Résumé de l’épisode précédent : Alice et Thomas ont invité Claire et son compagnon pour des vacances dans les Cévennes. La première soirée a rapidement dérapé…Après… car il y a des « après » à tout.Je ne sais pas comment nous avons retrouvé nos chambres. Je ne me souviens que d’une nuit noire, un sommeil de plomb, sans rêves.Puis le réveil. Tout revient d’un coup. Sentiment mitigé, peur d’être allé trop loin. Je ressens à la fois la plénitude d’hier et la culpabilité d’aujourd’hui.La lumière passe à travers les volets. Il fait encore frais. Claire est à côté de moi. Le soleil joue sur son corps nu. Je n’ose pas bouger. Elle se retourne. Son regard m’interroge. Je l’embrasse, elle m’enlace. La tempête qui a soufflé cette nuit ne nous a pas naufragés. Qu’en sera-t-il des autres ?En bas, nous entendons du bruit. Nous descendons à pas prudents. Alice et Thomas sont déjà réveillés. Ils préparent le petit déjeuner. Quatre bols : Nous sommes donc toujours leurs invités.Alice est enjouée, nous embrasse. Accolade de Thomas, souriant.Avant de sortir sur la terrasse, un dernier regard sur le salon où nous nous sommes ébattus hier. J’ai le ventre serré.Les vacances reprennent leur cours, simplement. Nous déjeunons, projetons quelques balades, envisageons les courses…Ce qui a changé ? Nous sommes étrangement tous plus tactiles, à croire que la soirée d’hier a fait tomber des barrières : nous prenons chaque occasion de nous toucher, de nous frôler… On dirait des ados en pleine montée hormonale. Lorsque Thomas pose sa main sur mon épaule nue, il la laisse plus longtemps. En riant, Claire pose sa tête dans le creux de l’épaule d’Alice et s’attarde plus que de raison.L’atmosphère est délicieusement électrique, mais sans pression.La température est douce. Thomas et moi sommes torse nu en pantalons, Claire porte une robe longue qui laisse ses épaules nues, Alice, une robe à fleurs assez courte.Je ne peux m’empêcher de remarquer que Thomas ne porte rien sous la toile de son pantalon. Je devine les mouvements de son sexe lorsqu’il se déplace et il me paraît arborer des dimensions que je qualifierais de « non nominales ». Les mouvements de Claire dans sa robe longue sont chaloupés. À son aisance, je devine qu’elle non plus ne porte rien en dessous.J’imagine ses lèvres qui se chevauchent à chacun de ses mouvements, glissant l’une sur l’autre lorsqu’elle marche. Je suis électrisé.Nous discutons ensemble. Alice assise sur un muret, Thomas et Claire lui font face. Moi, je suis de côté. Je vois le soleil jouer avec sa robe, et, à la dérobée, alors qu’elle prend ses genoux entre ses bras, je devine le duvet blond de son sexe. Comme je l’avais deviné, elle ne porte rien en dessous de sa courte robe légèrement relevée. Je reste sans voix face à cette vision. Je devine la vue que les deux autres peuvent avoir sur son entrecuisse, mais moi qui suis plus prêt, je peux presque deviner chaque poil de cette menue toison. Cette chatte est délicieuse à voir. Je contemple le soleil et le vent jouer avec ses poils qui laissent sans difficulté transparaître ses grandes lèvres. Chaque infime mouvement de ses jambes les fait glisser. Ce petit jeu n’a pas échappé à Claire et Thomas, qui s’amusent à nous regarder, tout en continuant de parler.Le pantalon en toile de Thomas laisse clairement transparaître son érection, alors que je devine de petits mouvements de bassins de Claire, signe de son excitation. Chaque passage du vent sur mes jambes m’électrise plus que de raison. J’ai des papillons dans le ventre, comme un ado.Mais nous en restons là , tant est délicieuse cette tension des désirs.Lorsqu’il se lève, Thomas passe à côté de moi qui suis assis, son sexe dressé dans son pantalon, sans la moindre gêne. Il me donne une légère tape sur mon épaule nue, signe qu’il n’est pas dupe de mon manège mais qu’il ne s’en offusque pas.En me levant, je sens que j’ai coulé le long de ma cuisse.Nous décidons de partir nous balader dans la montagne environnante.Je suis enivré de la chatte d’Alice et je ne pense à rien d’autre : à son sexe, à son cul. Je pense à sa rosette dans laquelle, hier, Claire s’est aventurée. Tout cela est délicieux, cotonneux et entêtant. Chaque mouvement de mon bas ventre est une douce torture. Mon sexe attend d’être soulagé.Après quelques minutes de marche, Thomas et moi devons nous arrêter pour une « pause technique ». Comme tout garçon qui se respecte, nous nous écartons un peu, face à la montagne et décidons de pisser là , face au vide. Un truc de garçon, un jeu stupide, qui nous amuse.En temps normal, je n’aurais rien regardé d’autre que le paysage environnant, mais là je ne peux m’empêcher de regarder la bite de Thomas sortir de son pantalon. Je la vois aussi proche qu’hier, si ce n’est un peu plus. Elle semble lourde et épaisse, très douce. Son prépuce la recouvre encore. Quelques veines se dessinent sur le dessus. Il tire légèrement sur la peau pour dégager le gland, par un léger mouvement de va-et-vient qui semble le faire grossir encore un peu plus. C’est un sexe magnifique.Il remarque que je me suis arrêté.— Alors, qu’est-ce que tu attends ? On ne va pas y passer la journée !Gêné, je sors mon sexe de mon pantalon… enfin, j’essaye, car je suis affublé d’une belle demi-molle. Je la tiens à pleine main en espérant que Thomas ne le remarquera pas trop. La couronne de mon gland – je suis circoncis – est très écartée et la peau de ce dernier est déjà un peu tendue. Le souffle de l’air dessus est un délice.Dans cet état, je sens qu’il ne va pas être facile de pisser. Thomas, lui, n’a pas encore commencé.Sans que je les remarque, les filles se sont mises à notre hauteur et miment notre tentative de miction au grand air, à grand renfort de voix rauques et d’airs de camionneurs.Je sens leurs regards sur nos queues. Elles se sont arrêtées et regardent désormais nos deux débuts d’érection avec un air amusé.Afin de nous encourager, nous faisons l’un et l’autre de légers mouvements sur nos sexes. Geste dont je n’ai jamais compris l’utilité mais qui est généralement le préliminaire pour ce genre d’affaires.Nos queues, bien larges, au vent finissent par expulser leur jet d’urine que les deux filles continuent de regarder, un sourire en coin.Nous surjouons notre rôle des petits mâles fiers de leurs queues en faisant des ronds avec nos jets. C’est stupide. C’est drôle… enfantin.Avant que nous ne remballions nos attirails, les filles s’amusent à nous regarder en se chuchotant de faux commentaires à l’oreille. Je suis content qu’elles nous voient là , en plein milieu de la nature, comme aux premiers jours du monde. Je pense à la bite de Thomas. Je pense à la chatte d’Alice.Nous passons l’après-midi à nous chauffer ainsi, par petites allusions, par petits jeux complices.C’est amusant et très excitant.Les filles passent beaucoup de temps à parler entre elles et je passe du temps avec Thomas, mon ami, mon frère. Nos corps sont fatigués par la marche, nos esprits sont libres. La moindre tension dans nos muscles est un rappel de notre matérialité, de la présence de nos corps.Nous rentrons. La soirée est beaucoup plus calme que celle de la veille. Je sens qu’Alice et Thomas ont hâte d’aller se coucher, ce que nous ne tardons pas à faire, tous.Exténué par la marche de la journée, je m’endors comme une masse.Au beau milieu de la nuit, je suis réveillé par des petits bruits dans la chambre voisine. Pas de doute : ils sont en train de faire l’amour.J’entends les grincements du matelas, le souffle des amants, je devine les gestes retenus, les deux corps enlacés. J’imagine Thomas enfoncé jusqu’à la garde dans le fourreau d’Alice, faisant de petits mouvements, espérant la discrétion… Comment espérer être discret quand les fenêtres sont ouvertes ?Alice gémit doucement. Visiblement, Thomas lui donne du plaisir.Je bande immédiatement, bien qu’encore entre deux eaux.Il fait une belle chaleur, aussi nous n’avons mis qu’un drap sur nous. Je suis sur le dos et ma queue fait une belle bosse. La lumière de la lune joue avec mon relief.Tout en les écoutant, ma main commence naturellement un mouvement de va-et-vient sur ma tige. Je suis bandé comme un âne, c’est agréablement douloureux. Je ne comprends pas pourquoi je suis aussi excité par leurs ébats. J’imagine que toute cette journée à se chauffer les uns les autres m’a mis dans cet état d’excitation. En me touchant, j’imagine le bourgeon d’Alice qui glisse sur le pubis de Thomas. Je l’imagine découvert, triomphant de la touffe de poils blonds de sa chatte.Je ne suis pas le seul à avoir été réveillé. Claire à côté de moi a commencé à se toucher elle aussi. C’est sans vergogne qu’elle écarte ses cuisses pour prendre son sexe à pleine main.Elle caresse d’abord l’intérieur de ses cuisses, puis passe sur son mont de Vénus. Elle appuie sur son bas ventre et glisse sur sa chatte lisse.C’est un jeu que nous pratiquons parfois quand nous sommes trop fatigués pour une franche fornication : nous aimons nous donner du plaisir côte à côte, sentir monter le plaisir de l’autre, deviner ses sensations… mais avec cet interdit tacite de participer.C’est cependant la première fois que nous le faisons en écoutant un autre couple baiser.Je caresse mon sexe doucement, à peine un effleurement. C’est délicieux.Claire s’est mise à genoux dans le lit et me fait face. Tout en continuant à se titiller, elle enfourche ma cuisse droite et commence un mouvement d’ondulation. Elle entame de se branler sur ma jambe, avec une impudeur qui m’excite au plus haut point. La lumière du dehors joue sur ses fesses pendant qu’elle oscille sur moi. Elle caresse ses seins, sa chatte et sa raie comme si je n’étais pas là . On dirait un animal sauvage.À côté, il semble qu’Alice et Thomas approchent du plaisir, car ils se font de moins en moins silencieux. Je peux presque entendre les bruits humides du sexe d’Alice. Je l’imagine couler délicieusement entre ses fesses pendant que le dard de Thomas entre et sort en elle, dans cette pulsion de vie millénaire.Claire aussi est délicieusement lubrifiée et de mon côté, ma tige est humectée de mouille. L’odeur de nos sexes emplit la pièce.Thomas est le premier à jouir, suivi de petits cris d’Alice. J’imagine les spasmes de plaisir de leurs sexes pendant que Thomas se déverse en elle.De notre côté, nous continuons notre jeu onaniste. Claire, toujours sur moi, a ouvert son sexe et caresse son clitoris. Moi je me concentre sur la tête de ma queue.Nous sommes beaucoup moins bruyants que les deux autres, aussi je peux les entendre chuchoter. Ils ont visiblement deviné ce que nous faisions et nous écoutent à leur tour.Cette situation n’a pas échappé à Claire et ajoute du piquant à notre jeu.Claire devient plus véhémente, et de mon côté, je retiens de moins en moins mes soupirs de plaisir.Tout en ondulant sur moi, Claire caresse son bourgeon de la main gauche, pendant que de la main droite, elle joue avec sa rondelle. L’humidité de sa chatte lui permet de s’introduire dans sa petite entrée sans difficulté.Je me branle avec vigueur car j’ai envie de jouir. J’ai envie que mon foutre explose sur mon torse, sur les seins de Claire. J’ai envie que mon jus se déverse, qu’il ensemence la nuit.Claire continue à se toucher sans retenue et finit par atteindre l’orgasme. Elle s’affale face à moi pendant que je monte vers le plaisir. Je devine sa chatte qui pulse encore de plaisir, les ondes de jouissance qui traversent ses entrailles.J’empoigne mes couilles et décharge sur mon torse ce qui me semble être des litres de sperme. Quelques gouttes sont même arrivées sur mon visage. Encore excité, je ne peux m’empêcher de récolter ce jus et de le porter à ma bouche. Je goûte ma semence pendant que Claire me regarde, amusée.La pièce dégage une magnifique odeur de sexe, musc mélangé aux senteurs de la forêt environnante.Nous nous levons tous les deux pour prendre l’air à la fenêtre. Claire se penche légèrement, tendant ses fesses vers moi. Je l’enlace, mon sexe redevenu mou contre son corps, apaisé.Je sens la présence de l’autre couple, à côté de nous. Je les imagine enlacés, leurs corps nus dans l’air frais de la nuit.