Skipper 5/7
Le petit jeu de la veille au soir a tellement plu à tout le monde, que tous désirent recommencer le soir-même. Cette fois, c’est une femme qui est tirée au sort pour être livrée aux turpitudes des trois hommes. La soirée se terminera par une orgie collective.
Proposée le 7/01/2020 par Rodolphe Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: GroupesLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
MercrediLe lendemain matin, nous appareillâmes très tôt, avant que nos client ne fussent levés, pour mettre le cap sur Tobago, la perle des îles Grenadines, un endroit idyllique aux eaux transparentes. Tobago est un petit chapelet d’îlots inhabités formant un lagon aux eaux si bleues et si limpides que c’est une merveille de s’y baigner.
Je préparai le petit déjeuner tout en apportant une tasse de café à mon mari, qui tenait la barre depuis déjà un moment. Nous étions seuls et bien sûr nous étions nus tous les deux. Tout en tenant la barre d’une main, il me prit par la taille et me serra contre lui pour me donner un baiser.
– Merci pour le cafĂ© ma chĂ©rie. Tu sais que je suis très fier d’être mariĂ© au premier prix de baise de cette croisière. Bravo pour ton excellente prestation !
Ses paroles, sa caresse et son baiser me furent si doux et si tendres, que mon bas ventre se mit encore une fois à s’échauffer. Je suis décidément une incorrigible amoureuse !
– Je t’aime… Mon beau skipper !
– Moi aussi je t’aime… Ma bandante skippeuse !Nos clients apparurent sur le pont assez tard, après cette soirĂ©e si mouvementĂ©e. Tous semblaient encore un peu hĂ©bĂ©tĂ©s, d’autan que le vent s’étant levĂ© et le catamaran filant rapidement sur les vagues, il fallait avoir le pied marin pour tenir debout. Pour la première fois depuis le dĂ©but de cette croisière, tous se prĂ©sentèrent nus au petit dĂ©jeuner. Nos Ă©bats de la veille les avaient tous dĂ©finitivement libĂ©rĂ©s de leur dernières rĂ©ticences.
La navigation de la matinée se passa bien, sauf pour Enzo qui eut un peu le mal de mer. Nous jetâmes l’ancre à Tobago vers 11h00. Le lagon était fréquenté bien sûr par de nombreux plaisanciers, venus ici, pour faire de la plongée, ou pour pique-niquer sur l’une des innombrables plage de ces îlots, ou tout simplement pour nager dans ces eaux cristallines.
L’après-midi, Alain proposa de faire une initiation à la plongée, tandis que je proposai une activité jet-ski. Curieusement, les femmes allèrent avec Alain, tandis que les hommes me rejoignirent.
Le reste de la journée fut surtout consacré au repos et au farniente sur les matelas du bateau. La perspective de se trouver tiré au sort le soir incitait chacune et chacun à s’économiser. Tous d’ailleurs attendaient ce moment avec impatience, rêvant secrètement d’être l’élue ou l’élu.Enfin, le soir arriva et on servit l’apéritif sur l’arrière du catamaran. Tout le monde était excité :
– On fait quand le tirage au sort, demanda Julie ?
– Après manger, dit mon mari.
– Oh non ! Firent-ils tous.
– On va pas attendre encore une heure, cria Enzo !
Devant cette levée de boucliers, nous décidâmes de faire le tirage au sort sans attendre. J’allai chercher la corbeille pour le tirage au sort et c’est John qui fut choisi pour tirer un papier. Il le déplia lentement, puis poussa un « Wouah ! » de bonheur quand il lut le nom :
– Messieurs, ce soir il s’agit d’une femme !… Ce soir, c’est Ă Emma qu’incombe la lourde responsabilitĂ© de faire jouir trois hommes Ă elle seule.
– Bravo, cria tout le monde Ă l’unisson.
– Je suis très honorĂ©e, fit-elle les joues lĂ©gèrement rosies. Je ferai mon possible pour satisfaire les hommes de ce bateau.
– Je suis sĂ»r que tu seras Ă la hauteur, dit mon mari.
Puis s’adressant en aparté à John :
– J’en bande d’avance !
– Moi aussi, rĂ©pondit l’autre !Le repas fut un peu un avant goĂ»t de la soirĂ©e qui nous attendait. Emma, assise Ă table entre John et mon mari, fut la cible de baisers et de caresses constants des deux hommes. Plus d’une fois elle poussa un « ah ! » de surprise qui ne laissait aucun doute sur les agissements de ses deux voisins trop entreprenants. En face, Enzo, assis entre Julie et moi, n’eut pas Ă se plaindre de sa situation non plus, car sa verge nue fut souvent la cible de nos mains agiles. On peut dire qu’il ne dĂ©banda pas pendant toute l’heure que dura le repas. En consĂ©quence, lorsque arriva le moment pour Emma de passer aux choses sĂ©rieuses, chacune et chacun d’entre nous avions notre libido exacerbĂ©e.
Emma, déjà nue – d’ailleurs nous étions tous déjà nus – s’installa sur un matelas et tous firent cercle autour d’elle. Alain lui banda les yeux, puis il dit :
– Es-tu prĂŞte, Emma ?
– Parfaitement, rĂ©pondit-elle !
– Alors messieurs, Ă vous de jouer !
Mon mari d’autorité prit la meilleure place en s’installant entre les cuisses d’Emma. Cette dernière, comprenant vite ce qui ce passait, ouvrit largement le compas de ses jambes en signe d’approbation. Je vis aussitôt mon homme plonger la tête sur son intimité.
John, lui, c’était installé aux côtés de la belle et avait entrepris de lui sucer et peut être aussi de lui mordiller les tétons, quant à Enzo, il avait présenté sa queue en érection sur les lèvres de sa femme. Aux mains de trois hommes, Emma manifesta vite son excitation, se tortillant sur son matelas, soulevant son bassin et émettant des petits gémissements de satisfaction. Quand elle sentit le membre dur de son homme sur ses lèvres, elle n’eut aucune hésitation et ouvrit en grand la bouche pour l’accepter.
Quelques minutes après, les hommes intervertirent leurs place : mon mari fourra sa queue dans la bouche de la rousse, John s’installa entre ses cuisses et Enzo investit ses seins. Les attaques efficaces des trois hommes la rendirent bientôt de plus en plus fébrile et ses petits gémissements devinrent vite des cris incontrôlables, témoignant de son puissant état d’excitation. John n’y tenant plus cessa de lui brouter le minou et se positionna pour la pénétrer pour de bon. Quand sa queue s’enfonça en elle, les cris d’Emma redoublèrent.
Je prenais beaucoup de plaisir à jouer à la voyeuse devant cette scène de baise à quatre et je jubilais de voir la belle Emma se tordre de plaisir sous les attaques de ses trois hommes. Tout cela m’échauffait sérieusement les sens et c’est peu de dire que j’enviais Emma.
J’en étais là de mes idées et de mes fantasmes quand tout à coup, je sentis une main se poser sur mon sexe. Pendant une fraction de seconde, je me demandai qui se permettait de toucher mon intimité, avant de me rendre à l’évidence : seule Julie et moi étions spectatrices, il n’y avait donc point de doute. Me tournant vers elle, qui se tenait debout tout près de moi, je croisai son regard direct et pour le moins provocateur. Stupéfaite, je restai tout d’abord muette. Je n’aurais jamais pensé que cette fille était « bi », tant elle semblait aimer les hommes. La seconde d’après, je sentis ses doigts me pénétrer, puis elle vint face à moi, colla ses lèvres aux miennes et me roula une pelle magistrale. Déjà très excitée par les ébats d’Emma et de ses hommes, je me laissai faire comme une automate et j’acceptai le baiser tout en enlaçant de mes deux bras ma violeuse. Cette catin embrassait divinement et entre ses doigts fouineurs fichés en moi et sa langue agile, mon désir grimpa vite en flèche. Quand nos bouchent se séparèrent, je lui dis :
– Tu es une vraie petite salope, Julie !… J’aurais jamais pensĂ©…
Pour toute réponse, elle accentua l’action de ses doigts dans mon vagin. Puis, me fixant toujours de son regard de provocatrice, elle plaqua son autre main sur mes fesses et m’attira à elle.
– T’aime ça, hein Alexia !… J’ en Ă©tais sĂ»re !
– Mais… tentai-je de rĂ©pliquer !
Au même instant, je sentis un doigt pénétrer profondément mon petit trou. Jamais, pas même mon mari, ne m’avait pénétrée de la sorte et je dois dire qu’après une minute d’adaptation, cela décupla mon plaisir jusqu’à m’en faire perdre la tête. Je sentis mes jambes fléchir et faillis bien perdre l’équilibre tellement ses stimulations m’envoûtaient. Désormais totalement à la merci de mon agresseuse, je me mis à crier des insanités qui me venaient naturellement à l’esprit :
– Petite salope ! Petite pute… !
Enfin, après quelques minutes, je parvins tout de même à me ressaisir et à mon tour je lui enfonçai mon index et mon majeur dans le vagin :
– A toi de subir mes assauts, jolie catin, lui dis-je.
Elle était sûrement elle aussi dans un terrible état d’excitation car, en réponse à mon attaque, elle me fit un regard hébété. Comme surprise, elle retira ses doigts de ma chatte et finit par crier son plaisir.Un autre cri, masculin celui-là , nous fit tourner le regard à toutes les deux : c’était John qui venait d’avoir son orgasme et qui, sans nul doute, était en train de vider toute sa puissance dans l’intimité de la jolie Emma. Julie et moi, côte à côte et nous tenant par les hanches, nous assistions à la scène à la foi amusées et excitées.
Quand John se retira de sa partenaire, Enzo, bon prince, fit signe à mon mari de prendre sa place. Ce dernier ne fut pas long à se positionner sur Emma et il la pénétra brutalement ; la pauvre n’eut même pas le temps de se remettre de sa baise avec John.
– Oh non, fit-elle !
Mais après que mon homme eût commencé à la limer avec l’énergie que je lui connais, elle cria :
– Oh ouiii !
Julie et moi, comme attirées l’une vers l’autre, nous embrassâmes à nouveau avec passion et amour. Oui, il me semblât en effet à ce moment que j’étais tombée amoureuse de cette fille à la sexualité débordante. Nos langues jouèrent ensemble, s’emmêlant sans retenue, nos mains parcoururent nos corps et nos corps se collèrent l’un à l’autre, comme soudés. Cela me faisait tout drôle de sentir des seins s’écraser contre les miens, une sensation nouvelle pour moi, que je trouvais très agréable.
C’est à ce moment que John se rapprocha de nous, posa ses mains sur nos fesses offertes et nous dit :
– Et bien les filles, on se gouine… !
Nous continuions à nous embrasser fougueusement, toutes deux enlacées, sans nous soucier de sa présence. Mais la main de John sur ma fesse se montra bientôt plus caressante et plus envahissante, ce qui fit monter encore un peu plus mon excitation. Partagée entre l’envie de me donner du plaisir avec la sulfureuse Julie et mon désir immodéré pour le genre masculin, je saisis la queue encore trempée de John et me mis à la masturber, sans pour autant lâcher les lèvres chaudes de ma partenaire.
Quand il passa derrière mon dos, je ne lâchai pas sa verge ; cette dernière commençait d’ailleurs à retrouver vigueur et volume. Mais tout à coup, je sentis sa main mâle glisser par derrière entre mes cuisses, puis un doigt – ou peut être deux – pénétrèrent ma petite chatte encore toute en feu. Non content de fouiller mon intimité, ce cochon me chuchota aussi des inepties à l’oreille :
– Mais tu es mouillĂ©e comme une chienne en chaleur, Alexia ! J’ai envie de ton corps, jolie petite putain !
– Mais tu viens de baiser Emma…
– Et alors. Tu sens bien ma bite dans ta main… Elle est prĂŞte !
Au même moment, mon mari vint se joindre à nous trois. Il se colla d’abord derrière Julie, puis il parvint à l’arracher à notre baiser saphique pour la faire pivoter, l’enlacer et l’embrasser. Aussitôt, elle se pendit à son cou et je vis même sa jambe s’immiscer entre les cuisses de mon mari.
Pour ma part, je me retournai et me suspendis au cou de John et lui déclarai :
– Ce n’est pas le tout de chauffer la fille, beau blond, encore faut-il pouvoir la satisfaire. Voyons si tu es un homme, un vrai !
Je collai mes lèvres aux siennes et ma langue se mêla furieusement à la sienne. Je sentis en même temps sa verge en érection contre mon bas ventre, je me serrai plus fort contre lui pour mieux l’emprisonner.
Pendant ce temps, Enzo baisait avec Emma. Bien qu’elle eût toujours les yeux bandés, comme l’exigeait le jeu, elle savait très bien qu’elle était désormais chevauchée par son mari et elle le fit savoir :
– Ça te fais quoi, mon chĂ©ri, de faire l’amour Ă ta femme ?
– J’ai juste l’impression de baiser une pute qui en est dĂ©jĂ Ă son troisième client, dit-il en riant !
– Jaloux, minauda-t-elle ?
– Jaloux de qui ? D’Alain ? J’ai dĂ©jĂ baisĂ© sa femme ! Quant Ă Julie, tu sais bien qu’elle n’a pas attendu cette croisière pour s’offrir Ă moi !
« Tiens, tiens, me dis-je. J’aurais juré que ces deux couples étaient déjà échangiste ! »
– Salaud, s’écria Emma !
– Tiens, prend ça, ma jolie petite putain, cria-t-il comme pour mieux s’exciter !
Il redoubla d’énergie pour la besogner, lui lançant de temps en temps « salope ! » ou « Catin ! », des mots crus qui semblaient le stimuler plus que tout. Emma elle aussi était dans un état d’échauffement avancé; elle cria d’ailleurs bien vite son orgasme et son partenaire ne fut pas long à la suivre.
Julie et mon mari s’étaient allongés sur un matelas à côté d’eux et ils baisaient comme des fous. Tenant bien en main sa verge turgescente, je tirai John afin de l’attirer sur un autre matelas. Je m’y allongeai et écartai très largement les cuisses en signe d’invitation.
– Tu vas voir si je suis un homme, me dit-il en s’étendant sur moi !
Cet homme avait encore de l’énergie. Pour avoir baisé Emma quelques minutes auparavant, il n’en eut pas moins pour moi et me fit grimper au septième ciel à une vitesse fulgurante ! Il est vrai aussi que mon désir était à son comble.Après cette superbe séance de baise collective où chacune et chacun avait eu sa part de bonheur, nous nous jetâmes tous à l’eau pour un délicieux bain de minuit. La nuit était douce comme une caresse, l’eau était encore chaude et un grand clair de lune nous permettait de distinguer le contour des îles qui nous entouraient. Ce soir-là , Alain et moi nous ne fîmes pas l’amour. A peine couchés, enlacés l’un de l’autre, nous nous endormîmes profondément.A suivre.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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