Mélange des cultures, Dublin et mon beau brésilien
Une jeune française de 23 ans part en vacances seule pour Dublin. En manque, elle fait tout pour se trouver un homme qui fasse redescendre la pression. La fille, c’est moi, et l’histoire s’est déroulée telle que je vais vous la raconter. Pas de fiction, mais du partage.
Proposée le 7/11/2018 par Salope Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie
Je m’appelles Luce, j’ai 23 ans et ma vie sexuelle à débuté il y a maintenant 8 ans d’une façon assez peu conventionnelle. Je vous raconterai probablement cette histoire plus tard car elle a, je pense, eu un assez lourd impact sur mon rapport à la sexualité. Mais je m’égare. Aujourd’hui je viens vous narrer une histoire très récente puisqu’elle s’est déroulée il y a seulement quelques jours. En effet, cette année mes vacances sont prévue pour le mois d’octobre. Peu friande de plage et de cocktails, j’ai choisi l’Irlande pour destination et plus spécifiquement Dublin comme point de chute. Ça faisait maintenant environ 4 mois que je ne m’étais pas adonnée aux plaisirs de la chair, depuis ma rupture avec mon petit ami, aussi commençais-je à être légèrement sur les nerfs (voir carrément en manque).
Le premier soir, après avoir posé mes affaires dans l’auberge de jeunesse où je résidais, je décidais de me rendre dans un bar, non sans avoir préalablement changé ma description tinder pour quelque chose de circonstance, expliquant que je n’étais là que pour une semaine et que je cherchais à m’amuser. Ce soir là cependant, la pêche ne fut pas fructueuse, le seul homme qui m’aborda était laid et trop gras pour mon goût, il me fit quitter le bar après seulement une pinte de bière. Je rentrais donc bredouille, épuisée de mon vol et de ma longue marche de l’après midi à découvrir la ville. Le lendemain au soir, en rentrant d’une excursion dans le sud du pays, le bus s’arrêta un moment en pleine rue, sûrement à cause d’un stop ou autre chose. Mais peu importe, toujours est-il qu’il s’est arrêté devant la devanture d’un magasin pour adultes appelé « good vibrations ». La chatte me démangeait depuis des semaines et je décidais de prendre ça comme un signe du destin. Une fois déposée par le bus je fis demi tour et retournais au sex shop. En y arrivant après un bon quart d’heure de marche, j’eu la désagréable surprise de le trouver fermer, avec un écriteaux sur la porte disant « désolé, je reviens dans 5 minutes ». Motivée malgré tout, je n’abandonnais pas mon idée et allais tirer un peu de cash en attendant. En arrivant pour la deuxième fois devant la boutique, j’eu finalement le plaisir de la trouver ouverte. J’entrais donc sous l’œil éberlué du vendeur, un jeune homme assez mignon qui ne devait pas avoir l’habitude de voir passer beaucoup de jeunes femmes, et d’un client qui était occupé à régler ses achats. Je fonçais rapidement vers le fond du magasin pour masquer ma gêne en espérant me cacher à un tournant. Peine perdue, le magasin était un long couloir. Abandonnant donc l’idée de me soustraire au regard du vendeur qui ne me quittait plus des yeux depuis que l’autre client était parti, je me mis en quête de ce que j’étais venue chercher, à savoir un plug anal. Je finis par trouver le bon rayon, et m’arrêtais pour regarder attentivement les différents articles et faire mon choix. Je ne prêtais aucune attention au vendeur, mais lui si puisqu’il me proposa de l’aide pour me décider que je déclinais poliment. Je savais parfaitement ce que je voulais, un plug discret que je puisse porter même à l’extérieur, pour aller travailler ou prendre mon avion de retour par exemple. Je choisi finalement le plus petit en stock après quelques minutes, me disant que c’était les plus judicieux sachant que je n’avais aucune expérience avec ce genre d’article. Je pris également un petit flacon de lubrifiant et me rendais à la caisse pour payer. Sous les commentaire du vendeur définitivement amusé et excité de ma présence mais surtout de ma gêne.
« – Eh bien, ça va être une sacrée nuit! Me dit-il avec un petit sourire entendu.
– Euuh, oui… répondis-je, probablement en rougissant. »
Il me tendit mes articles sans plus insister et me souhaita simplement une bonne nuit adjoint d’un clin d’œil. Je sortais donc du magasin et rentrais à l’auberge pour prendre une douche et essayer mon nouveau joujou. Bon, je me suis perdue en chemin et le retour m’a prit quelque chose comme une heure et demie, mais c’est un détail.
Arrivée à l’auberge j’ai foncé sous la douche. Je me suis lavée, puis j’ai commencé à jouer avec mon nouvel ami en plastique rose. Je l’ai inséré une première fois, sursautant sous la sensation. Durant l’opérationnel, mon tube de lubrifiant était tombé dans le bac de douche. Je me suis penchée pour le ramasser, faisant glisser le plug hors de mon corps et me faisant une nouvelle fois frémir de plaisir. En me relevant je l’ai donc remis en place, puis ressortit. Je me suis amusé ainsi pendant quelques minutes pendant que l’eau chaude coulait sur mon corps nu faisant durcir les tétons. Je ne suis pas allée jusqu’à l’orgasme cependant, car j’ai d’autre projet avec un jouet d’un autre calibre et bien plus chaud. Me restait à savoir qui aurait le loisir de jouir de mon envie (dans tous les sens du terme). Je suis donc sortie de la douche, me suis habillée en gardant le plug en place. Je me suis installée sur mon lit au milieu des autres occupantes de la chambre et je suis allée surfer sur tinder. Depuis la veille j’avais récolté quelques 60 matchs, et certains m’avaient contacté. Dont un jeune homme charmant aux cheveux longs, piercé et tatoué qui me faisait déjà de l’effet rien qu’en photo. Nous avons un peu discuté, nous accordant à dire qu’un verre est toujours le bienvenue. Je lui ai expliqué que je voyageais seule et il n’en a pas fallu plus, le rendez vous était fixé quelques heures plus tard. Nous nous sommes retrouvés à l’angle d’une rue, il m’a enlacée pour me saluer comme le font les irlandais puis nous avons marché vers un bar de sa connaissance, assez proche de chez lui. J’ai appris à cette occasion qu’il était brésilien et vivait à Dublin depuis trois ans. Il m’a offert une pinte et il m’a mené vers une salle presque vide où nous nous sommes installés côte à côte dans un canapé profond et confortable. Nous avons discuté, nous frôlant à l’occasion, puis il m’a proposé d’aller chez lui une fois mon verre terminé. Il a prétexté qu’ils allaient bientôt nous mettre dehors, mais selon toute vraisemblance il était surtout pressé de me mettre dans son lit, et vue mon humeur je n’ai pas protesté. J’étais ravie qu’on veuille la même chose, et je ne comptais pas jouer les effarouchées. Cependant il n’a tenté aucune approche dans le bar, ni sur le chemin ce qui m’a un peu déçue. Nous sommes arrivés chez lui après une bonne demie heure de marche où il m’expliquait sa vie ici, son travail, ses amis, l’organisation de la communauté brésilienne. Il me conseilla quelques endroits à visiter également. Je ne parlais pas beaucoup, et il n’avait pas l’air spécialement gêné par ce fait. Nous avons un peu rit. Je voyais bien à la manière dont il me regardait qu’il comptait plus s’intéresser à mon corps qu’à ma fascinante personnalité. Et moi j’étais pendu à ses lèvres, écoutant à peine car j’étais trop fascinée par leur forme, leur apparente douceur et la façon dont elles s’ourlaient lorsqu’il souriait pour dévoiler un sourire enjôleur. J’avais très, très envie de lui. Ses cheveux, longs et bruns, étaient noués en tresses brésiliennes collées à son crâne ce qui renforçait un peu son air de mauvais garçon. Ses yeux bruns étaient chaleureux et lui tout à fait agréable, ce qui contrastait avec son apparence. Décidément, il me plaisait bien. Nous finîmes par arriver chez lui, et en gentleman il me teint chaque porte pour me laisser passer comme il l’avait fait dans le pub. Arrivés chez lui, il retira sa chemise pour dévoiler un torse sec et légèrement musclé comme je les aime, et en bonus couvert de tatouages. Les clavicules, les épaules, les bras, l’aîne… tout était recouvert de motifs accrochant l’œil. Il se proposa d’aller chercher du vin, et lorsqu’il sortit après mon acquiescement j’en profitais pour retirer ma veste et mon pull qui cachaient la robe Bordeaux en dentelle que j’avais enfilé pour l’occasion. Mon corps n’est pas celui d’un top model, sans être obèse j’ai des formes généreuses que cette robe met particulièrement en valeur avec son décolleté en dentelle transparente qui laisse voir le haut de mon soutient gorge et de ma poitrine tout en étant cintré à la taille pour laisser tout loisir s’apprécier la courbure de mon dos et la forme largement arrondies de mes fesses. Quand il revint, j’étais assise en tailleur sur son lit et il prit quelques secondes pour me regarder de la tête au pied avec un sourire appréciateur. Il m’a tendu son point pour un tchek improbable ponctué d’un « nice! »
Il s’est allongé à mes côtés, cherchant son ordinateur pour mettre un peu de musique. J’en profitais pour m’allonger sur le ventre à mon tour, regardant les stickers qui ornaient son pc sans grande attention. Il se releva pour ouvrir la bouteille de vin qu’il me tendit. J’en ai bus une gorgée. Lui aussi. Allongé près de moi, il a reposé la bouteille et m’a embrassé sans plus de préambule. Ça y était, ses lèvres sur les miennes étaient aussi douces qu’espérées et son baiser plus tendre que je ne l’aurais pensé. D’abord très sage, il s’est éloigné et m’a sourit. J’ai souris en retour, puis il est revenu m’embrasser avec plus de détermination, caressant ma langue de la sienne, une main sur ma nuque. L’autre n’a pas tardé à atterrir sur mes seins qu’il appréciât à travers le tissu. Nous avons roulé, lui au dessus de moi qui me tendait pour ne pas avoir à quitter ses lèvres. Il a passé une main dans mon dos et a dégrafé mon soutient gorge d’un geste expert alors que je me redressais pour ôter ma robe. Je me suis donc retrouvé la poitrine complètement nue en quelques seconde et il s’est jeté sur mes seins pour le malaxer, les embrasser et en téter le bout avec attention tandis que l’une de ses mains caressait mes cuisses encore engoncées dans mon collant. J’ai commencé à enlever se dernier alors qu’il souriait de nouveau, me faisant chavirer. Il n’a prit longtemps pour que sa tête passe entre mes cuisses, d’abord pour embrasser mon sexe à travers la dentelles de mon tanga noir, puis il a tiré le tissu sur le côté pour me manger l’entre jambe avec une expertise des plus agréables. Sa langue trouva mon clitoris sans effort et il me donna un plaisir inattendu. J’étais bien contente de m’être faite épiler intégralement avant de partir! Il glissa un doigt en moi sans effort puis me retira mon dernier vêtement. J’étais maintenant nue devant lui, seulement torse nu. C’est en replongeant entre mes jambes qu’il a trouvé mon plug encore bien en place dans mon anus. Alors que ses doigts retrouvaient le chemin de ma chatte trempée d’envie, il se mît à faire des aller retour avec le plug tandis que sa langue agaçait toujours mon clito gonflé d’envie. Je tremblais de plaisir, laissant parfois échapper des gémissement de plaisir. Le regarder me dévorer la chatte était un plaisir indicible, à plus forte raison lorsque ses yeux se rivaient aux miens tandis qu’il m’aspirait avec talent. J’ai tendu la main pour sentir son sexe bandé dans son pantalon, qu’il a déboutonné sans problème. J’ai passé mes doigts à l’intérieur. Il était tellement dur! J’aimais ce que je sentais, et je le mis à le caresser doucement, son visage toujours enfouie entre mes jambes. Il a finit par retirer complètement les vêtements qui lui restait pour retourner aussitôt me lécher. La position n’était pas optimale, mais j’avais envie de le sucer alors je me suis tordue pour pouvoir embrasser son gland, lécher sa hampe et enfin le prendre entre mes lèvres. Il avait bon goût, et je m’appliquais à le pomper de mon mieux. Il a finit par passer une jambe de chaque côté de ma tête pour un 69 endiablé, qui me permettait enfin de le prendre à mon aise, toute la longueur au fond de ma gorge tandis que je massais ses couilles, pour finalement les gober elles aussi. Nos regards se sont accrochés entre nos jambes respectives et il m’a attiré à lui pour m’embrasser à nouveau, plongeant sa langue dans ma bouche et me faisant goûter ma chatte sur ses lèvres. Je n’en avais pas assez de sucer, j’en ai rarement assez d’une bite entre mes lèvres, alors je me suis cambrée, à quatre pattes pour le reprendre en bouche. Il émettait de petit gémissement de plaisir, une main dans mes cheveux alors que je le prenais en gorge profonde et levant les yeux pour le regarder avec mes meilleurs yeux de chienne.
– Assez! A-t’il dit en me repoussant.
Alors je me suis relevé pour un baiser endiablé. Il me serrait contre lui, la chaleur de sa peau contre le mienne me donnait toujours plus envie, ses mains dans mon dos, sur mes fesses…
– T’es tellement chaude…
Il m’a allongée et à plaqué son corps contre le mien, ses mains retrouvant mes seins sans difficulté.
– T’es trop sexy…
il s’est relevé, m’a sourit et est allé chercher une capote dans sa table de nuit. Tandis qu’il l’enfilait, je me suis rallongée, les jambes écartées et une main me caressant la chatte en le regardant. Il a plongé en moi d’un coup, directement. Comme c’était bon d’avoir la chatte enfin remplie par une bite! Mes ongles dans son dos le griffaient tandis qu’il ne me quittait pas des yeux. Il a finit par passer mes jambes par dessus ses épaules pour me prendre plus profond, et j’ai crié. Mon amant s’est mît à embrasser mon cou en remontant vers mon oreiller, léchant et mordant sans s’arrêter. C’était bon, il me prenait tellement fort que parfois ma tête cognait contre le mur. Pour empêcher ça, il a passé une main derrière ma tête pour empoigner mes cheveux. Mon plug avait glissé depuis longtemps et gisait sur le lit quand il l’a attrapé pour le remettre en place pendant qu’il me baisait violemment, un sourire sur les lèvres à la vue de mon expression de surprise et de plaisir mêlé. Il a jouit quelques minutes de pur plaisir plus tard et m’a attiré contre lui pour une étreinte douce alors qu’il se remettait de ses émotions. Il a tenté de m’embrasser mais par jeu j’ai dérobé ma bouche à ses lèvres, nous étions suffisamment proche pour que nous souffles se mêlent, et j’ai vu son sourire à ma dérobade. J’ai joué un peu avec lui ainsi pendant quelques minutes. Alternant baiser profonds et brûlants avec des esquives amusées. Serrés l’un contre l’autre, une de ses mains caressait mes hanches tandis que la mienne était perdue sur son torse imberbe.
J’ai finalement passé une jambe au dessus de lui pour le chevaucher et l’ai embrasser avec passion, tandis qu’il passait une main dans mes cheveux pour me garder au plus près de lui. On s’est regardé un moment en souriant, le genre de sourire du sexe, évident à comprendre comme « wouah, je te veux encore et encore ». À ce moment, je me suis redressée un peu pour mieux le voir et j’ai commencé à jouer des hanches en frottant ma chatte encore humide à sa queue qui commençait déjà à durcir de nouveau. Parfois je ne faisais que le frôler, parfois je m’assaillais carrément sur lui en faisant seulement des mouvements circulaires. Tantôt lents, tantôt rapides. Il s’est mît à me dévorer les seins en essayant de s’introduire en moi. Je me suis esquivée de nouveau. Pas sans capote. Il a sourit en levant les yeux aux ciels et m’a dit que cette fois, c’était mon tour. Je me suis penchée pour en attraper une par terre à côté du lit, lui laissant sans aucun doute une vue plongeante sur mes fesses. Je lui ai enfilé lentement, en le branlant un peu, mes yeux fixés aux siens. Nous nous regardions toujours quand je me suis empalée sur lui, ma chatte humide l’aspirant à l’intérieur de moi et nous faisant tous les deux nous crisper de plaisir. J’ai fais bouger mon bassin. D’abord lentement, en l’embrassant encore puis je me suis penchée en arrière pour y aller plus fort alors qu’il léchait ses doigts qui allaient venir trouver mon clito sans tarder. C’était devenu un rodéo endiablé et plus le plaisir montait, aidé par sa main sur mon sexe, plus j’avais du mal à me concentrer pour le monter comme il se doit. Il a retiré sa main un instant pour se lécher les doigts une nouvelle fois, et quand il est revenu trouver mon bouton j’ai du demander un peu de clémence.
– Hummm, je peux pas me concentrer quand tu fais ça…
un sourire carnassier s’est peint sur ses traits et il m’a branlé plus rapidement avant de me retourner en me laissant une sensation de vide. Je n’ai pas eu de mal à comprendre ce qu’il voulait et j’ai relevé les fesses tout en gardant la tête dans les coussins pour me cambrer le plus possible. Il est entré d’un coup puissant qui m’a fait crier. Enfin! J’aime le sexe, mais à choisir je préfère largement être en dessous et ne pas contrôler les aller et venu. La surprise du prochain coup rendant le plaisir plus grand à mon goût. Il agrippé ma hanche d’une main alors que l’autre s’amusait à me fesser de temps en temps. Nous gémissions de concert. Y’a pas à dire, une bonne levrette c’est le paradis. Plus ça allait plus ses pénétrations étaient brusque et désordonnées, je le sentais cogner tout au fond de moi et je sentait que la fin approchait.
Nous avons joui ensemble dans une harmonie de grognement de plaisir puis il m’a invité à me lover contre lui pour une étreinte sage qui nous guida agréablement vers le sommeil. La musique jouait toujours en arrière plan. Un rock un peu tranquille, un peu grunge qui convenait parfaitement aux circonstances (Beck). Nous nous sommes assoupis comme ça, ma tête reposant sur son épaule et sa main caressant tendrement mes cheveux après m’avoir claqué énergiquement les fesses quelques minutes plus tôt. Je me suis réveillée la première, comme c’est toujours le cas, et j’ai attendu patiemment qu’il en fasse autant, m’assoupissant par bribes pour mieux me réveiller. Quand le matin est finalement venu, aux alentours de huit heure, mon amant brésilien a finalement décidé de sortir du sommeil et m’a à nouveau prise entre ses bras, encore comateux. Moi, j’étais parfaitement réveillée. Il m’avait prévenu qu’il devrait commencer à se préparer vers 9h et je comptais bien mettre cette heure à profit au mieux possible. Et autant vous dire que je n’avais pas l’intention de lui raconter le bouquin que j’étais entrain de lire. J’ai donc commencé par embrasser son épaule pour glisser dans le creux de son cou. La couette découvrait son torse et j’en profitais pour retracer ses tatouages du bout des doigts. J’ai toujours été fascinée par les tatouages, et il en avait autant que je puisse en espérer. J’ai donc caresser son torse, puis son ventre. J’ai tourné autour de son sexe sans le toucher pendant quelques minutes. Il m’a embrassé une nouvelle fois sans un mot et ma main à frôler sa queue déjà bandé pour finalement la saisie après quelques secondes de plus à le faire languir. Je l’ai branlé doucement, puis j’ai passé ma tête sous la couette pour le sucer sans faire plus de détails. J’ai d’abord gobé son gland lentement, en exerçant le plus de pression possible puis je l’ai pris directement au fond de ma gorge. Mes doigts ont trouvé ses couilles fermes sans chercher et je les ai massé au rythme de ma pipe. J’ai ensuite changé d’idée, ma bouche et ma mains ont échangé leurs rôles et j’ai gobé ses bourses en astiquant fermement sa tige dur et d’une taille parfaite. Ni trop grosse ni trop large, juste ce qu’il faut pour bien cogner au fond et me remplir. Je suis revenue faire quelques aller retour dans ma gorge qui lui ont tiré quelques gémissements. Sous la couette, il commençait à faire vraiment trop chaud alors je l’ai faite valser d’une main sans lâcher ma friandise. J’adore sucer une bonne queue, et celle-là l’était à n’en pas douter. Il a attrapé mes cheveux pour me faciliter la tâche, et sûrement aussi pour mieux voir sa bite disparaître entre mes lèvres.
– C’est la meilleure façon de se réveiller au monde… a-t’il soupiré.
J’ai relevé la tête pour lui sourire, affublé son gland d’un léchouille bien sentie puis je suis venue l’embrasser en lui enfilant une capote, le chevauchant une nouvelle fois. Ses yeux ses baladaient entre les miens et mes seins qui ballottaient au rythme de mon déhanché. Il n’a pas tardé à les saisir pour jouer avec d’une main tandis que la seconde repartait entre les cuisses. Quand j’ai à nouveau perdu le contrôle après de longues minutes de caresse à m’empaler sans discontinuer sur son mandrin tendu, il m’a allongée sur le côté et s’est glissé derrière moi. J’ai avancé la jambe qui était au dessus pour lui faciliter l’accès tout en restant assez serrée et il y est allé de toute ses forces, me faisant frémir. Il a jouit, m’a serré fort contre lui et m’a regardé comme si il n’en revenait pas d’être tombé sur une salope pareille. Comme je n’avais pas jouit, après un baiser il m’a allongée sur le doigts et sa tête à retrouvé sa place entre mes cuisses, sa langue entre mes lèvres. Il m’a léché avec application tandis que ses doigts me fouillaient la chatte de plus en plus loin et fort, me faisant pousser des petits gémissements de plaisir aigus à mesure que l’orgasme approchait. Ses yeux dans les miens, je me mettais à regretter que ses cheveux soient attachés de telle sorte que je ne puisse pas les attraper. Plus ça allait, plus il y allait fort, à la fois avec sa langue et ses doigts à l’intérieur de moi. Il m’a fait jouir comme ça puis il m’a embrassé, s’est allongé et à regardé l’heure.
– Il est 9h moins dix, ça nous laisse dix minutes. Dit-il en me souriant pour la énième fois, Viens là.
Il m’a ouvert ses bras et je m’y suis lovée.
– Putain de travail, je veux rester là toute la journée.
Il a posé tendrement ses lèvres sur les miennes en caressant les fesses d’une main légère.
– Tellement chaud…
Je n’ai rien répondu. J’aurais voulu dire qu’il n’avait qu’à rester là avec moi, bien que je sache que c’était impossible. Mais le matin, mon esprit était beaucoup trop embrouillé pour que je fasse une phrase en anglais et l’orgasme qu’il venait de me donner n’aidait en rien. Je profitais simplement de son corps contre le miens. Malheureusement le temps nous manquait, et il a finit par poser un baiser dans mes cheveux en me disant qu’il devait se préparer. Je l’ai laissé se lever et il a enfilé un boxer propre avant de s’absorber dans la contemplation de son armoire pour trouver de quoi s’habiller. Pendant qu’il était occupé je partais à la chasse aux sous vêtements, mes sous vêtements pour être exacte. Je trouvais le haut sans problème et l’enfilais, j’eu plus de mal à remettre sur le tanga qui complétait l’ensemble. Je finis tout de même par aboutir et l’enfiler. Il se retourna alors que je m’étais rallongée sur le lit et eut un haussement de sourcils d’appréciation.
– Joli …
Nous avons échangé un sourire puis il est sortit de la chambre. Tandis qu’il était parti j’enfilais ma robe et mes chaussures. Quand il revint j’étais presque prête, j’avais remis mon pull et ma veste attendait sur le lit alors que j’attachais mes cheveux. La coupe post coïtale ne me disait rien pour marcher jusqu’à l’auberge que je savais assez loin. J’ai ramassé mon plug qui traînait sur sa table de chevet et cherché quelque chose dans quoi l’emballer pour épargner mon sac bien qu’il n’y ait aucune trace d’aucune sorte sur le plastique rose.
– Là j’ai du sopalin.
Je n’ai pas fais attention, toujours le matin, vous vous rappelez? J’ai pas calculé de quoi il parlait.
– Bébé, m’a t’il appelée pour attirer mon attention, là haut regardes.
– Ah oui! Merci, ai-je répondu en attrapant le rouleau.
J’ai fourré l’objet soigneusement emballé dans mon sac, il a enfilé un bonnet et une parka et nous étions parés.
Nous sommes sortis ensemble, dans un silence détendu. Nous avons marché un peu, il a sourit une nouvelle fois en me voyant allumer une cigarette. Finalement nos chemins se sont séparés.
– Je dois aller de ce côté, dit-il, mais pour retourner dans le centre il faut continuer dans ce sens là.
– C’est ce qui me semblait, répondus-je. Pas de problème.
– C’est plutôt loin, tu veux prendre le bus?
– Non c’est bon, je vais marcher. J’arriverai bien à retrouver mon chemin.
– Tu es sûre?
– Oui, t’en fais pas.
Il avait l’air vaguement inquiet mais n’insista pas plus.
– Bon, alors bonne journée! Dis-je.
Je m’attendais à une accolade comme celle qu’il avait eu pour me saluer la veille en guise d’au revoir. Je me suis trompée. Il m’a embrassé en pleine rue, au milieu des gens qui partaient travailler.
– Merci pour hier, j’espère te revoir bientôt. Dit-il en me regardant dans les yeux. Il ne semblait pas mentir.
– Envoie moi un message alors! Ai-je répondu en me détournant pour traverser la rue.
Je n’ai jamais su réagir à ce genre de phrases, mais j’étais très heureuse qu’il veuille me revoir. Une fois de l’autre côté de la rue je me suis retournée pour le regarder. Au matin, son charme n’avait pas du tout disparu. Nous avons échangé quelques messages par la suite, mais sa semaine fût chargée et lorsqu’elle arriva à son terme c’était le moment pour moi de rentrer en France. J’espère le recroiser lors de nos pérégrinations un de ces jours, ce serait plaisant de le retrouver pour une nouvelle rencontre au sommet. Si nous nous retrouvons dans la même ville un jour, je pense qu’il ne sera pas contre. Après tout, il a bien dit qu’il me trouvait sexy et que le fait que je sois bonne au lit lui plaisait alors si je lui propose un deuxième (quatrième?) round il ne sera pas contre. Toujours est-il que je m’envole demain pour retrouver la région parisienne. Plus de beau brésilien à l’horizon, malheureusement… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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