreau de chair entre ses lèvres. Elle jouit pour la deuxième fois. Raph remonte et présente sa queue à la bouche de ma bien aimée. Les deux membres à sa bouche, elle passe de l’un à l’autre avec envie. Ma main sur ses seins, la main de Raph dans ses cheveux, elle nous regarde avec envie, les yeux embrumés de ses deux orgasmes. Je suis le premier à jouir, elle me branle fort et m’aspire à l’annonce de mes cris de plaisir. Trois jets de sperme chaud finissent dans sa gorge. Elle ne cesse de me lécher me laissant une sensation exquise. Elle nettoie tout et avale tout sans broncher. Elle passe à mon voisin qui prend son pied lui aussi.
-Mmmmh, quelle suceuse ta femme, elle fait ça à merveille. Tu aimes ça petite coquine?*
-Oh oui, j’adore ta queue dans ma bouche. Mmmmh, elle est bonne.Je descends, mon membre ramolli vers sa grotte à plaisir et je lèche avec avidité ses lèvres et ce petit bouton. Elle est trempée et je me délecte de ce nectar de désir. Je couvre son clitoris de baisers alors que je titille l’entrée avec mon majeur. Elle suce toujours son amant avec passion, léchant le gland avec toujours autant de dextérité. Raph pousse un petit cri, il va jouir lui aussi, elle le lèche toujours avec autant d’application. Elle le pompe quand il lâche tout son désir en elle. Elle avale tout, le branle et aspire jusqu’à la dernière goutte.
-Oh, mais elle a tout avalé cette petite coquine. T’es une vraie coquine toi tu le sais.
-Oui, dit-elle, je suis votre coquine, à vous deux.
-Tu en veux encore?
-Ouuuui, j’en veux, j’en veux encore.Je rentrai mes doigts avec tendresse dans son vagin détrempé, elle poussa un petit cri. Elle gémit et Raph s’occupait de ses seins. Elle se cambrait plus me laissant plus d’accès à ses deux orifices. Je jouais avec mon majeur dans sa chatte, je trouvais son point sensible et le titillais. Elle gémit, prit les cheveux de Raph et se crispa. Je sentais qu’elle allait venir encore une fois. Mon membre avait retrouvé toute sa vigueur et j’étais très excité par la vision de ma femme prenant son pied avec moi et un autre homme. J’aimais la voir épanouie. Je continuais à lécher son clitoris et mon doigt s’affairait dans son intimité. Elle jouit pour la troisième fois sur ma langue, la cyprine coulait à flots.
Je la laissais reprendre ses esprits et je continuais mon office une fois son souffle revenu. Je rentrai deux doigts et son anus lubrifié par la mouille qui suintait de sa grotte allait m’aider. Je pressais lentement ce petit œillet tout rose. Son anus laissa entrer mon doigt. Raph reprit sa place dans la bouche de ma femme et elle reprit sa tâche. Raph récupérait de la vigueur entre ses lèvres. Je jouais avec mes trois doigts dans ses orifices lubrifiés. Elle prenait beaucoup de plaisir.
-Prends-moi, je t’en prie, prends-moi.Je m’enfonçais dans sa chatte lubrifiée avec une facilité déconcertante. Elle gémissait aux coups de ma queue en elle. Elle suçait au rythme de mon va et vient. Ma queue était luisante, recouverte de mouille et elle entrait et sortait sans obstacles. Je la limais avec fougue. Des vrais coups de butoir secouaient ses seins si tendres, elle gémissait et se caressait les seins avec Raph.Rapidement, il prit ma place et je suçais ses seins, je jouais avec son clitoris. Je sentais cette queue qui s’agitait dans ma femme la faisant crier. Je le titillais de mes doigts alors que je suçais ses seins. Elle ne tarda pas à jouir encore une fois, fort, en se cambrant. Tremblante, elle subissait les spasmes de son plaisir. Raph labourait cette chatte gorgée de plaisir et les vagues de félicité la submergeaient. Elle criait, gémissait.
-C’est trop bon souffla-t-elle, encore, encore, encore.
-Tu veux de la bite petite coquine, demanda Raph, tu aimes la bite?
-Oui, je veux de la queue, je veux de la bite encore.
-Tu vas en avoir de la queue.Raph se plaça sur le dos, elle vint à califourchon sur lui, s’empalant sur sa queue luisante de mouille. Elle commença avec un petit rythme à faire bouger son bassin, Marcus Miller lui donnait les basses pour ça. Ses merveilleuses fesses recouvertes d’une couche de sueur avaient un éclat Boticcellien. Je titillais son petit oeillet de mes doigts, j’avais le majeur et l’annulaire dans ce petit conduit que je n’avais jamais encore exploré. Je sentais la queue de Raph à travers la fine paroi. J’aimais cette sensation et je jouais avec son petit trou.
-Tu veux vraiment de la bite mon coeur?
-Oui, vas-y pénètre-moi, baise-moi.
-Tu veux que je t’encule?
-Oui, mais sois doux, c’est ma première fois.Je me plaçais derrière elle, Raph lui tenait les fesses écartées. Son oeillet luisant de mouille, je plaçais mon chibre tendu vers lui. J’avançais très doucement. Elle soufflait fort. Passé le gland, elle émit un cri de douleur, je stoppais, puis repris très lentement. Elle semblait apprécier et je m’enfonçais jusqu’à la garde. Ma verge était dans un étau, son conduit si serré me remplissait de sensations.
-Ca va mon amour?
-Oui, mais ta queue est grosse, elle me remplit entièrement.
-Tu veux que je sorte?
-Non, c’est agréable.Je commençais de concert avec Raph dont je sentais la queue un petit mouvement. Elle respirait fort, Petit à petit nous augmentions la cadence jusqu’à ce que nous soyons en opposition. Alternativement, les deux queues remplissaient ses orifices. Arrivés à un bon rythme, je la sentais prendre réellement son pied. Je limais de plus en plus fort, son petit cul serré me rendait fou, à ce rythme je n’allais pas tarder à jouir. Raph émit des râles quant à son état lui aussi. Presque simultanément, nous avons lâché notre semance et rempli ses deux trous de crème. Elle serra Raph très fort, elle jouit elle aussi quand elle fut remplie de sperme chaud.Dieu que c’était bon. Allongés chacun sur un flanc, nous l’entourions laissant tendrement courir nos mains sur son corps.
-Oh, les garçons, ça a été magique, vraiment, magique. Je vous remercie pour ça, ça a été, wow, vous ne pouvez vous imaginer comme c’était bon.
Nous nous endormîmes les trois enlacés, ivres de plaisir. La nuit n’était pas finie et nous avons remis le couvert trois fois.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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