Rencontre ferroviaire
Une jeune fille rencontre un homme sĂ©duisant lors d’un voyage en train, ils dĂ©couvrent qu’ils se rendent au mĂŞme endroit, dans le mĂŞme hĂ´tel et dĂ©cident de se revoir pour un dĂ®ner… PoussĂ©e par des instincts et une audace dont elle ignorait l’existence jusqu’ici, la soirĂ©e promet d’ĂŞtre bien plus chaude et plaisante que prĂ©vue…
Proposée le 23/08/2020 par Alita Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: HôtelType: Fantasme
Je m’appelle Alice, j’ai 32 ans et après des dĂ©boires amoureux et une impasse professionnelle, je me suis autorisĂ©e un petit week-end en solo pour faire le point.
En attendant mon train sur le quai je me dis que je ne comprends pas, les gens me disent plutôt jolie du haut de mon 1m65 et de mes 58kg, mes cheveux bruns et mes grands yeux verts. Il paraît que je suis une personne solaire, que je réchauffe le cœur de ceux qui
m’entourent, et pourtant, me voilĂ bien seule…
Mon train arrive enfin, je sors de ma rêverie et pénètre dans un wagon, nous sommes un lundi et pourtant, il est bondé… Je passe au compartiment suivant et en cherchant une place, mon regard tombe sur un homme assis à une place à 4, grand, brun, chemise. Très
concentré dans son PC.
Je ne sais pas pourquoi, mes pas m’amènent droit vers lui, je lui demande timidement si je peux m’asseoir. Il lève les yeux de son ordinateur, croise mon regard, rougit, sourit et bredouille :
-Bien sĂ»r mademoiselle.Je le remercie et m’installe face Ă lui. Je tente de dĂ©tourner mon attention de cet homme en me plongeant dans un roman. Au bout d’un moment, me rendant compte que ma concentration me fait faux bon, j’abandonne ma lecture. A ce moment, je m’aperçois que
mon voisin aussi a un souci de concentration, il me jette de petits regards par dessus son ordinateur.
Je décide de briser la glace et sors de mon sac une petite thermos de thé et lui en propose en souriant. Il rougit à nouveau et accepte.
-Il faut penser Ă faire des pauses de temps en temps, lui dis je en lui tendant un gobelet fumant. Au fait, je m’appelle Alice, je lui tends la main.
-Éric, enchanté, dit il en me serrant la main.
De discussions en discussions, j’apprends qu’il a 37 ans et qu’il est en dĂ©placement professionnel. Nous parlons beaucoup, rions beaucoup, je me sens vraiment Ă l’aise en sa compagnie et sans m’en rendre compte, mon naturel tactile refait surface. Un Ă©clat de rire et ma main se pose sur son bras, une blague et je le pousse gentiment. Une sorte de complicitĂ© s’installe.
Le train arrive Ă destination, nous descendons sur le quai, arrive le moment de se dire au revoir et sans savoir pourquoi je lui donne le nom de l’hĂ´tel dans lequel je descend.
Il me regarde un peu surprise me dis :
-Je pense qu’on ne va pas se dire au revoir du coup, je descend au mĂŞme endroit !
Nous partageons donc un taxi et nous rendons Ă l’hĂ´tel tels 2 amis de longue date, heureux de ce doux hasard.J’avais prĂ©vu quelques jours pour me recentrer sur moi mĂŞme, mais la vie a l’air d’en avoir dĂ©cidĂ© autrement….
Une fois nos clés respectives récupérées, Éric me propose un peu gêné :
– On pourrait se retrouver pour dĂ®ner qu’en penses tu ?
– Pourquoi pas oui, lui rĂ©pondis je dans un sourire.Je le vois se dĂ©tendre instantanĂ©ment, visiblement ravi de ma rĂ©ponse.
Une fois ma chambre atteinte, je file sous la douche en pensant que je suis dingue, mais
que son sourire ne quitte pas mon esprit. EnveloppĂ©e dans une serviette, j’ouvre ma valise
afin de trouver une tenue. Je choisis une robe noire qui marque la taille ainsi que la lingerie
assortie, des bas et des talons. Au moment de fermer mon bagage je vois bouger au fond la
bouteille de vin que j’avais prĂ©vue de boire seule dans un bon bain chaud… Je dĂ©cide de
l’emporter avec moi.
Je file jusqu’Ă la chambre d’Éric, je toque. La porte s’ouvre et il apparaĂ®t sur le seuil, pieds
nus, pantalon de costard, chemise ouverte, cheveux mouillés… Il me sourit, me propose
d’entrer et de prendre quelque chose Ă boire dans le minibar en attendant qu’il se prĂ©pare.
Je le fixe, sans m’en rendre compte je me mordille la lèvre infĂ©rieure, troublĂ©e. Je l’entends
rire et reviens Ă moi. Je sors alors la bouteille de derrière mon dos, il a l’air ravi. Nous
cherchons dans quoi nous allons pouvoir le boire, en gentleman il me propose de m’installer
sur le balcon afin de profiter de la vue pendant qu’il part en quĂŞte de contenants.
La vue est magnifique. J’en suis lĂ de ma contemplation quand il revient avec des gobelets
et une mine déconfite, ce qui me fait beaucoup rire. Et là , sans comprendre ce qui se passe,
Ă l’entendre rire, Ă le voir me regarder, je lui demande si je peux utiliser sa salle de bains.
– Sans problème, me rĂ©pond il.
Je file m’isoler une minute et avant que je rĂ©alise ce que je suis entrain de faire, je me vois
déposer mon shorty de dentelles sur le bord de son lavabo.
Je rejoins Éric sur le balcon et me penche ostensiblement pour attraper mon verre… Puis je
prends place en face de lui l’air de rien, je vois son regard mi amusĂ©, mi excitĂ© et sa lèvre
qu’il mordille d’un air songeur.
Je finis par lui demander s’il a faim, il pose sur moi un regard animal qui m’Ă©tait inconnu
jusqu’ici, il se lève, s’approche Ă quelques centimètres de mon visage et me dit :
-C’est peut ĂŞtre clichĂ©, mais j’ai faim de toi !
Il prononce sa phrase en passant une main dans mes cheveux, m’attirant Ă lui dans un
mélange de bestialité et de douceur et la termine en m’embrassant.
Mon souffle se coupe au contact de son torse, mes mains s’y promènent, je ne peux pas
décrocher mon regard du sien il m’hypnotise. Nos lèvres se touchent dans un soupir, nos
langues s’effleurent. Ses lèvres ont le goût du vin, douces et chaudes, avides des miennes.Mon corps se met sur “pilote automatique “, je ne contrôle plus rien et me laisse emporter
par le désir. Je dépose de petits baisers le long de son cou, de son torse, son ventre,
j’alterne entre baisers et morsures, tout en ouvrant son pantalon. Je me retrouve Ă la limite
de son boxer, lève les yeux vers lui, Éric me regarde fasciné. Me sentant encouragée je
libère son sexe déjà dur, passe le bout de ma langue le long de ce membre de chair épais,
mes gestes se font un peu plus francs, je l’entends soupirer, c’est le moment que je choisis
pour le prendre en bouche. Son corps se tends sous la surprise, il s’accroche Ă la rambarde,
tente de contrĂ´ler sa respiration ainsi que son excitation.
Peine perdue, je goĂ»te son corps, excitĂ©e de l’entendre murmurer mon prĂ©nom j’accĂ©lère un
peu le mouvement, soudain il attrape tendrement mes cheveux pour que je remonte, je
lâche son sexe pour reprendre d’assaut ses lèvres.
– Tu me rends fou ! Dit il dans un souffle.
Puis les rĂ´les s’inversent, Éric dĂ©fait ma robe, la laisse glisser sur mon corps, puis au sol. Il
recule d’un pas, contemple ma nuditĂ© en se mordillant Ă nouveau la lèvre et murmure :
-J’adore ce spectacle, mais je sens que je vais prĂ©fĂ©rĂ© ce qui suit.
Il s’approche de moi dans un geste quasi fĂ©lin, m’attrape par la taille et dĂ©pose une pluie de
baisers sur mes lèvres, mes joues, mon cou, s’attarde un peu sur mes seins qu’il prend Ă
pleines mains. Ma main caresse ses cheveux mon corps se tend sous ses caresses, il
reprend les baisers le long de mon ventre, remonte une de mes jambes et la pause sur son
Ă©paule. Nos regards se croisent, je vois son sourire, ses yeux refont le trajet de ses baisers
et s’arrĂŞtent sur mon entrejambe. Je ferme les yeux, je sens sa langue qui effleure mon
sexe, je frissonne, il y voit un encouragement et se fait plus insistant. Je sens sa langue
tantĂ´t s’insinuer entre les lèvres, tantĂ´t plus dure qui entre en moi, j’attrape ses cheveux, je
murmure son nom, mon souffle s’accĂ©lère, je perds pieds… Il stoppe, me caresse avec ses
doigts, j’en sens deux en moi, je me retiens Ă la rambarde, de l’autre main je tiens toujours
ses cheveux je me cambre et tente de repousser sa bouche vers mon sexe.
Il rit :Viens ma belle, lâche toi je veux voir ce spectacle.
Quand sa langue reviens moi, je frissonne, je suis électrisée, je gémis à présent, je sens
l’orgasme arriver, essaie de me dĂ©gager mais il resserre sa main sur ma cuisse pour me
retenir, il retire ses doigts et accélèrent le mouvement avec sa langue. Je jouie, mes jambes
tremblent, mon corps aussi. Il se redresse, me sourit :
-tu es magnifique quand tu jouie.
Il me tient fermement et m’entraĂ®ne dans la chambre, m’allonge sur le lit. Éric est au dessus
de moi, il m’embrasse, lève mes jambes contre son torse, je sens alors son sexe entrer en
moi et commencer des vas et viens. Je sens que mon souffle se saccade Ă nouveau, il me
dit :oh non pas si vite mademoiselle. Mes jambes retombent doucement de chaque côté de
son corps.
– Accroche toi bien Ă moi ma douce.Sans trop savoir Ă quoi m’attendre, j’obĂ©is, resserre mes jambes autour de sa taille il se
relève et me colle contre le mur. Son sexe toujours en moi, il me fait monter et descendre le
long de ce dernier, une fois que nous avons trouvé une cadence il attrape mes mains et les
tient au dessus de ma tĂŞte, mes lèvres sont Ă nouveau prises d’assaut. Je suis enivrĂ©e par
cet homme.Éric, que me fais tu ? Dis je dans un soupir.
Il rit, me reprend dans ses bras et m’entraĂ®ne Ă nouveau sur le lit. Je me positionne pour une
levrette.
– Épatante… Tu es Ă©patante, d’oĂą sors tu Alice ?
Il se place derrière moi, les mains sur mes hanches et me pénètre à nouveau. Nos corps
trouvent spontanĂ©ment le mĂŞme rythme, nos souffles s’accĂ©lèrent, les gĂ©missement se font
plus intenses, ma tête tourne, mon corps flotte. Il prononce mon nom dans un râle qui
déclenche instantanément mon orgasme et le sien.
Nous sommes sur le lit l’un contre l’autre essayant de reprendre nos souffles et nos esprits.
N’osant pas parler de peur de briser la magie.
Au bout d’un moment il me prend la main, y dĂ©pose un baiser et me dis :
– Allons prendre une douche….
À suivre……© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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