Louise, un peu lesbienne
OĂą je fais la connaissance d’Adeline, la meilleure amie de ma chĂ©rie Louise.
Proposée le 24/04/2015 par Ludwig Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Louise se rĂ©vèle une vĂ©ritable petite coquine et le sexe avec elles dĂ©passe de loin ce que j’avais pu essayer. J’ai connu quelques aventures avant dont une sĂ©rieuse, mais aucune de ce niveau d’entente, de complicitĂ© et de passion.Nous Ă©tions ce soir invitĂ© chez son amie, Adeline. Adeline est une fille adorable, le genre de fille dont vous tombez amoureux autant que vous restez son ami, toujours de bonne humeur, pĂ©tillante, pleine de vie et jolie mais qui n’en joue pas. Elle joue de malchance avec les hommes puisqu’elle vient encore de se faire plaquer par un Ă©nième mec qui n’a pas Ă©tĂ© capable de voir quel joyau cache ces petites lunettes et cette douce chevelure rousse.
Depuis que j’ai Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©, je suis sous le charme de cette grande rousse Ă la peau blafarde, et au regard vert dans lequel on se perd facilement. Elle nous a invitĂ©s Louise et moi, et mĂŞme si les deux parlent chiffons, leurs minauderies, leurs confidences ne me dĂ©rangent pas au contraire. C’est en Ă©coutant parler les femmes entre elles et en se faisant discrets qu’on en apprend le plus sur elles et qu’on en devient meilleur mari, ami et amant.
Je trouvais Louise très bien habillĂ©e, trop bien sans doute pour aller voir cette amie, mais après tout, j’aime qu’on la regarde et qu’on la dĂ©sire en sachant que moi seul ai l’accès Ă son coeur et son corps de rĂŞve. Elle porte une jupe en satin noir terminĂ© par de la dentelle noire qu’un coup de vent soulève, des bas noirs, un chemisier violet s’ouvrant sur un joli dĂ©bardeur noir avec des dentelles, un collier qui se termine Ă la commissure de ses seins, elle a par-dessus un blazer qui moule ses seins et qui souligne sa chute de reins. Bras dessus, bras dessous, nous marchons en centre-ville alors que les premiers frimas de l’automne se rapprochent. Nous nous dirigeons vers cet appartement des beaux quartiers, Adeline gagne bien sa vie et la porte cochère imposante en tĂ©moigne. Adeline nous ouvre sa porte avec un grand sourire, elle Ă©treint Louise et elles s’embrassent presque, et elle me saute au cou quand je lui offre des fleurs.
-Des fleurs, c’est trop mignon, les hommes qui m’en offrent se font si rares. T’es tombĂ© sur une perle Louise.Dans son salon elle nous sert une Margarita pour Louise, un reste de Sauternes pour moi et un Mojito pour elle. Elles rient, sont heureuses de se voir, elles parlent de choses et d’autres sur ce ton espiègle que je leur connais. Adeline lance sa chevelure en arrière ce que je trouve absolument charmant me laissant la vue sur ce cou blanc que j’ai envie de couvrir de baisers. Elle porte un dĂ©bardeur vert, un pantalon moulant noir et elle est pieds nus. De sa tenue si simple se dĂ©gage un Ă©rotisme mortel pour moi. Je suis fou de ses cheveux, de sa peau blanche, de son port, de ses yeux aussi.Pendant qu’elles parlent, je les observe, leurs petits gestes, leur beautĂ©. Je suis sous le charme, je suis dans un de ces instants oĂą tout va bien et je laisse les choses couler.
La discussion s’embarque sur le sexe alors qu’Adeline nous sert un deuxième verre. Adeline nous parle de Fred, son dernier en date, une espèce de bad boy d’opĂ©rette qui croit que la vue d’une bite en Ă©rection suffit Ă faire jouir une femme. Elle gĂ©nĂ©ralise en disant que rares sont les hommes qui savent s’y prendre, qui savent ne donner du plaisir qu’Ă eux-mĂŞmes.Louise me lance un regard en coin et parle doucement Ă Adeline, assez pour que j’entende mais je regarde ailleurs.
-Attends, souffle mon amoureuse, je vais te raconter ce qu’il m’a fait pour mon anniversaire.
Adeline se rapproche jusqu’Ă la toucher, elle lui raconte tout, le restaurant, la chambre Ă©clairĂ©e par des bougies, le massage et s’arrĂŞte lĂ .
-Et ça s’est fini comment, raconte, n’oublie aucun dĂ©tail.Les yeux d’Adeline pĂ©tillent, elle est captivĂ©e par les mots de Louise et me lance des petits regards en coin et je sens que sa main joue avec sa cuisse. Le rĂ©cit de Louise fini, mon amour est rouge pivoine, Adeline se tourne vers moi avec un petit regard mi-salace, mi-envieux.
-Eh bien, ma puce, on dirait que t’as tirĂ© le gros lot. Elle s’adresse Ă moi. Eh bien, je vois que Louise ne tarit pas d’Ă©loges, ses anciens mecs Ă©taient des mauvais et enfin, tu l’as libĂ©rĂ©e. Bravo.Elle se lève pour une troisième tournĂ©e et me glisse un baiser sur ma joue. Je suis rouge et j’ai très chaud. Les deux filles se lèvent et vont en cuisine et je me retrouve seul avec une Ă©rection plus que naissante. J’essaie de calmer les ardeurs de mon sexe et je les entends pouffer de rire et chuchoter de manière peu discrète sans que je ne saisisse le sens des mots.Elles reviennent, la soirĂ©e est vraiment agrĂ©able et maintenant, je ne peux m’empĂŞcher de dĂ©tourner le regard quand Adeline le fixe de ses Ă©meraudes. Je suis gĂŞnĂ©, terriblement gĂŞnĂ©. Pour me sortir de la situation, je me propose en tant que cuisinier et les deux filles acceptent volontiers. Je file en cuisine espĂ©rant que mes pavĂ©s de saumon Ă l’oseille aux tagliatelles me calmeront les sangs. Je m’attèle Ă mes plats, je mitonne trois belles assiettes et j’arrive dans le salon dĂ©sert. Je les entends rire de la chambre du fond et je m’approche Ă pas de loup. De la porte entrouverte, je peux voir les deux jeunes femmes hilares en train de comparer leur lingerie et de se donner des conseils sur quel tenue adopter en quelles circonstances. Je les regarde et je toque Ă la porte.
-Euh, balbutiai-je en les voyant couvertes de dentelles, c’est prĂŞt, je vous attends.Je regardais le sol pour ne pas les fixer.
Louise vint Ă moi et m’embrassa tendrement.
-Eh bien mon chĂ©ri, t’es tout gĂŞnĂ©, rassure-toi, on a toujours Ă©tĂ© comme ça avec Adeline, depuis le lycĂ©e au moins. Et puis, ça ne te dĂ©range pas hein ma puce?
-Non, non, pas du tout, mais on va quand mĂŞme passer Ă table, j’ai une faim de loup et ça sent très bon.Je les laisse se rhabiller et j’en profite pour installer une table pour trois laissant les deux femmes cĂ´te Ă cĂ´te et moi en face.
Elles arrivent les joues rouges, presque enlacées et se mettent à table.
-Oh, c’est trop joli, s’Ă©crie Adeline, t’as vraiment un mec en or toi ma puce, tu me le prĂŞtes?
-ArrĂŞte, tu vas me rendre jalouse, dit-elle en l’embrassant dans le cou.J’Ă©tais tĂ©tanisĂ© par ces deux femmes, par leur aisance, par le fait que je ne contrĂ´lais rien et que je ne savais que faire. Elles mangent avec appĂ©tit mes pavĂ©s de saumon et Adeline commence par une question.
-Alors, Ludwig, pas trop gêné par la situation?
-Gêné de quoi, quelle situation? Dis-je en mentant parce que je bandais de nouveau.
-Eh bien de voir ta femme et sa meilleure amie en lingerie dans la même pièce.
-Oh, je n’ai pas bien regardĂ©, rĂ©pondis-je le plus sincèrement possible alors que j’avais imprimĂ© chaque millimètre de leurs corps sur ma rĂ©tine.
-Pas de ça avec moi, mes lunettes ne me cachent pas tes yeux tu sais. Et puis, c’est naturel. C’est flatteur d’ĂŞtre dĂ©sirĂ©e.
-Eh bien, oui, j’ai regardĂ© un peu, mais pas longtemps, mais je ne me sens pas très Ă l’aise.
-Pourquoi? Me demande mon cœur
-Eh bien, vous semblez bien toutes les deux, je ne voudrais pas vous déranger.
-Oh, au contraire, c’est bien que tu sois lĂ . C’est plus agrĂ©able et pour une fois, nous aurons l’avis d’un homme, et non des moindres.Elles s’Ă©changent un petit regard et continuent leurs questions.
-Alors, parlons de ce que tu as vu tout Ă l’heure, dit malicieusement Louise.
-Mais je n’ai rien vu, ou si peu et vraiment rien, on ne va pas Ă©piloguer.
-Je suis persuadée que tu en as vu bien plus que tu ne veux le dire.
-Moi, je suis sĂ»re qu’il en a vu plus qu’il ne veut bien le dire, souffle Adeline.Sous mon pantalon, mon Ă©rection devenait de plus en plus douloureuse, je me sentais rougir et transpirer.
-On va faire quelque chose, annonce Adeline, on va te poser plein de questions et tu seras obligé de répondre.
-Mais non, je ne suis obligé de rien.
-Disons que si tu es gentil, tu auras quelque chose de spécial ce soir. répond Louise, et sur des entrefaites elle embrasse Adeline à pleine bouche et celle-ci ne la rejette pas le moins du monde.
Le sous-entendu est plus que clair surtout après ça. Ce baiser a Ă©tĂ© une merveille de beautĂ©, j’ai cru voir une allĂ©gorie de la tendresse descendre sur Terre.
-Pour que ça soit équitable, on va faire un jeu, un bête jeu de dames, nous deux contre toi.Adeline ramène un magnifique jeu de dames en bois précieux, et le pose sur la table. Elle distribue les pions finement ouvragés et le jeu commence.
-Alors, pour les règles du jeu, commence Louise, tu perds un pion, tu es obligĂ© de rĂ©pondre Ă une de nos questions ou d’enlever un vĂŞtement, pas d’Ă©chappatoire.
-Et si tu manges un des nĂ´tres, poursuit Adeline, tu as le droit de nous demander ce que tu veux.
-Bien, j’accepte.
Je jubile intĂ©rieurement, j’avais une chance de les voir comme tout Ă l’heure, mĂŞme plus, je cachais mon Ă©rection assez mal et je suis sĂ»r qu’elles l’ont remarquĂ© au moins quand je me suis levĂ© pour dĂ©barrasser.
Le jeu commence, les pions se mettent en place. Je sens un pied contre ma jambe mais n’y prĂŞte pas attention, j’essaie de ne pas me dĂ©concentrer. Je perds mon premier pion.
-Alors, dit Adeline en se frottant les mains, je vais te demander, tu vas nous dire ce que tu prĂ©fères chez Louise et chez moi, physiquement. Et sois honnĂŞte.Petite question simple, mais pleine de sens. J’essaie d’ĂŞtre sincère et me concentre pour une rĂ©ponse juste.
-Chez Louise, c’est son dos, de ses Ă©paules Ă sa chute de reins. Et pour toi, du peu que j’ai pu en juger, tes cheveux.
Elles rougissent, se donnent un petit bisou sur les lèvres et le jeu continue.
Je leur mange un pion.
-Bien, je voudrais que vous vous embrassiez très doucement et très tendrement.
-Avec grand plaisir. RĂ©pond Adeline.Elles se rapprochent, Adeline pose une main sur la joue de Louise qui passe sa main dans les cheveux de sa partenaire. Elles s’effleurent les lèvres, puis elles s’ouvrent, et les langues se mĂ©langent, les respirations sont amples et douces. Je les observe s’embrasser en se caressant les joues, le cou, les cheveux. Très lentement, elles s’Ă©cartent et se ressaisissent.
-Alors, le spectacle t’a plu?
Je reste interdit, les sens en émoi. Je suis encore imprégné de cette vision si pure.
-On dirait qu’on l’a bloquĂ© ton homme.
-C’Ă©tait si beau.
Le jeu continue et je gagne encore un pion.
-Je voudrais que vous enleviez chacune un vĂŞtement de votre choix.Elles se regardent en riant et Louise opte pour un de ses bas, Adeline pour son chemisier. Elles se lèvent, Louise remonte sa jupe et descend un bas le plus lentement possible en me fixant droit dans les yeux me laissant une vue imprenable sur son dĂ©colletĂ©. Adeline se dĂ©boutonne lentement, et laisse voir son dĂ©bardeur vert avec lequel elle nous a accueilli. J’essaie de ne pas fixer sa jolie poitrine et me concentre sur le jeu.
Le jeu continue et elles gagnent.
-Bien, me dit Adeline, tu vas devoir enlever un de tes vĂŞtements.
Je me plie bien volontiers et j’Ă´te mes chaussettes. Le jeu continue et je gagne encore.
-Vous allez devoir me dire jusqu’oĂą vous ĂŞtes allĂ©es sexuellement toutes les deux.Elles se regardent un instant.
-Eh bien, commence Louise, je me souviens qu’on a dĂ©jĂ dormi ensemble, plusieurs fois, on s’est embrassĂ©es plein de fois, je l’ai vue nue plein de fois. Mais jamais au-delĂ .
-Oh, si au ski cette fameuse annĂ©e, Ă Courchevel, tu te souviens, on Ă©tait bourrĂ©es toutes les deux et on a fini Ă poil dans le mĂŞme lit mais incapables de se souvenir de ce qui s’Ă©tait passĂ©.
-Ah si, mais il ne s’Ă©tait rien passĂ©, on puait trop de la gueule et on avait une migraine pas possible alors, on n’a rien fait.
Satisfaites de leur réponse, le jeu continue.
Elles gagnent et me mangent deux pions Ă la fois.
-Oulà , pas de chance pour toi chéri, tu as le droit à deux gages.
-D’abord, dit Adeline de plus en plus curieuse, tu vas enlever ta chemise.Je me lève, j’essaie de cacher au mieux mon Ă©rection en pliant le ventre et je m’exĂ©cute, laissant mon torse nu Ă leur vue.
-Ensuite, me dit Louise, tu vas devoir nous dire à quel âge tu as vu ta première paire de seins en vrai.
Je rougis Ă cette question, je vais encore passer pour un idiot.
-Assez tard puisque je n’ai eu ma première copine qu’Ă 21 ans.
-Mmmh un peu attardĂ© ton chĂ©ri ma puce, il s’est bien rattrapĂ© après on dirait.
Le jeu continue, je gagne.
-Alors, vous allez me dire ce que physiquement vous enviez Ă l’autre.
Elles se regardent de pied en cap en cherchant.
-Moi, j’adore les seins de Louise, j’adorerais avoir les mĂŞmes. Ils sont superbes. Elle pose sa main sur la poitrine de Louise qui ne s’en plaint pas.
-Moi, j’adorerais avoir tes jambes, si longues et si fines.
Elles se donnent un petit baiser et elles gagnent.
-Tu vas devoir enlever ton pantalon, lentement.
Je me lève, je ne peux plus cacher ma queue raidie, le me tourne dos à elles, je me déboutonne et je commence à le faire tomber.
-Tourne-toi, m’ordonne Adeline.
Je place mes mains devant mon sexe et je me tourne doucement en rougissant de tout mon sang.
-Enlève tes mains, me demande Louise.Satisfaite de leur effet, elles m’autorisent Ă me rassoir.
Je gagne deux pions.
-Vous allez enlever chacune deux vĂŞtements puisque j’en ai gagnĂ© deux. Mais je voudrais que l’une enlève les vĂŞtements de l’autre.
Louise se lève, Adeline s’agenouille devant elle et enlève son deuxième bas et le pose près du premier. Elle monte tout doucement et elle enlève son dĂ©bardeur laissant son joli soutien-gorge libre et se seins respirent un peu plus. Adeline passe sa main sur ses seins et les caresse brièvement. Louise fait de mĂŞme, et les deux se retrouvent en lingerie fine devant moi. La poitrine de Louise est superbe, voluptueuse, lourde et si tendre. Celle d’Adeline est plus petite mais joliment dessinĂ©e, un bon 85C je pense. Le soutien-gorge noir d’Adeline me laisse entrevoir ses tĂ©tons durcis et ses petites arĂ©oles autour d’eux. Louise se colle Ă Adeline, puis elles s’embrassent, elle porte ses mains Ă son pantalon et dĂ©fait l’agrafe et les boutons. Elle passe ses mains sur les fesses de sa partenaire et me dĂ©voile un magnifique shorty en dentelle noire assortie. Ses fesses sont rebondies, la peau douce et laiteuse, les mains de mon amoureuse descendent et me dĂ©voilent des cuisses fines et musclĂ©es coupĂ©es par la dentelle de ses bas blancs. Le pantalon tombe Ă ses pieds. Je dois sourire bĂ©atement puisqu’elles se mettent Ă pouffer de rire en me voyant. Je n’ai pas demandĂ© tout ça et elles en rajoutent bien volontiers.
-Alors, toujours décidé à continuer? Me demandent-elles.
-Plus que jamais, tentĂ©-je de rĂ©pondre le plus fermement possible, mais il en rĂ©sulte une voix chevrotante.Je joue et je sens un pied se glisser contre ma cuisse. J’essaye de ne pas y prĂŞter attention mais il remonte, je regarde, c’est un bas blanc, Adeline est en train de me faire du pied. Louise s’en doute bien puisque son pied Ă elle remonte sur l’autre jambe. Je perds encore une fois.
-Alors, quelle lingerie tu préfères?
-Entre la tienne et celle de Louise?
-Oui.
-J’adore la dentelle donc je vais dire les deux, elles sont toutes les deux superbes.
-N’essaie pas de t’enfuir, regarde, le soutien-gorge de Louise est Ă balconnets, alors que le mien est en corbeille. Ca ne donne pas le mĂŞme effet. En plus Louise a un string et un porte-jarretelles et j’ai un shorty.
-Eh bien, ça ne rend pas pareil, mais le rĂ©sultat est aussi beau de part et d’autre. J’aime les deux.Elles ne semblent pas satisfaites et leurs pieds assaillent toujours mes cuisses. Adeline vient tâter l’Ă©norme bosse sous mon boxer et le masse doucement. Bien entendu, elles ont une dame et gagnent encore un pion. Il ne m’en reste que deux. De toutes façons, je finirai nu.
-Bien, tu vas nous dire laquelle de nous deux a le plus joli corps.
Question piège mais j’adore le corps de ma femme.
-Celui de Louise dis-je.
-Ca veut dire que le mien est moche.
-Non, tentĂ©-je de me dĂ©fendre, tu es très bien, mĂŞme mieux que ça, tu es superbe, mais j’adore celui de ma chĂ©rie et sentimentalement, il a une Ă©norme valeur.
-C’est vrai, tu la trouves belle?
-Eh bien, oui, elle est très bien faite.
Satisfaites de leur réponse, elles gagnent encore et acculent mon dernier pion à la défaite.
-Bien, tu vas devoir enlever ton boxer mon chéri, mais avant, vu que tu as perdu, tu vas devoir nous dire depuis quand tu bandes comme ça.
-Eh bien, depuis votre premier baiser.
-Pas avant, tu es sûr?
-Si un peu en vous voyant dans la chambre, mais c’est passĂ© vite alors, je ne compte pas.
-Elle te fait de l’effet Adeline?
-Surtout quand vous ĂŞtes toutes les deux.
-Et tu crois que ça pourrait aller plus loin?
-Eh bien, ça ne dépend que de vous.
Elles se regardent, se chuchotent Ă l’oreille et s’embrassent.
-D’abord, tu vas enlever quelque chose pour nous.Je me lève, elles ont une vue imprenable sur mon engin fièrement dressĂ© mais drastiquement comprimĂ© dans le tissu. Elles viennent de part et d’autre de moi, et me tirent le boxer jusqu’aux chevilles. Mon sexe est raide comme la justice, gonflĂ© de frustration. Elles le contemplent et Louise prend la main d’Adeline pour la poser sur la mienne. Adeline ne se fait pas prier et commence Ă me branler doucement alors qu’Ă un centimètre de mon gland elles s’embrassent tendrement. Je suis aux anges, Louise a sa main sous mes couilles, Adeline me branle avec dĂ©licatesse, c’est divin.Elles se redressent et Louise m’embrasse, Adeline m’embrasse Ă son tour sans lâcher ma queue. Adeline fait tomber la jupe de Louise et dĂ©voile son string en dentelle noire. Les deux Ă©pidermes sur ma peau sont brĂ»lants, doux et se frottent avec envie.
-Viens, me souffle Adeline sans lâcher mon chibre bandé.
Elle me guide vers sa chambre, m’assoit sur une chaise, et les deux s’occupent de moi, elles m’embrassent, je passe mes mains autour d’elles je caresse leur dos, leurs cheveux, leurs fesses. Adeline sort une paire de menottes et me les passe au bras. ÉmoustillĂ©, je me laisse faire et me voilĂ attachĂ© Ă leur merci.
-Puisque tu as perdu, tu ne vas avoir le droit qu’Ă la moitiĂ© de ton fantasme, je la tiens la revanche de mon anniversaire.
La garce, je ne crois que trop bien comprendre ce qu’elle manigance.Elles Ă©clairent la pièce avec des bougies, s’Ă©treignent avec tendresse et se couchent sur le lit. J’ai une vue magnifique sur la situation. Ma petite amie est en train de faire l’amour avec sa meilleure amie.Elles s’embrassent tendrement, passent leurs mains dans leurs cheveux, dans leurs dos, sur leurs joues, sur leurs fesses. J’entends leurs respirations s’amplifier. Leurs baisers sont très profonds, leurs langues se mĂ©langent. Adeline embrasse Louise dans le cou, enlève la bretelle de soutien-gorge avec sa langue et continue vers son Ă©paule. Elle descend vers ses seins Ă travers la dentelle. Elles dĂ©grafent leurs soutien-gorge et je vois ces deux paires de seins si belles, si douces. Ceux d’Adeline sont très jolis, plus petits, avec des plus petites arĂ©oles, mais très fermes et bien dessinĂ©s. Leurs tĂ©tons se croisent et s’entrechoquent, ils sont dĂ©jĂ bien durcis et elles respirent dĂ©jĂ assez fort.Elles se caressent quand Adeline pousse Louise sur le dos et entreprend de prendre soin d’elle. Elle lui embrasse le cou, une main dans ses cheveux, elle descend en embrassant ses seins. Elle les pĂ©trit d’amour, avec ses petites mains, ils ont l’air Ă©normes, elle les embrasse entièrement avant de lĂ©cher ses mamelons durcis. Louise commence Ă gĂ©mir et je sais qu’elle ne va pas tarder Ă jouir. Adeline les mordille, les lèche, les suce avec passion et tendresse. Louise a ses mains dans les cheveux roux et lui caresse la tĂŞte. Adeline descend lentement sur son ventre en laissant une main caressant tantĂ´t un sein, tantĂ´t l’autre.
-Ooooh, Adeline, depuis le temps que j’en rĂŞvais, enfin tu te dĂ©cides, continue, n’arrĂŞte pas, c’est divin. Mmmh, encore.
-Tu es si douce ma belle, j’ai envie de toi ce soir. Très envie de toi.Adeline lèche son ventre avec application, s’arrĂŞte Ă son string et continue vers ses jambes. Elle couvre de baisers ses cuisses, l’intĂ©rieur, ses mollets, ses chevilles avant de lĂ©cher ses pieds et ses orteils. Elle les masse doucement en portant les orteils dans sa bouche. La pièce est parfumĂ©e de dĂ©sir, Louise se tord, elle se tortille de bonheur en gĂ©missant. Adeline est Ă quatre pattes, la croupe tendue vers moi, ses fesses dĂ©corĂ©es de dentelle, j’aperçois son intimitĂ© Ă travers la dentelle. J’ai envie de la prendre tout de suite, ses fesses sont magnifiques, fermes et douces Ă la fois. Adeline remonte vers les cuisses et le string de Louise que je sais trempĂ©. Elle caresse son ventre de ses mains, empoigne les fesse de ma chĂ©rie et tire dĂ©licatement sur la dentelle avec ses dents et ses mains. Elle le descend complètement et elles se tournent de manière Ă me regarder dans les yeux.
-Le spectacle te plait mon cœur? Me demande Louise avec ce regard qui me rend fou.
-Tais-toi et jouis, soufflĂ©-je.Adeline passe sa langue sur ce pubis lisse comme de la soie et l’humecte avec amour, je sais que sa chatte est trempĂ©e de dĂ©sir. Elle descend doucement, Louise Ă©carte un peu plus les jambes et je vois Adeline porter sa langue entre ses lèvres roses gonflĂ©es de dĂ©sir. Elle y lance une langue timide puis plus gaillarde. Elle ouvre l’entrĂ©e de sa salive qui se mĂ©lange avec la cyprine qui coule abondamment. Louise est en extase, elle se tord dĂ©jĂ , prend les cheveux de son amante Ă pleines mains, elle se cambre, gĂ©mit. La belle rouquine glisse sa langue plus haut vers son petit bouton et Louise se tord très fort.
-Oui mon cĹ“ur, je jouis, c’est bon, oui, t’arrĂŞte pas.Louise jouit fort sur la langue d’Adeline.
Louise se tord, alors qu’Adeline ne relâche pas un instant la pression de sa langue sur le petit bouton de mon cĹ“ur. J’ai envie d’y ĂŞtre, d’ĂŞtre cette langue Ă l’assaut de cette intimitĂ© trempĂ©e et gonflĂ©e de dĂ©sir. J’Ă©cume tant de jalousie que de plaisir Ă l’idĂ©e de la voir prendre son pied de cette manière.
De sa bouche entrouverte, elle cherche de l’air et laisse filtrer de larges râles de plaisirs, des gĂ©missements sensuels qui ne laissent aucun doute sur la puissance de l’orgasme qui la traverse. Adeline passe ses mains Ă l’intĂ©rieur des cuisses de Louise, sa langue toujours entre ses petites lèvres trempĂ©es et elle laisse Ă©chapper quelques bruits de succion. Elle semblait si douce, Louise pĂ©trissant sa chevelure rousse, elle ondule son bassin. Ses seins dardĂ©s, le souffle court, elle prend un pied fou.
-Encore mon coeur, encore, ne t’arrĂŞte pas, ouiiii, comme ça.Adeline, Ă genoux me laisse Ă la vue sa croupe rebondie et cette fĂ©minitĂ© que je vois en train de s’humidifier. J’ai envie de tout briser, de tout casser pour les prendre toutes les deux. Mais ce n’Ă©tait que le premier orgasme de Louise, bientĂ´t, Adeline remonte doucement ses mains vers l’entrĂ©e de la grotte aux plaisirs. Timidement elle caresse l’entrĂ©e de son doigt et continue Ă labourer le clitoris luisant de sa langue.
-Doigte-moi, je t’en supplie, gĂ©mit Louise, doigte-moi.
-Tu en veux, petite coquine?
-Oui, je t’en prie, continue.
Louise ondule son bassin, elle cherche Ă faire rentrer le doigt, elle va au devant de cet appendice qui l’appelle.
-Allez ma belle, branle-toi, tu aimes ça hein? Dis-le que tu aimes ça.
-Oui, j’aime ça, j’en veux, encore.Connaissant Louise, elle pouvait dire n’importe quoi en ces instants, y compris les pires cochonneries. Adeline s’en est vite rendue compte et elle manifeste un plaisir sadique Ă la voir jouir au bout de ses doigts.
-Dis-le que t’es une cochonne, dis-le.
-Oui, je suis ta cochonne, fais-moi jouir comme une cochonne.
-Bien, prends ton pied mon cœur.
Elle rentre deux doigts et reprend ses caresses sur le clitoris, Louise crie presque, sa respiration est frénétique. Elle se cambre. Elle va jouir une deuxième fois.
-Ça vient, n’arrĂŞte pas, ça vient mon coeur ! Ouiiiiiii
-Allez, prend ton pied petite cochonne.
Dans un râle, elle se tend, agrippe les draps et les cheveux d’Adeline. Elle jouit fort encore une fois. Adeline sort ses doigts de la chatte trempĂ©e de Louise et les place sur les lèvres de Louise. Elle les avale, les lèche, les suce avec aviditĂ©. Adeline lèche ses seins.
-Ta copine est vraiment une sacrĂ© cochonne mon petit Ludwig, t’en as de la chance.Louise n’est plus elle-mĂŞme, elle est plaisir, dĂ©sir, pulsions, orgasmes. Elle lèche sa mouille sur les doigts de sa partenaire et l’embrasse Ă pleine bouche. Elle se dĂ©lecte de ses lèvres, les langues se mĂ©langent, le baiser est fougueux. Louise passe sa main dans la crinière rousse, elles se touchent les seins, se blottissent l’une contre l’autre. Mon Ă©rection est douloureuse Ă force de durer, je suis tendu Ă l’extrĂŞme et pourtant j’adore voir ma femme jouir. Le spectacle qu’elles m’offrent est magnifique.
-C’Ă©tait merveilleux mon cĹ“ur, j’ai adorĂ©, je t’aime.
-A ton tour maintenant, fais-moi jouir.Louise pousse Adeline et la couche sur le lit, elle se place Ă califourchon sur elle et l’embrasse sur ses lèvres, les langues se mĂ©langent. Louise passe ses mains sur les Ă©paules de la jolie rousse, elle embrasse son cou, de chaque cĂ´tĂ©, la rĂ©action ne se fait pas attendre, elle commence Ă respirer très fort. Elle descend vers ses seins, lentement, elle embrasse ses bras, ses mains, et revient vers les Ă©paules. Adeline a ses mains dans la chevelure soyeuse de mon amour, elle passe ses mains dans le dos, sur les Ă©paules, dans ses cheveux. Louise arrive Ă ses seins, elle les embrasse entiers avant de remonter dans le sillon entre. Elle les caresse doucement avant de remonter vers leur centre et ces tĂ©tons durcis. Elle sort sa langue et les caresse doucement, elle les titille du bout de ses doigts, puis elle joint ses lèvres. Elle me regarde droit dans les yeux quand elle met le tĂ©ton dressĂ© de plaisir dans sa bouche. Son regard coquin me rend fou, je me noie dans ses perles marron et je ne rate pas une miette. Adeline a la bouche ouverte et respire fort. Elle laisse un petit gĂ©missement quand Louise commence Ă lui mordiller les tĂ©tons. Une main sur un sein, la bouche sur l’autre, elle se rĂ©gale de cette poitrine merveilleusement dessinĂ©e.
-Mmmh, c’est divin mon coeur, continue, ne t’arrĂŞte pas.
-Tu aimes ça mon coeur? J’adore tes seins.
-Ils sont Ă toi, fais-moi jouir.Louise continue ses caresses et ses baisers sur ces collines d’amour gonflĂ©es. Louise gĂ©mit, elle semble prĂŞte Ă jouir. Ses pieds se contractent, elle caresse les cheveux de ma bien-aimĂ©e avec passion, ses gĂ©missements excitent sa partenaire qui les suce de plus belle. Elle tient ses tĂ©tons entre ses doigts et les roule avant de les lĂ©cher avec application. Elle serre ses seins l’un contre l’autre et Adeline ne tient plus.
-Je vais jouir, je viens, ouiiii, je viens, ouii
Louise continue de plus belle et Adeline se crispe en un orgasme. La vague de plaisir la cambre, elle appuie sur la tĂŞte de Louise pour ne pas que cette Ă©treinte ne s’arrĂŞte. Quand elle se calme, Louise descend doucement vers son ventre lisse. Elle laisse une main vers son sein et descend avec sa langue.
Elle arrive Ă ce mignon shorty en dentelle qui m’excite depuis le dĂ©but. Elle descend vers ses cuisses, les embrasse, les pĂ©trit, caresse l’intĂ©rieur et constate que la mouille coule Ă flots.
-Mmmh, tu mouilles mon coeur.
-Ou…Oui, parvient Ă balbutier Adeline qui respire toujours aussi fort.Louise se rapproche de son sexe brĂ»lant et entreprend de le caresser Ă travers la dentelle noire. Louise pousse un petit cri. Elle pĂ©trit ses fesses, embrasse ce ventre plat et tire doucement elle tire sur la lingerie. De ses dents, elle l’enlève et s’approche de moi avec son trophĂ©e. Elle le pose sur ma queue raide et m’embrasse fougueusement en me laissant sur un clin d’oeil coquin.Elle revient et me tend sa croupe Ă la vue. J’ai envie de la prendre ici, comme ça, fort, avec passion, pour la faire jouir. Sa chatte est toujours trempĂ©e et sa mouille ruisselle sur ses cuisses. Elle embrasse le pubis rasĂ© de son amie, elle le lèche franchement en pĂ©trissant un des deux seins. Louise gĂ©mit. Elle descend sa langue et lèche les lèvres gluantes de mouille. Adeline passe ses mains sur la tĂŞte de Louise pour l’inciter Ă la lĂ©cher plus profondĂ©ment. Louise reste Ă l’entrĂ©e de ses lèvres, elle prend son temps.
-Lèche-moi, je t’en prie, fais-moi jouir.La pression sur sa tĂŞte se fait plus forte et sa langue franchit les barrières de ses lèvres rosies et gonflĂ©es de dĂ©sir. Elle enfonce sa langue Ă l’entrĂ©e de son puits d’amour gorgĂ© de nectar et remonte doucement vers ce petit bouton gonflĂ©. Elle le trouve aisĂ©ment, tumescent de plaisir. Elle Ă©carte les lèvres de ses doigts et passe sa langue dessus. La belle rousse Ă©met un franc râle, Louise y va franchement, elle le suce, le lèche, le branle presque de ses doigts, elle le couve de baisers, elle le porte dans sa bouche pour mieux le sucer. FrĂ©nĂ©tiquement Adeline caresse la tĂŞte et les cheveux trempĂ©s de sueur de son amante. Elle se tord, elle se cambre, elle se crispe, elle va jouir.
-Continue, c’est trop bon, je jouis, je jouis, je jouis, ouiiiAdeline jouit franchement, fort. Louise continue Ă la lĂ©cher et son orgasme dure, dure. Elle est au comble de son plaisir et Louise la mĂ©nage un peu. Elle se retire et caresse juste son ventre en attendant que le soufflĂ© de sa fĂ©licitĂ© ne retombe. Elles se regardent avec amour. Elles s’embrassent, fougueusement, dans un mĂ©lange des deux mouilles, de salive et d’amour. Leurs seins se touchent, leurs tĂ©tons s’effleurent pour leur plaisir. J’ai mal de bander depuis si longtemps, mon sexe est couvert de liquide, je suis tendu, prĂŞt Ă exploser cette chaise mais je les laisse profiter de ce moment d’amour entre femmes.
Elles s’enlacent tendrement et Louise se tourne pour entamer un 69 de folie. Louise est au-dessus, je vois ses lourds seins comprimĂ©s contre le corps en sueur de son amie. Elles se lèchent, se caressent. Louise gĂ©mit, Adeline soupire. Elles se doigtent, deux doigts pour chacune dans un concert de jouissance. Elles vont jouir de concert, elles agitent leurs langues, leurs doigts, la mouille coule Ă flots, la sueur aussi, elles râlent.L’orgasme arrive vite pour les deux, de concert elles se lèchent avec frĂ©nĂ©sie. Je vois Louise laper avec envie ce clitoris gonflĂ©. Elles ferment les yeux, s’Ă©treignent et jouissent ensemble. Après des longs instants Ă chercher un souffle improbable, elles s’enlacent en s’embrassant. La vision est magnifique, la pièce embaume leur dĂ©sir, leur passion. elles se sont aimĂ©es comme aucun autre couple ne pourra le faire. Elles m’ont offert la plus grande frustration du monde, la plus belle vision aussi. Je savoure cet instant, ma femme heureuse, son amante comblĂ©e. ÉpuisĂ©es, elles me rejoignent, me libèrent et je les Ă©treins de toute ma tendresse.
-Viens, me murmure Adeline.Elles me couchent sur le lit.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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