Première levrette et sodomie difficile pour la jeune Clémentine
Le narrateur est en action avec la jeune Clémentine, 18 ans, frêle et mignonne étudiante qu’il drague depuis quelques semaines. Quand il lui demande de se mettre en levrette, la belle ne comprend pas de quoi il s’agit. Il va le lui apprendre, mais il ne s’arrêtera pas là…
Proposée le 22/10/2020 par juliepolo Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Elle respirait rapidement, sur le coup de l’excitation, maintenant totalement déshabillée. Je lui dis « retourne toi, je vais te prendre en levrette ». Son souffle s’accéléra encore. Je compris bien qu’elle ne savait pas ce qu’était la levrette, car elle tarda a prendre la pose, et au contraire m’enlaça le torse.
La brusquant un peu, je la repoussai, lui attrapai les hanches et la retournai d’un coup. Elle était à présent sur le ventre, sans dire un mot. Ces jambes et ses fesses étaient parfaites. »Vois-tu ma belle, la levrette, c’est ça ». Je lui redressait la croupe. Elle avait la tête enfouie dans l’oreiller, semblait à présent vivre la scène à contrecœur. Avant d’introduire mon sexe dans son vagin lubrifié, de la main droite, je lui caressais son clitoris. Elle gémit. »Caresse-toi le clito » lui ordonnais-je. Elle s’exécuta avec timidité, touchant son clitoris du bout des doigts, et ajouta bien vite, d’une voix plaintive : « je ne l’ai jamais fait comme ça, j’ai peur que ça me fasse mal ». »Mais voyons, pourquoi cela te ferait-il mal ? » lui demandais-je. « J’ai jamais fait ça » lacha-t-elle. Je compris alors qu’elle pensait que j’allais la sodomiser. Elle en avait peur, mais semblait prête à me laisser pénétrer son petit cul. Comme c’était touchant !
Je guidais sa main sur son clitoris, et, en lui murmurant « N’aies pas peur ma petite », j’introduisis doucement mon sexe dans son vagin. Elle soupira d’aise et de soulagement. De toute évidence, elle avait compris sa méprise. Mais tandis que mon sexe allait et venait en elle et que son corps de jeune fille de 18 ans était parcouru par des vagues de plaisir, l’idée avait fait son chemin dans ma tête. Ses petites fesses rebondies me tentaient de plus en plus et je formai bien vite la résolution de jouir dans son cul.
Ralentissant la vitesse des va-et-vient, j’introduisis soudainement mon index dans son anus. Elle sursauta, ses muscles tressaillirent et je sentis la pression de son sphincter sur mon doigt. Elle ne dit rien.Doucement, très doucement, en continuant à la pénétrer, j’enfonçais mon doigt plus avant, tout en lui susurrant de se détendre.Mais elle mit du temps à se détendre, la petite Clémentine. Je me demandais si son anus était de ceux qui permettent une pénétration sans lubrifiant. Un petit cul est souvent un signe de sodomie à sec possible. Mais chez une petite bourge un peu coincée, ça serait difficile, sauf à être particulièrement cruel avec elle, ce qui n’était pas dans mes plans. Elle était là, soumise, patiente, offerte, la croupe en l’air. Son petit visage de lycéenne modèle invitait à la tendresse.Mais je n’avais pas pensé à apporter du lubrifiant dans sa chambre. J’ouvris alors un deuxième préservatif, m’en enroulait le doigt et l’introduisit dans son anus. L’introduction fut beaucoup plus facile, je pus ainsi lui masser l’anus, et la vaillante petite relâcha progressivement son contrôle.Je lui susurrai, en détachant chaque syllabe pour me bien faire comprendre : « Dans quelques secondes, je vais ôter ma bite de ta chatte, pour la placer dans ton cul. Bien sûr, je vais y aller doucement au début. Crois-tu pouvoir le faire ? »
Elle begaya « Je… Je vais essayer. ». Sans attendre la fin de sa phrase, je m’étais retiré de son vagin.Je posai mon gland contre son anus. Je vis alors l’effort qu’elle fit pour ne pas sursauter, et pour rester calme. Mais elle avait cessé de se caresser le clitoris, ce qui montrait bien – s’il en était besoin – son inexpérience de jeune fille. Je ne le lui fit pas remarquer : après tout, c’était à elle d’écouter ce que je lui disais. Je savais bien que le quart d’heure qui allait suivre, et qui m’apporterait tant de plaisir, ne lui apporterai au mieux qu’un inconfort, voire de la douleur – mais le tout mêlé à l’excitation profonde que représente ce genre de première fois.J’enfonçais mon gland, avec difficulté. Bien sûr, la lubrification apportée avait été faible, mais à mon avis suffisante. Elle gémissait, et mon membre s’enfonçait progressivement. Le gland passé, je m’exclamait « Courage ma petite. Tout à l’heure tu pourras dire « je l’ai fait ». » Je compris qu’il ne pourrait pas être possible de m’introduire totalement, pour le moment. Je commençais alors, avec précautions, quelques mouvements de va-et-vient. Elle fit semblant de gémir de plaisir. La capacité des jeunes filles à se soumettre à la norme est toujours quelque chose d’impressionnant. Elle ne se touchait toujours pas. Ma queue pouvait déjà la pénétrer à moitié. Bien vite, je pus encore progresser.
Au bout de 10 bonnes minutes, ça y est, j’étais dans son cul jusqu’à la garde. la jolie Clémentine avait les yeux fermés, un peu plissés par l’effort. Elle était à présent totalement allongée sur le ventre, et je la recouvrais.- Ca y est, lui dis-je à l’oreille. Tu as subis ta première sodomie ma chérie.
Elle sourit, et continua à simuler.
– Est-ce que cela te fait mal ? lui demandais-je.
– Un… Un peu.
– C’est normal ma puce, toutes les femmes passent par là. Tu est une vraie femme maintenant.J’amplifiai le mouvement de va-et-vient, pendant une dizaine de minutes. Je savais qu’elle n’aimais pas cela – quelles filles aiment vraiment la sodomie, surtout à 18 ans ? Son petit cul m’excitait tant, il restait si serré, que les sensations étaient merveilleuses. Je voulus qu’elle prononçât des mots salaces.- Tu aimes ça ?
– Oh oui, mentit-elle sans conviction.
– Alors dis le moi.
– J’aime ça, oui.
– Tu aimes quoi ? Dis moi exactement ce que tu aimes.
– J’aime que tu me fasses l’amour comme ça.
Excédé, et proche de la jouissance, je lui attrapai brutalement les cheveux.
– Qu’est-ce que je suis en train de te faire là ? Dis-le !La petite hypokhagneuse du lycée Saint Geneviève se lâcha alors :
– Oh tu m’encules ! J’aime quand tu m’encules ! J’aime sentir ta bite dans mon cul !Je sentis le plaisir me submerger. Elle continuait :
– Vas-y plus fort ! Encule-moi, t’arrête pas ! Encule moi comme une pute ! Fais-moi jouir par le cul, oh oui !Elle poussa un cri qui pouvait être aussi bien un cri d’extase que de douleur. J’éjaculais violemment. Je regrettais presque d’avoir un préservatif sur la queue et de ne pas pouvoir lui remplir le cul avec mon sperme.
Mes mouvements se ralentirent. Elle conclut, en soupirant : « Oh, tu m’as fait jouir par le cul. Je t’aime… »
Je ne pût m’empêcher d’éclater de rire. Les petites adolescentes ont toujours tellement envie de bien faire quand elle sont amoureuses ! Je n’eus pas l’inélégance de souligner que « jouir par le cul », ça ne voulait sans doute rien dire pour une femme. Il me passa par la tête l’idée de lui dire « Demain, je te ferai jouir par la bouche », mais je gardai cette phrase pour une autre fois. Je déposai un baiser sur ses lèvres, lui répondit « Moi aussi ma puce », et me rhabillai.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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