Après les pĂ©riples de la bagarre, lors de rĂ©union barbecue avec plein de copains chez Annie, j’Ă©tais devenue le hĂ©ros, le David ayant terrassĂ© Goliath, les mecs me fĂ©licitaient, les filles me souriaient bien plus, j’Ă©tais dĂ©jĂ un minuscule hĂ©ros en me portant au secours d’Annie lors de notre première rencontre, mais lĂ , j’avais eu du galon, aussi bien son mari que l’effleureur m’encensait, Ă les Ă©couter, ils n’avaient presque rien fait et c’est moi qui avais mis au tapis les salopardsJe n’avais juste fait, que faire pencher la balance en jouant le kamikaze, si la semaine d’avant, ils avaient vu l’Ă©tat de ma main, ils m’auraient moins admirĂ©, comme quoi la chance, quand on l’a de son cĂ´tĂ©, ça change la vie, en pensant cela, je me disais que la chance est la contrepartie des cocus, cette fĂŞte m’avais remontĂ© le moralAprès ma sĂ©ance avec Annie, je n’avais plus qu’une chose en tĂŞte, recommencer, mais avec ma main valide, mais les semaines suivantes,rien, je me suis dit qu’elle m’avait peut-ĂŞtre rĂ©compensĂ© de l’avoir dĂ©fendu, ne voulant pas devenir lourdingue, je ne me suis pas imposĂ©, elle est revenue Ă la maison, mais avec son marije n’ai eu aucun appel du chef de Marie concernant un après-midi autre que le vendredi, mon capteur a la maison me disait qu’elle rentrait bien a l’heure et si elle sortait, c’Ă©tait une demi-heure maxi, une course Ă faire pour le repas du soir, cela reprĂ©sentait moins que l’aller-retour de chez l’effleureur, je suis venu toutes les semaines pour voir Annie au billard, rien en vidĂ©o, je venais le mardi pour prendre le vĂ©lo en passant chez eux, ça me permettait de dire a sa femme que je viendrais jeudi ou vendredi, j’attendais qu’elle me dise « non pas tel jour, on est pas la »Je prenais le vĂ©lo, j’allais plus loin prendre un cafĂ©, ou Ă©ventuellement draguer pour mon quota, mais pas de sĂ©ances prĂ©vues, ces sĂ©ances n’Ă©taient pas soumise Ă une rĂ©gularitĂ©, Annie comme Marie, elle tĂ©lĂ©phonait a l’effleureur en dĂ©but de semaine du boulot pour la fin de semaine, je ne savais pas cela a l’Ă©poque, je devais me renseigner et l’attente me parut longueUn soir Marie me dit, « devine qui j’ai vu », elle me dit, « le type a la quiche », je demande ce qui s’est passĂ©, elle me dit, « rien », qu’il a dit, « j’ai un autre contrat Ă donner, appelez-moi sans le dire a personne », sur un papier, elle a un tĂ©lĂ©phone avec des horaires, demain matin sera le mieux pour qu’elle l’appelle, il est au bureau de bonne heureElle l’appelle, il demande si elle est seule, elle dit oui, qu’elle a attendu mon dĂ©part et lui demande ce qu’il veut, il lui dit qu’il a un autre contrat oĂą nous sommes en concurrence avec « tartempion », je fais signe Ă Marie qu’en effet, c’est un concurrent, il lui dit, « j’ai reçu les devis de tout le monde, qu’en pensez-vous, si au lieu de donner une rĂ©ponse favorable au mieux placĂ©, j’en rediscutais avec votre mari……….. autour d’une quiche par exemple, car j’ai pu apprĂ©cier la qualitĂ© de son travail, mais ma direction ne voit que le chiffre »Il Ă©tait malin, il ne disait rien de compromettant, mais cela voulait tout dire, il ne se mouillait pas, j’avais prĂ©parĂ© un bloc pour que Marie lise, et demande ce que je voulais savoir, et surtout, qu’il ne m’entende pas, elle dit, « je suppose que vous allez vouloir une autre quiche », il rĂ©pond, « c’est sĂ»r que cela me ferait plaisir, mais je ne voudrais pas abuser »Me lisant, elle lui demande comment ĂŞtre certaine qu’il est sĂ©rieux dans ce qu’il dit, il rĂ©pond qu’il peut dĂ©jeuner avec elle ce midi et lui montrer les devis, elle rĂ©pond, est-ce que cela se joue sur une grosse somme, il rĂ©pond que non et qu’il n’y aura aucun problème pour obtenir la diffĂ©rence en moinsMarie dit, « et il vous faut une autre quiche en remerciement », il rĂ©pond,  » vous connaissez mon pĂ©chĂ©, mais la mĂŞme quiche que l’autre fois, avec exactement les mĂŞmes ingrĂ©dients, sans rien retirer », elle rĂ©pond,  » je peux vous appeler après midi », il dit oui, et elle dit qu’elle voit et le rappelle, nous partons au boulotLe midi, je mange avec elle, on en discute et on convient de ce qui suit, elle l’appelle a 14 h 30, elle lui dit, Ok, appelez mon mari, il va me rappeler pour me le dire et je lui dirais de vous dire, que je vous refais une quiche » il lui dit d’accord, mais rappelĂ© moi aussi dans une heure pour la quiche que je veux, elle essaie de savoir, mais il raccroche après avoir dit, »vous verrez, rappelez dans une heure »Le client m’appelle derrière, il me dit qu’il faudrait qu’on dĂ©jeune ensemble pour le projet, disant que chez nous ça serait mieux et plus pratique, je lui dis que je le mets en attente et appelle ma femme voir si nous sommes libre ce vendredi, Je ne la rappelle pas, je fais patienter un peu et lui dit, c’est ok pour vendredi soirMarie le rappelle l’heure d’après et il lui demande une quiche sans le haut, sans soutif, elle dit a vendredi et raccroche, de mon cĂ´tĂ©, je dis qu’on peut rĂ©cupĂ©rer un contrat chez ce client qu’on est trop cher, et savoir le tarif plancher que l’on peut se permettre, une fois cela vu, il demande comment j’ai appris, je dis, « Marie l’a rencontrĂ© au restau avec une copine, je venais juste de partir, et en parlant, il a eu une indiscrĂ©tion »Elle lui a dit, avant de prendre votre dĂ©cision, vous ne voulez pas en discuter avec mon mari », il lui a dit qu’il n’aurait pas du lui en parler, ma femme m’a tenue informĂ©, je l’ai invitĂ© a la maison vendredi, mon directeur me dit, « votre femme est vraiment compĂ©tante, ha Henri, le pouvoir des femmes sur nous, c’est dĂ©ment, en plus la votre n’est pas que belle, faites lui part de mes compliments, il y aura un supplĂ©ment pour cette signature en fonction de la diffĂ©rence entre le prix initial, et le prix qu’on vient de dĂ©finir »Le jeudi, elle l’appelle en disant ok pour le soutif en moins a condition que vous amenez les autres devis, il dit qu’il n’a pas le droit, elle lui dit qu’il voulait lui montrer au restau, il lui rĂ©pond, Ă vous oui, mais pas votre mari », elle dit, « alors, vous ne me les montrerez qu’a moi »Le vendredi soir, elle le reçoit en petit pull lĂ©ger, rien en dessous, jupe plissĂ©e, courte, elle va ouvrir, il a un bouquet de fleurs, je suis en cuisine avec la femme de l’effleureur, il lui donne le bouquet et lui faisant la bise, contrĂ´le qu’elle n’a rien en dessous, elle se pousse, il a sa serviette et dit que tout est dedansOn prend l’apĂ©ro et on mange, Marie n’a presque pas bu cette fois, il se rĂ©gale avec la quiche en disant qu’il est dommage qu’il n’a pas un contrat par semaine, ce qui est drĂ´le, c’est qu’il en reprend trois fois, il adore vraiment cela, au cafĂ©, nous nous retrouvons tous les trois, on discute, comme je ne veux pas refaire le mĂŞme coup que la dernière fois, j’avais dit Ă la femme de l’effleureur qu’elle appelle d’une cabine en descendantDes quĂ© je dĂ©croche, elle raccroche et je dis, attendez, je vais a mon bureau, je m’excuse auprès du client, je vais au bureau, il tripote Marie un peu, elle se dĂ©fend lĂ©gèrement pour la forme, je reviens et dit, « je m’excuse, je dois faire une recherche pour un client, je vous laisse 10 mn, ressert un cafĂ© Marie », je retourne au bureau, enfin, c’est ce qu’il pense, car je fais les bruitages de porteJe raconte maintenant ce que je vois et ce que Marie m’a racontĂ© ensuite, il dit non pour le cafĂ©, puis dit,  » voilĂ , a ma quiche maintenant », il attrape ses seins par en dessous le pull, elle se pousse et il dit, « hĂ©, et notre accord », elle se laisse faire et demande, « montrez les devis », il dit, « il y a un gage pour cela, retirez votre culotte lĂ -bas (dans le couloir), et vous me la montrez pour que je la voisElle tente de se dĂ©gager de sa main sur les seins, et il dit, « non, les seins, c’est pour ma signature », la culotte, c’est pour connaitre les montants, rendez-vous compte de ce que je fais et je demande si peu », il rajoute, « rĂ©flĂ©chissez vite, s’il revient, ca sera trop tard », elle souffle, puis elle va la retirer, puis lui montre, elle l’a dĂ©pose sous les coussins du canapĂ© ensuite, il sort les documents, elle regarde, il tripote ses seins, ses bouts durcissent et il lui dit, il parle tout doucementMarie est comptable, elle sait lire un document et retenir les chiffres, il tripote ses seins, les malaxe, on a toujours le mĂŞme code, mains en l’air, ne pas intervenir, main fixe dans les cheveux, elle perd pied, a moi de dĂ©cider ou pas d’intervenir, main qui frotte ses cheveux, je dois intervenirCe client n’avait jamais rappelĂ© depuis, et n’avait pas Ă©tĂ© emmerdant, son chantage Ă©tait très gentil, plus, pour permettre a sa victime de se justifier, que de lui nuire ou la forcer, on avait donc dĂ©cidĂ© elle et moi, de lui permettre plus de « privilèges », elle est sur le bord du canapĂ©, tournĂ©e un peu sur la gauche, lui est dans le fond du canapĂ©, penchĂ©, a cotĂ© d’elle Ă sa droite, lui tripotant les seins sous le pull en l’enlaçantElle apprĂ©cie la caresse, elle aurait pu dire stop, car elle a tout vu, en se penchant, elle a remis les documents sur la petite table, au lieu de lui dire d’arrĂŞter, elle s’est remise contre lui, elle lui dit a voix basse, « si vous entendez la porte, vous vous remettez de l’autre cĂ´tĂ©, il la sent se donner Ă la caresse, il pince ses bouts, il avance sa main sur sa cuisse, elle pose son bras sur le haut du canapĂ© qui me signifie de laisserElle lui dit « non, ne faites pas ça », elle sait maintenant, qu’elle a carte blanche pour se laisser tripoter, seule se faire baiser est proscrit, sa main avait retenue la sienne, mais la pression pour le retenir diminue, il remonte plus, elle le retient un peu en disant, « non », puis sa main arrivĂ©e tout en haut, cuisses serrĂ©es, disant toujours des non, elle s’Ă©carte et il en profite, il dĂ©couvre une Marie toute inondĂ©eElle lui dit que c’est un salaud, il rĂ©pond oui et qu’elle adore cela, la pauvre Marie est foutue, il a gagnĂ©, sa main est en l’air, disant de ne pas venir, et c’est elle qui vient, elle jouit en se retenant de crier, une fois l’orgasme passĂ©, elle se lève en disant mon dieu, qu’est-ce que j’ai fait, il la rassure en disant, rien, vous m’avez juste fait plaisir, personne ne saura, elle se touche les cheveux, puis va en cuisine, pour ramener un cafĂ©Je reviens en mĂŞme temps qu’elle, elle s’est remise comme il faut, je m’excuse auprès de lui, il me dit qu’il Ă©tait en bonne compagnie, elle apporte son cafĂ© qu’il n’avait pas demandĂ©, mais le boit pour la justifier, on parle affaires, prix, elle me fait signe de partir, je vais aux toilettes, elle lui dit, « le prix, c’Ă©tait tant », il dit, « je vous ai montrĂ©, je vais signer, mais la nĂ©gociation, c’est avec lui », elle dit, « et si je nĂ©gociais moi », il dit,  » faut voir »Je reviens des toilettes et elle me dit, « tu ne me laisserais pas nĂ©gocier ce contrat », il dit, « ho non, je me fais toujours avoir par les femmes », elle dit excusez nous, on va au bureau, je lui donne les Ă©lĂ©ments, elle me dit le prix le plus bas qu’elle a vu, je dis en effet, il y avait peu d’Ă©cart, on revient, je dis, ok, je te laisse nĂ©gocier, elle commence son argumentation, elle connaĂ®t les principes, elle sait comment cela se passe avec ceux qui sont au restoElle me regarde plusieurs fois, puis elle dit, « si je te sens derrière moi, ça me coupe, j’ai l’impression que je m’y prends mal et que tu va dire quelque chose », je dis, « non, je…. Mais bon, je vais au bureau, je vous relaisse encore, soyez indulgent avec elle », il rĂ©pond, « c’est moi qui entre dans la cage au lion », je retourne au bureau, bruite avec la porteElle lui dit, « vous m’avez eu tout Ă l’heure, vous avez pris au de lĂ de ce qu’on avait convenu », il dit, « non, Ă peine plus que la dernière fois », comment cela dit-elle, il rĂ©pond, « j’ai fait pareil sauf qu’aujourd’hui, vous avez plus… ApprĂ©ciĂ©e », elle dit, « vous voulez dire que », rĂ©pondant, « oui, vous ne vous souvenez pas » elle ne rĂ©pond pas et dit, « bon, tant pis, voilĂ , je vous propose telle somme », il lui dit, « non, si je vais voir ce client, il acceptera une remise du mĂŞme montant sans problèmeElle dit,  » il a autant de poitrine que moi », il dit, « hĂ©las non, mais revenez comme tout Ă l’heure, je suis plus attentif », elle se remet de dos, il passe la main par-dessus son Ă©paule pour attraper un sein, elle le laisse faire, il va pour lui remettre au sexe, mais elle dit,  » non, pour cela, il faut que je prouve a mon mari que je sais nĂ©gocier aussi bien que lui », en fin de compte, ils nĂ©gocient plus sur ce qu’ils vont faire que sur le montant du devis a accepterIl demande pour la baiser, mais elle dit, « non, ça, je ne le ferais jamais mĂŞme pour dix contrats, si mon mari apprend ce qu’on a fait, il arrĂŞtera de vous recevoir ici, et avec moi ailleurs puis rouspĂ©tera, mais si je le trompe, c’est le divorce et ça, non, je ne prends pas le risque », il dit « si je ne vous baise pas, j’ai droit a quoi », je ne sais pas dit-elle, proposez pour voir, il dit, « mettre mes mains partout », elle fait celle qui lui fait comprendre qu’il exagère », il insiste en disant que ce n’est pas plus que ce qu’il y a eu »Elle fait celle qui hĂ©site, il insiste encore, argumente, puis elle dit, « que vos mains, rien d’autre », jurĂ© dit-il, « elle dit, « si je m’aperçois que vous ne respectez pas votre parole, vous ne reviendrez plus jamais ici, il rĂ©pond, « je ne risquerais jamais cela, mais en contrepartie, j’ai droit Ă tout votre corps », elle dit, « oui, mais par contre, je n’embrasse pas non plus, disant cela, elle met son pied entre ses genoux, elle se laisse remonter la jupe quand il caresse sa jambe, elle dit, alors ça marcheQuand il commence Ă arriver vers son sexe, elle se recule en rĂ©pĂ©tant le montant, il dit, « vous ĂŞtes dur en affaire, je suis d’accord », Marie lui dit, demandez des pages numĂ©rotĂ©s, (sachant que ça prend du temps a l’ordi et comme l’imprimante est une matriciel, ça justifie que mon mari en a pour un certain temps, en fait, il n’aura juste qu’a rentrer le montant convenue et le reste se fera automatiquement, mais cela, il ne le sait pasElle lui dit que s’il a accepte, c’est sur la promesse d’une invitation restaurant ou elle mange le midi, pour me justifier son acceptation et dire que l’invitation avec ses collègues a cotĂ©, c’est une invitation amicaleElle vient me chercher, disant devant lui, le montant, je lui dis, je m’incline, tu as fait comment, il rĂ©pond, elle accepte que je l’invite au restaurant, mais attention, en tout bien tout honneur, marie dit, « oui, ou je dĂ©jeune avec mes collègues, je dis bien, je vais imprimer tout ça, il dit, « pouvez vous numĂ©roter les pages, je dis, « oui si vous voulez, je vous fais patienter un peu plus alors », faites dit-il, je ne suis pas en mauvaise compagnieĂ©Je bruite Ă nouveau la porte, je remplace le montant sur la page, les calculs se font automatiquement, je tape « enter » et me prĂ©cipite dans le couloir afin que le bruit de l’imprimante ne s’entende pas plus fort, signifiant que la porte s’ouvre, le dĂ©but m’a Ă©tĂ© racontĂ© par MarieQuand il a entendu la porte se fermer, il a dit, « venez, vous ĂŞtes a moi, on est d’accord », elle ne rĂ©pond pas, mais se laisse faire, il est assis sur le canapĂ©, elle est debout, il lui fait soulever le pull, elle s’exĂ©cute, il lui attrape un sein, puis de son autre main, il lui masturbe le sexe, contrairement a la première fois, cette fois-ci, il voit son visage qui trahit ce qu’elle ressent, elle sait que je suis d’accord, elle n’a aucune crainte de me dĂ©plaireÉcarter les jambes dit il, elle le fait, Marie est une jouisseuse, elle s’enflamme vite, il a vite fait de voir qu’elle est a sa merci, il l’a fait asseoir sur le canapĂ©, remonte sa jupe et mate sa chatte, cela augmente son envie, elle s’avance au bord du canapĂ©, c’est une invitation, il lui roule le clito, par moment, il Ă©coute le bruit Ă©touffĂ© de l’imprimante, il lui pĂ©nètre deux doigts puis continu a masturber son clito de l’autre mainMarie s’abandonne complètement, elle compte sur moi au cas oĂą le type ne respecterait pas ce qu’il a promis, elle me dit que par moment, il regardait vers la porte, l’avantage de ne pas ĂŞtre barakĂ©, c’est que le type prend plus de risque, il sait que si j’arrive, a part de rouspĂ©ter, il n’aura pas mon poing sur la figure, du moins, cela ne lui fait pas peur, il la masturbe, puis arrĂŞte, recommence, il l’agace, elle sait ce qu’il cherche et n’y tenant plus, elle lui donne, Elle dit tout bas,  » faites moi jouir »Profitant qu’il la tient, il lui demande plusieurs choses qu’elle fait ou qu’elle rĂ©pond oui, « vous voulez jouir », « relevez votre pull et caressez vous les seins », « quand je reviendrais, vous ne mettrez plus de dessous », « vous vous laisserez tripotez sans faire d’histoires »J’entendais tout ça faiblement, Marie Ă©tait Ă sa merci, j’aimais la sentir comme ça, le client Ă©tait entreprenant, j’entends, « non, pas ça, pas lĂ , non, non, ha ouiiii, ha, encore, haaaa, je jouis, je jouis, deux autres feuilles restait a imprimer, des qu’elles sont fini, je les prend, les agrafes puis j’arrive vers eux, ils sont en train de discuter, je dis, « j’ai pas Ă©tĂ© trop long, vous voulez encore du café », Marie dit, « oui, j’en prendrais bien encore », cela signifie qu’elle voudrait encore ĂŞtre seule, je fais, « zut, mon ruban est sec, les phrases sont illisibles pour certaines, je dois changer le ruban, je suis vraiment dĂ©solé », vous inquiĂ©tez pas pas dit il, ça m’arrive aussi des foisJe retourne au bureau, je bruite la porte, et l’ouvre aussitĂ´t pour imprimer ensuite, il fait mettre Marie a genoux sur le canapĂ©, appuyĂ© au dossier, elle dit, « non, je vous ai dĂ©jĂ donnĂ© tout a l’heure », il rĂ©pond, « on avait dit que j’avais votre corps a volontĂ© chez vous », lui mettant sa main au sexe en mĂŞme temps, et voyant qu’elle proteste en faisant ce qu’il demande, il lui demande d’Ă©carter plus les genoux, elle s’exĂ©cute aussitĂ´t, devant sa docilitĂ©, il n’hĂ©site pas, il lui fourre deux doigtsIl la lime avec les doigts, Ă©tant dans la pĂ©nombre, la lumière halogène dirigĂ© vers eux Ă dessein, l’Ă©blouissement lĂ©ger empĂŞche de voir dans le couloir, je ne vois que Marie, mais elle m’a racontĂ©, il est derrière, a genoux, sa jupe remontĂ©e, il lui embrasse les fesses, puis finalement, lui fait sentir sa langue sur son anus, il donne des grands coups de langue, remontant de sa chatte a l’anus, Marie gĂ©mitElle l’encourage avec des oui, des encore, des oui comme ça, j’adore la voir s’abandonner, mĂŞme a un autre, je sais que si je lui faisais pareil, elle ne ressentirait pas autant d’excitation, elle est avec un coureur de 100 mètres, je ne suis que marathonien, quand elle est excitĂ©e, elle n’a plus aucune retenue, elle lui lance des « oui, c’est bon, qu’est-ce que c’est bon, encore »Il la sait a sa merci, il la fait s’asseoir sur le canapĂ©, lui Ă©carte les jambes, elle dit, « non pas comme ça », elle est aussi crĂ©dible qu’un politicard qui annonce l’augmentation des retraites ou une baisse de taxe, il ne l’Ă©coute pas et heureusement pour elle, je ne vois plus rien, j’entend, c’est tout, il prend sa chatte a pleine bouche, il a regardĂ© sa montre comme souvent, il doit chronomĂ©trer le temps que je passeIl est le client, s’il se fait prendre, il ne risque pas grand-chose, le seul risque pour lui, c’est de ne plus revenir profiter d’elle, Marie ne dira rien Ă personne, moi le cocu, je n’irais pas m’en vanter, et si je le disais a son employeur, il pourrait dire que ma femme l’a allumĂ©, il ne risque pas que je lui casse la figure, et s’il rappelle ma boite, c’est un client, le client est roiPour l’heure, il ne le sait pas, mais il ne risque rien, sa tĂŞte entre ses cuisses, il ne m’entendra pas arriver, il compte sur elle pour donner l’alerte, ce qui dans son Ă©tat d’excitation, ne risque pas d’arriver, a force de sucer, Marie jouit, elle le lui fait savoir, elle a son pouce dans l’anus et il suce sa chatte et clito, sa main libre caresse ses seins, elle appuie sa tĂŞte pour mieux le sentirUne fois la furie passĂ©e, ils se remettent bien pour me recevoir, il signe et paraphe le contrat sans le lire, il a dĂ©jĂ lu le principal et le montant est celui convenu, je retourne au bureau, elle lui dit, « vous m’avez eu », il dit, « vous avez aimé », elle rĂ©pond, « ça change des discussions habituelles des repas d’affaires », en lui touchant les seins, il dit, « au prochain contrat, aurais-je pareil », « elle rĂ©pond, « je n’ai plus rien Ă cacher », en retirant sa main, il dit, « j’arrĂŞte, je vais avoir du mal Ă cacher ce que je ressens »Quand il dit cela, je me dis que moi aussi, il faut que je me calme en me remettant au travail, ce qui fait que j’arrive deux minutes plus tard, ils ont continuĂ© a discutĂ© sur ce qu’il pourra faire et pas faire, elle n’embrasse pas et ne se fait pas pĂ©nĂ©trer, et uniquement ici, elle disait qu’en discussion sur des connaissances, que j’avais dit que tromper, c’Ă©tait Ă partir du moment oĂą l’homme pĂ©nĂ©trait avec son sexeQu’une femme tripotĂ©e pendant une danse ou autre, que cela n’Ă©tait pas trompĂ©, disant aussi que n’Ă©tant pas pĂ©nĂ©trĂ©e, elle pourrait argumenter pour se dĂ©fendre, elle lui dit aussi que maintenant, elle ne fait plus de promesses Ă la signature, quand je reviens, Marie enchaine sur une discussion du genre repas d’affaire que l’on fait, disant, que chez nous, c’est plus convivial et que les clients prĂ©fèrent, c’est plus tranquille pour discuter et que pour nous aussi, on peut corrigerMarie dit, « donne le contrat, c’est le mien », elle fait parapher au client et signer, pendant ce temps, je pars chercher une bouteille de champagne, il lui caresse les seins, elle se laisse faire en souriant, après avoir arrosĂ© cela, le moment de partir arrive, je lui sers la main et je dis, raccompagne TON client, j’ai un fax Ă faire partir pendant que j’y pense, dans le petit couloir d’entrĂ©e, il l’a tripotĂ© a nouveau sans s’occuper de la dĂ©formation de son pantalon, Marie se laissait faireOn a ensuite Ă©teint la lumière de la salle et je l’ai prise habillĂ©e, je n’en pouvais plus d’attendre et elle voulait ĂŞtre baisĂ©e, elle Ă©tait excitĂ©e comme il n’y a pas, on savait tous les deux, qu’en ces moments-lĂ , nous ne faisions que nous soulager, je lui ai donnĂ© deux orgasmes qu’elle a eus rapidement, je n’ai pas pu tenir pour plus longtemps, nous avons fait l’amour le lendemain matin comme c’est le cas après ce genre de soirĂ©eMoins d’un mois après, j’Ă©tais dĂ©jĂ rentrĂ©, avant qu’on se mette Ă table, ce client sonne, je dis zut, il va nous coller maintenant, je lui ouvre, il me demande si je peux l’entretenir en privĂ© et en toute discrĂ©tion, de suite, je pense a ce qui s’est passĂ© la dernière fois, mais non, il me dit qu’il a eu vent d’un travail que je peux essayer d’obtenir, je lui dis que je le remercie de m’en informer, mais que cela ne serait pas très honnĂŞte de ma partQuand il me dit le nom du concurrent mes scrupules s’en vont directe, celui-ci nous a cassĂ© les prix, nous faisant du tort et en se mettant lui aussi en mauvaise situation, j’accepte un rendez-vous avec le client potentiel, qui accepte d’attendre pour prendre sa dĂ©cision, curieusement mon client me dit que Marie n’est pas nĂ©cessaire, justifiant qu’en petit comitĂ©, c’est prĂ©fĂ©rable, je suis soulagĂ©, cela veut dire qu’il ne lui a pas dit ce qui se passait avec ma femmeLe temps pressant, nous reprenons rendez-vous pour dans deux jours au mĂŞme endroit, devis fait, j’en parle Ă mon chef par politesse de ce devis pressant, il me dit de prendre un collègue pour m’avancer, le devis fait, anti datĂ©, je le donne au client potentiel, trois semaines après, comment je m’y attendait a 90 %, ce client potentiel m’appelle pour me dire qu’il faut qu’on se voit pour signer, (en clair, payez-moi un bon gueuleton et je signe), ce fut chose faiteSur ce dossier, j’avais associĂ© Marie, car indirectement, je savais qu’elle Ă©tait Ă l’ origine de cela, prime d’hĂ´tesse et prime d’apport de nouveau client, cette dernière prime est assez consĂ©quente, a la boite, je donnais mes frais de repas d’affaires, et on me remboursait sur les justificatifs que je rapportais, on ne me demandait que de mettre sur le libellĂ©, le dossier auquel il se rattachaitAvec Marie, on savait pourquoi notre client, nous avait fait profiter de cette opportunitĂ©, il n’y Ă©tait pas obligĂ©, cela fut sympa de sa part, il n’a rien demandĂ©, si je ne le lui disais pas, Marie ne l’aurait pas su, elle lui tĂ©lĂ©phone un matin, l’informant que je suis dĂ©jĂ parti, pour qu’il parle librement et pour le remercierElle dit, « mon mari m’a dit que vous ĂŞtes responsable de la prime que j’ai eue pour ce nouveau client amenĂ© sur un plateau », il rĂ©pond,  » ha, il vous l’a dit, je lui avais fait sous-entendre sans exagĂ©ration non plus qu’il Ă©tait inutile que vous le sachiez, je n’ai pas voulu qu’il y ait d’ambiguĂŻté », elle lui explique le fonctionnement des repas d’affaires et prime, il dit qu’en effet, il comprend et ne voyait pas cela dans ce sensElle lui dit, « voulez vous venir dĂ®ner Ă le maison vendredi », il rĂ©pond, « je ne demanderais que ça, mais je ne voudrais pas abuser et vous mettre dans une situation embarrassante, non, je vous remercie, c’est très gentil », avec Marie, nous n’avions pas prĂ©vu cela, on reste sans savoir quoi dire, ni faire, elle lui dit bonne journĂ©e, puis nous allons au boulot, le lendemain, elle le rappelle Ă ma demande, et sans moi, elle dit, « s’il, vous ne venez pas dĂ®ner vendredi, je vais me sentir peu reconnaissante », il dit, « oui, mais votre mari, il va se douter de quelque chose », elle rĂ©pond, « non, on vous rĂ©compense, ce qui est normal », il dit, « bon, je viens, mais dans les mĂŞmes conditions que l’autre soir, et j’amène une surprise, et s’il y a une opportunitĂ©, vous devinez ce que je veux dire », sans rĂ©pondre, Ă vendredi dit elle, venez pour 19h30Ce vendredi, avec Marie, on a convenu une petite mise en scène, il arrive Ă l’heure dite, Mairie lui parle a l’interphone, moi, je m’habille et sort sur le palier pour aller a l’Ă©tage au-dessus, il rentre, offre les fleurs, il s’inquiète de mon absence, moi, je descends, j’attends 5 minutes et sonne, pendant ce temps, elle lui dit, » je ne comprends pas, il rentre a 19 h d’habitude », il en profite pour la tripoter, elle s’est mise sexy et sans dessous comme il avait demandĂ© la fois d’avantComme je sonne, il stoppe son tripotage, il va s’asseoir sur le canapĂ©, elle m’ouvre en bas et va entrebâiller la porte, je rentre avec deux cartables, elle me dit, j’ai une surprise, je dĂ©couvre le client, je lui dis, « une agrĂ©able surprise, comment allez-vous », elle dit, « tu disais que je ne prenais pas assez d’initiative, j’ai invitĂ© monsieur pour le remercier », le client dit, « vous ne saviez pas, je suis confus, je pensais que », je rĂ©pond, « elle a très bien fait, on se devait de vous remerciez, vous n’Ă©tiez pas obligé »Il dit, « ce n’est rien, juste retour des choses, je suis très bien accueilli, rien a voir avec les repas d’affaires oĂą on me tend une assiette d’un cotĂ©, et un stylo de l’autre, je sers l’apĂ©ritif, elle avait prĂ©parĂ© des petits fours, quelques petits compliments a la maitresse de maison pour ses talents de cuisinière, Marie est en cuisine, je discute avec luiDisant que dans les repas d’affaires, entre hommes, on ne sait pas toujours quoi dire, et parler que boulot, ça fatigue, avec une femme, c’est plus dĂ©tendu, le client est plus bavard, ça Ă©limine les blancs, j’explique que Marie est payĂ©e pour m’accompagner et quand on ramène un client, il y a Ă©galement une prime pour elle, il me dit, « vous avez bien fait, mais moi, vous ne me connaissez pas sur ce dossier »Le dĂ®ner est servi, on passe a table, la discussion est plus sur les loisirs, que sur le boulot, mĂŞme si parfois, on y revient un peu, le moment du cafĂ© arrive, une fois prit, je lui dis, « je suis dĂ©solĂ©, je croyais qu’on avait rien de prĂ©vu ce soir, et j’ai amenĂ© du travail urgent Ă faire, je vais ĂŞtre obligĂ© de vous laisser, je n’en ai pas pour long, ÂĽ d’heure, ou une demi-heure maximum, je me dĂ©barrasse de ça et je vous rejoinsJe dis Ă Marie, je suis dĂ©solĂ©, pour une fois que tu as pris une bonne initiative, je gâche tout, j’y vais, je reviens la minute suivante avec le tĂ©lĂ©phone en main et un interlocuteur fictif, je prends mes cartables, je bruite avec la porte, cette fois-ci, elle n’oppose aucune rĂ©sistance, elle se donne a lui, lui, il se dit, c’est elle qui m’a invitĂ© en sachant très bien ce qui arriverait, elle m’a fait venir pour que je m’occupe d’elleIl lui dit de se mettre assise sur le canapĂ©, lui Ă©carte les jambes et la suce, quand on avait dĂ©cide de lui dire de venir, j’avais dit Ă Marie, inutile de le repousser maintenant, donne-toi a lui, il la suce, au bout d’un moment, il se lève, je me prĂ©pare Ă retourner au bureau sans bruit, il va ou il y a sa veste et revient, il lui demande de se mettre Ă genou sur le canapĂ©, elle s’exĂ©cute aussitĂ´t, signe qu’il peut tout se permettreIl se met aussi Ă genoux sur le canapĂ©, sur son cotĂ© gauche, il attrape se seins, la masturbe, puis de sa poche, il sort un gode puis lui met au bord du vagin, elle fait  » ho non », mais de ssavoir ce qu’il ose lui faire, l’excite encore plus, elle tend ses lèvres intimes sur l’objet, il lui rĂ©pond en la tutoyant, tu va voir, tu va adorer, il la pĂ©nètre lentement avec, c’est elle qui va au-devant du gode, il met l’appareil en marche puis la limeFaisant cela, il regarde de mon cĂ´tĂ©, surveillant un Ă©ventuel risque que j’arrive, mĂŞme si je suis dans la pĂ©nombre, et que je sais, que l’halogène l’Ă©blouit un peu, j’ai toujours la crainte d’ĂŞtre vu, je me colle au mur et recule dans le couloir, Marie est en train de jouir, en silence, j’entends Ă peine, il ne regarde plus de mon cotĂ©, je me remets plus prĂ©s, il arrĂŞte le gode, le ressort, puis il humecte son anus pendant qu’il caresse son clito de l’autre mainElle lui dit, « non pas par là  », il dit, « mais si tu vas aimer », il pĂ©nètre avec le gode, elle n’a pas bougĂ© pour l’en empĂŞcher, il lui fait rouler le clito en mĂŞme temps, il regarde ce qu’il fait maintenant, quand il sent qu’elle commence Ă prendre plaisir, il lui dit, « tu vois, tu aime ça, je te l’avais dit », Marie est emportĂ© par son plaisir, elle lui dit tout bas mais audible d’oĂą je suis, « oui, j’aime ça, j’aime ĂŞtre dĂ©foncĂ©e, va-y plus fort, encule-moi »EncouragĂ©, autant que fier, il s’active et fatalement, l’orgasme l’emporte, sauf que cette fois-ci, il est obligĂ© de lui mettre la main devant sa bouche pour ne pas qu’elle hurle, le premier « haaa » de jouissance n’a pas pu ĂŞtre Ă©touffĂ© Ă temps, il se remet bien puis comprenant ce qu’elle a fait, pour donner le change du mari qui ne sait rien elle se remet bien aussi, il ne dit mot, il Ă©coute si j’arriveElle lui dit de rester lĂ , qu’elle va aller voir, en fait, elle vient me voir pour se rassurer, savoir comment je rĂ©agis, elle vient de jouir violemment avec un autre, je me suis mis dans le bureau, au cas oĂą il regarderait de loin, je lève mon pouce en l’air en souriant, signifiant Ă Marie que je suis content pour elle, et qu’elle peut poursuivreAvec Marie, on sait que son plaisir ne me rend pas jaloux si on le partage ensemble sans ĂŞtre cote Ă cote, mais elle a toujours peur que je lui dise cela pour lui faire plaisir, de mon cĂ´tĂ©, je suis content qu’elle prenne du plaisir, mais malheureux que je ne sois pas celui qui lui donne l’orgasme le plus violent, je ne suis qu’un marathonien pour elle, je suis son ordinaire sexuel, sa sĂ©curitĂ©, son compagnon par dĂ©faut, son mari
Le privilège du mari, c’est qu’il peut baiser tous les soirs et WE, alors que l’amant, c’est quand lui, il peut s’il est mariĂ© et qu’elle, elle soit disponible, Marie n’est jamais disponible, je la surveille par toute les manières possibles, mĂŞme les plus vils, elle ne me cache que ce que je lui ai autorisĂ©, elle ne me le dit pas, mais je le sais quand mĂŞme, je me dĂ©goute par moment d’etre comme cela, mais la confiance perdu, ne se retrouve jamais, on ne peut que vivre avec, je suis prisonnier de ce manque de confiance, si je la quitte, sans elle, je serais malheureux, si elle m’aime comme Annie me le dit, elle sera malheureuse aussi, si je reste sans la surveiller, je serais malheureux, tout seraient prĂ©texte pour que je crois qu’elle Ă©tait avec un autre, mon malheur serait contagieux jusqu’a ce qu’il explose, la surveiller n’est pas pour me dĂ©plaire, chaque surveillance me montre qu’elle ne me trompe pas, ce qui fait que je l’aime encore plus et elle me le rend, Marie retourne auprès du client et lui dit que je dois ĂŞtre au tĂ©lĂ©phone, que je n’ai rien entendu, il reprend possession de son corps, assise sur le canapĂ©, il lui remet le gode dans l’anus et lui suce le clito, elle se frotte d’elle-mĂŞme sur sa bouche, elle lui tient la tĂŞte d’une main et se met l’autre sur la bouche, elle a son troisième orgasmeAprès avoir repris ses esprits, elle lui dit, allongez-vous sur le canapĂ© (le vouvoiement est revenu), elle va en cuisine et revient avec du sopalin, elle lui redemande de s’allonger, elle se met en 69, son sexe sur sa bouche, elle sort son sexe de son slip et pantalon, puis le masturbe, pendant qu’il la suce, je ne vois rien de tout cela, je ne vois que la tĂŞte de Marie qui dĂ©passe du canapĂ©Elle me dit qu’il a le sexe de mĂŞme importance que le mien, comme elle ne m’a jamais menti sur celui des autres plus gros ou long, je suis tentĂ© de la croire, bien sur, le type Ă©tant un coureur de 100 mètres pour elle, au bout de 100 secondes, il est sur la ligne d’arrivĂ©e, il Ă©touffe son râle dans le sexe de Marie qui lui fait tout cracher dans le sopalinLa situation ne permettant pas aux protagonistes de se reposer dans la mĂŞme position, chacun reprend une pose plus naturelle pour l’endroit oĂą ils sont, il dit qu’il a Ă©tĂ© gâtĂ© aujourd’hui, elle lui dit qu’elle aussi, et que c’Ă©tait mĂ©ritĂ©, je les laisse discuter un peu, puis je reviens, ils sont sur le canapĂ©, l’un a droite et l’autre Ă gauche, je m’excuse d’avoir dĂ» le laisser, il rĂ©pond, « mais j’Ă©tais en très bonne compagnie, je suis a envier et non a plaindre »Nous avons discutĂ© une bonne heure ensuite avant qu’il ne parte en disant, rien que pour manger chez vous, j’aimerais vous amenez des contrats plus souvent, je dis, vous invitez de cette façon, c’est la moindre des choses, et je vous en remercie, je ne peux pas m’empĂŞcher de faire de l’humour en disant, « vous avez fait grand plaisir a ma femme……., avec cette prime de nouveau client »Il faut savoir, que ce genre de « privilège » n’Ă©tait pas systĂ©matique, nous jaugions le personnage avant, certains, qui n’avait fait qu’effleurer se prenait pour quelqu’un qui m’avait supplantĂ©, se disant qu’il allait la baiser dans mon dos, certains peu nombreux, lui donnaient leur numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone de ligne perso du boulot, d’autres proposaient de la revoir dans un restau Ă©toilĂ© ou a une soirĂ©e de la haute, Marie souriait, faisait sa timide en faisant celle qui ne disait pas nonCeux-lĂ , je le signalais Ă ma direction, a juste raison, car par la suite, il prĂ©fĂ©rait avoir affaire Ă un autre commercial, la honte de se retrouver avec Marie qui les a « baisé », l’un d’eux, un commercial avec qui j’avais de bon rapport, m’a dit qu’un client avait dit en parlant de nous, « ha oui, sa femme est jolie, mais je l’ai trouvĂ© un peu simplette », ce commercial dans sa tĂŞte pensait, « dit plutĂ´t qu’elle t’a pris pour ce que tu es, un con »Deux fois par an, il y avait un repas en fin d’annĂ©e et un lunch avant les vacances, tout le monde connaissait Marie, pour avoir dansĂ© ou discutĂ© avec (dansĂ© soft), elle est loin d’ĂŞtre bĂŞte et grâce a Lucien d’abord et moi ensuite, elle a amĂ©liorĂ© sa culture gĂ©nĂ©rale, ainsi qu’un langage plus riche, mais ce genre de frustrer habituĂ©s aux putes Ă©taient raresCe client n’Ă©tait pas du tout comme cela, quand nous discutions sur un projet, il ne me prenait pas de haut, c’Ă©tait presque l’inverse, jamais d’allusion, il ne cherchait pas prĂ©texte a venir a la maison, quand on se quittait, il me disait juste de saluer mon Ă©pouse, jamais il n’a Ă©tĂ© la voir a la maison, mise a part la fois pour un nouveau contrat, ce qui fait que 5 mois après l’avoir remerciĂ© pour le nouveau client, celui-ci (le nouveau client) me recontacte pour un autre projetDisant qu’il ne peut pas trop se dĂ©placer avec son bras dans le plâtre, il me demande si je peux venir le voir a son bureau, j’y passe la journĂ©e du lendemain, le midi c’est lui qui insiste pour payer le restaurant, la semaine suivante j’y retourne avec le contrat qu’il signe après l’avoir contrĂ´lĂ©, ce client me dit qu’il a prit un risque la première fois, que sa connaissance Ă©galement, maintenant c’est diffĂ©rent, j’ai dĂ©jĂ une Ă©tude satisfaisante qui vient de chez vousJe n’en parle pas Ă Marie de la mĂŞme manière que je ne parle que de ceux qu’elle connaĂ®t pour nous avoir accompagnĂ©e, bien souvent Marie, la veille me demande, je fais un rĂ´ti demain, tu veux, je dit, « soit oui, soit j’aimerai plutĂ´t une volaille, ce soir-lĂ , elle me dit, « une quiche pour demain, tu veux », je dis, « oui si tu veux », on a pas fait le rapprochement sur le coup, mais au boulot, en lisant le cahier des charges du nouveau client, cela me fait associer quiche avec le clientJ’appelle Marie en lui disant, veux-tu que j’appelle le gourmand de quiche pour ce soir, elle ne peut pas parler librement, elle dit, « oui au contraire », j’appelle le client et lui demande, « voilĂ , je vous appelle pour un service pour ce soir, si vous ĂŞtes dispos » il dit, « dispos oui, mais pour ? « , je dis, « voilĂ ma femme fait une quiche demain soir et on en aura bien de trop », il rĂ©pond que ca le gène de nous dĂ©ranger, je lui rĂ©pond que j’ai dĂ©crochĂ© un nouveau projet grâce a lui, il me dit, bon, comme cela d’accord
En arrivant avec un bouquet, il dit Ă Marie, « je m’excuse de m’imposer, c’est votre mari », elle lui rĂ©pond, « oui, il m’a dit que vous ne vouliez pas venir, ma dernière quiche Ă©tait si mauvaise que cela », j’en ai jamais eu de meilleure dit-il, afin de les laisser seuls, je dis a Marie, « zut, j’ai oubliĂ© de remonter une bouteille de vin, je fais celui qui descend a la cave, ça leur laisse le temps de « jouer » un peu, la porte refermĂ©, il allonge Marie sur le canapĂ©, lui embrasse les seins puis se met a la sucerĂ€ sa demande la fois prĂ©cĂ©dente, quand il vient, pas de sous-vĂŞtement, elle l’a contentĂ© la dessus, il lui donne un orgasme avant que j’arrive, afin de leur donner un temps plausible, je suis descendu a la cave sans me presser en ne prenant que les escaliers, je sonne et c’est lui qui m’ouvre, elle Ă©tait en cuisine, il avait du mal a me cacher son Ă©rection, mais comme je regardais ailleurs, il a eu le temps de se rasseoir pour dissimulerOn prend l’apĂ©ro, contrairement a d’autres, il n’a aucun geste dĂ©placĂ© en ma prĂ©sence, j’ai Ă©tĂ© trop rapide pour l’inviter, je n’ai rien prĂ©vu comme excuse pour les laisser seuls, je cogite jusqu’au digestif, c’est une erreur de numĂ©ro qui me donne l’idĂ©e, je dĂ©croche, comprenant l’erreur, je dis « attendez, je rejoins mon bureau », je signale l’erreur, la personne raccroche et je commence a parler plus fortFaisant celui qui n’est pas content, je raccroche, je les rejoins, Marie, me demande qui Ă©tait-ce, je dis, « c’est jean, il a oubliĂ© le classeur au boulot, il me demande le mien », Marie dit, « il vient le chercher alors », je dis,  » non, je n’ai pas envie qu’il vienne ici, je lui ai dit que je sortais, que je lui porte Ă la sortie du pĂ©riphĂ©rique a cotĂ©, je vais prĂ©parer ce classeur fictif, en fait, je met le micro dans la chambre d’ami et dit a Marie qui vient en cuisine, d’aller dans cette chambreJe m’excuse encore en disant que je n’en ai pas pour longtemps et dit tout haut a Marie, « je ne prend pas mes clefs » et je sors, je met mes oreillettes, j’entend Marie lui dire, jusqu’au pĂ©riphe, il en a pour ÂĽ h soit une demi-heure aller retour, plus l’attente sur place, il va pour l’attraper, mais elle dit, « attendez » elle va Ă la baie vitrĂ©e et dit, « là ça y est, il est dehors, venez, on va dans la chambre a cotĂ© pur ne pas faire d’ombre a la baie vitrĂ©e », elle m’a racontĂ© 80 % de ce que j’ai vu et entenduPendant qu’ils allaient dans la chambre, il lui demande si ce n’est pas risquĂ©, elle rĂ©pond que je suis obligĂ© de sonner pour rentrer et que le temps de monter, on aura le temps de se remettre, de la cuisine, elle a amenĂ© un chrono de cuisine, qu’elle règle sur 25 mn, vous m’avez une demi-heure dit-elle, pendant ce temps, j’Ă©tais rentrĂ© sans bruit, j’ai Ă©teint la sonnette, j’ai juste eu le temps de me cacher dans la cuisine, j’entends qu’il dit, je vais chercher quelque chose dans ma vesteIl revient avec le gode, je me redirige vers la chambre, voir si je peux voir, par rĂ©flexe surement, il a un peu repoussĂ© la porte, notre chambre Ă©tant en face, je l’ouvre pour me replier au cas oĂą, il l’embrasse fougueusement sur les cuisses, les seins, il la suce, la gode, elle jouit sans se retenir de crier, après ce premier orgasme, le deuxième de la soirĂ©e, il continue Ă l’embrasser, a la tripotĂ© partout puis il lui dit en tutoyant, met-toi-en levretteElle obĂ©it aussitĂ´t, il lui prĂ©sente le gode sur sa rondelle, commence Ă l’enfoncer un peu, le retire, le renfonce Ă nouveau, le retire, Marie excitĂ©e, elle ne se retient plus, elle lui dit, « non, encule-moi, dĂ©fonce-moi, oui comme ça lĂ bien a fond, houuu, doucement, lĂ oui va y bourre moi, bourre, plus vite, oui tes doigts dans ma chatte, va-y plus vite, plus vite, plus vite encore, lĂ oui haaaa, oui je, je haaaa oui, je jouis, je jouis, haaaaaaaaaaaa, encore, encore, n’arrĂŞte pas  » il retire ses doigts et la suceMarie reprend son souffle, il regarde l’heure, le temps passe vite dit-il, il lui retire son chemisier, il retire son pantalon et boxer, s’assoit sur son ventre sans mettre son poids, puis il dit, a moi maintenant, je la vois qui lui attrape les bourses, et le branle de l’autre main, il dit, il faut du sopalin, mais elle lui dit, non, lâche tout sur mes seins, ces mots ne l’aide pas a faire durer, il jouit aussitĂ´t en criant aussi, elle le branle jusqu’Ă temps que tout le jus soit sortitAprès cela, ils ne traĂ®nent pas, moi non plus, je retourne sur le palier, ils vont dans la salle de bains, se nettoient, se rhabillent, Marie remet le lit en Ă©tat, la demi-heure Ă©tait Ă peine passĂ©, je ne voyais plus rien, mais elle m’a dit qu’il Ă©tait assis, elle aussi, entre ses jambes et il caressait ses seins, l’embrassait dans le coup, pas de suçon a-t-elle dit, a force d’ĂŞtre tripotĂ©e, elle a commencĂ©e Ă se masturber, il lui a dit de se lever et l’a branlĂ©, elle a joui a nouveauIl lui a fait mettre sa main sur son sexe qui a repris forme, elle a Ă©tĂ© chercher du sopalin et lui a re vidĂ© les couilles, il a demandĂ© si elle ne voulait pas sucer, elle a dit non, avec le sida, ça ne serait pas prudent, je l’ai laissĂ© jouir, quand il s’est levĂ©, pour se nettoyer, j’ai descendu pour sonner, quand je suis rentrĂ©, ils Ă©taient gentiment a m’attendre, j’ai dis, les inconvĂ©nients d’habiter pas loin d’un collègue, en plus un vendredi soir, on est restĂ© encore une heure a discuter, puis il est partitEn me racontant tout cela une fois couchĂ©s, elle ne m’a pas dit qu’il avait joui sur ses seins, je n’aie su que l’Ă©jaculation dans le sopalin, elle ne m’a pas dit non plus que sur le canapĂ©, il l’a caressĂ© et recommencĂ© une masturbation, cela m’avait un peu contrariĂ©, mais il n’y avait pas matière Ă ĂŞtre jaloux, ni a faire la tĂŞte, nous avons fait l’amour, ses orgasmes Ă©taient comme du gaz comprimĂ© dans un endroit confinĂ©, ma torche allumĂ©e, l’a aussitĂ´t faites exploserLes Ă©bats dans ses conditions, je ne lui donnais que deux orgasmes, celui qui couvait et un autre ensuite plus long Ă obtenir et qui me faisait jouir aussi, Marie Ă©tait lessivĂ©e et moi Ă©galement, super excitĂ© par ce que j’avais vu, le lendemain matin, avant de se lever, en se bĂ©cotant, elle me demande en cherchant ses mots, « imagine que le type ou mĂŞme moi qui emportĂ©e par l’excitation, me fasse quelque chose qu’il ne faudrait pas »À ces mots, je savais ce qu’elle voulait dire, ce qu’elle n’osait pas dire, je lui dis, donne un exemple, en tournant autour du pot, elle me dit, « imagine que dans le feu de l’excitation, j’ai envie de le sucer », je lui dis que c’est risquĂ©, il a surement des copines ou va aux putes », elle rĂ©pond, « et avec capote », je lui dis, « toi, tu a envie de quoi », elle dit, « de moi »Je lui dis, « écoute Marie, nous ne sommes plus un couple coincĂ©, tu as des envies, j’ai des envies, je ne veux pas te priver des envies que tu pourrais avoir et qui ça se trouve, ne me dĂ©rangerait pas, je t’aime suffisamment pour te laisser entre les mains d’autres types, en retour, je veux que tu sois honnĂŞte avec moi, en ne me cachant rien, elle me dit, qu’elle a peur que je le prenne mal, que ça me blesseJe lui rĂ©pète qu’il n’y a rien qui me blesserait plus que de me cacher quelque chose, elle me dit, « bon, je me lance, hier, je l’ai masturbĂ© et il a tout mis sur mes seins », voulant confirmer que je n’ai rien vu, je lui dis, « il aurait pu te le demander, elle dit, « c’est moi qui lui ai demandé », je rĂ©ponds, « ha, je prĂ©fère », elle me dit, « et si je l’avais sucĂ©, avec capote bien sĂ»r », je dis, « tu le feras la prochaine fois, si tu en as envie »Marie voyait mon Ă©rection matinale autant que par ses confidences, elle retire les draps et me « fellationne » quand j’ai voulu la prendre, elle a dit non, j’ai eu mon compte et ce soir, j’irais bien au billard, Marie Ă©tait comme moi, il y avait des pĂ©riodes, celles oĂą elle voulait faire l’amour avec moi, celles oĂą elle voulait ĂŞtre objet, (avec l’effleureur) et celles oĂą elle avait envie d’extra (avec ce client ou au cinĂ©ma), elle me suçait pour me soulager, j’ai donc jouis sans me retenir, on a câlinĂ© ensuite, puis a force, j’ai commencĂ© Ă avoir un dĂ©but d’Ă©rection et elle a dit, debout sinon on aura rien Ă manger, en effet, il Ă©tait plus de 9 heures, nous avons fait le marcher ensembleAfin de ne pas passer pour ceux qui le cherchent, j’attends un bon mois avant de voir Ă le rappeler, seulement l’idĂ©e manque, je ne peux pas lui refaire les mĂŞmes coups, ce n’est pas un imbĂ©cile non plus, c’est lui qui me fournit l’excuse, il fait fonctionner ses connaissances, c’est donc un client qui appelle Ă la boite et me demande, pour un petit projet, une modification, mais comme je dis, il n’y a pas de petits clients.Quand il me contacte, il me dit qu’il vient de la part de Mr ……, je passe le voir et j’Ă©tablis un devis, qu’il signe quinze jours après en passant chez nous pour quelques modifications Ă apporter, il me reste a trouver une excuse pour le laisser seul avec Marie, l’idĂ©e me vient quand un soir, allant a ma voiture pour chercher des rames de papier qui Ă©taient dans mon coffre et que j’avais oubliĂ© de prendre, en remontant, les clefs de Marie Ă©taient dans la serrure, et je n’ai pas pu rentrer ma clef dedans pour ouvrir, il ne manquait pas grand-chose, mais je ne pouvais pas la rentrer complètementEn allant faire un double, je me renseigne Ă un serrurier, qui me dit qu’il faut qu’il voie la serrure, car il y a deux systèmes, j’ai de la chance, j’ai celui que je peux bricoler moi-mĂŞme, comme je ne veux pas esquinter ma clef d’origine, c’est le double que j’usine, j’achète un tour a meuler bas de gamme, du pas cher made in china, et le lundi, quand Marie est absente, je fais des essais, sur le petit balconJe meule le bout de la clef, la partie qui ne serre pas pour le barillet, je creuse mĂŞme en V pour entamer le moins possible sur la partie utile de façon que la clef non retouchĂ©e pĂ©nètre dans celle meulĂ©e, en parlant avec Annie, par moment, elle me disait qu’elle n’aimait pas faire ce que nous faisions avec son mari qui Ă©coutait, mĂŞme en sachant la complicitĂ©, le conjoint bloque un peuPeur qu’il se dise qu’il est moins performant, moins douĂ©, que l’amant lui est supĂ©rieur, je comprenais parfaitement ce qu’elle voulait dire, j’Ă©tais en plein dedans, les hommes bandent plus facilement avec la maitresse qu’avec leur femme, et les femmes sont plus excitĂ©es avec l’amant, elle me disait donc que si son mari Ă©tait Ă l’Ă©coute, elle en tirerait moins de plaisirElle se laisserait moins aller, il en Ă©tait de mĂŞme pour Marie, son plaisir Ă©tait plus grand sans moi, elle pouvait se laisser complètement aller sans se dire « que va-t-il penser si je jouis trop fort, si je crie trop fort, si je me donne de trop Ă cet homme », le but, est que Marie ait le maximum de plaisir et non qu’elle se retienneLe mercredi, je lui dis que je rentre de bonne heure, une demi-heure avant elle environ, je surveille quand elle rentre dans l’immeuble, j’avais dĂ©jĂ pris ma douche, mais je fais celui qui finissait tout juste, quand ne pouvant rentrer sa clef Ă fond dans la serrure, elle se dise qu’Ă©tant, en principe, dĂ©jĂ rentrĂ©, qu’elle sonne pour que je lui ouvre, c’est ce qui arrive, j’ouvre en peignoir, elle demande ce qui se passe, je rĂ©ponds que machinalement, j’ai mis mes clefs dans la serrureJ’insiste sur le sujet en disant qu’on ne peut pas mettre deux clefs dans une serrure, le soir, je dis Ă Marie, d’appeler le client, qu’il m’a fait avoir un autre client, lui disant qu’il n’a jamais montrĂ© de signe nĂ©gatif, que je lui autorise tout ce dont elle veut avec lui, je lui montre 3 capotes que je mets dans le tiroir de la table de nuit, et lui dis, ne suis que ton envie, comprenant ce que ça veut dire, elle m’embrasse en disant qu’elle m’aime, elle me demande comment on va faire et je lui explique mon planannonce qu’il faut lire surtoutJe laisserais un message au rĂ©pondeur, des que je le saurais dans l’appartement disant que j’Ă©tais retenu au bureau et que je pars de suite, le but, c’est que le client, sache que du bureau a chez moi, c’est une heure de route, et que Marie voit bien que je ne suis pas dans la maison, en plus, je lui dis pour rassurer ton client, met la clef dans la serrure pour qu’il se dise que s’il ne voyait pas l’heure passĂ©, que je ne les surprenne pasJe dis Ă Marie, de lui dire de venir a 18h30, il rĂ©pond si tĂ´t, elle dit, » oui, je vous expliquerais », je lui dis que je leur laisse une petite heure, le vendredi, il arrive a 18h25, heureusement que j’Ă©tais dĂ©jĂ dehors, Marie me voyait en bas, la cabine n’est pas loin, comme convenue, elle tire le rideau quand il sonne, je me dirige vers la cabine, j’appelle, ils sont la haut tous les deux, elle ne dĂ©croche pas et ils Ă©coutent le rĂ©pondeur, je dis, « bon Marie, c’est moi, du doit ĂŞtre partie au pain, j’ai Ă©tĂ© retenu, il est 18h30, je pars du bureau, j’arriverais a 19h30, a tout de suiteIl sait, qu’il a une heure tranquille, elle sait que je ne suis pas dans la maison, je reviens en rasant le mur pour ne pas qu’elle me voit revenir si elle est Ă la fenĂŞtre, je monte, ils sont dĂ©jĂ dans la chambre, le micro y est et le son est bon, j’ouvre, la clef est bien sur la porte, je me dĂ©chausse, retire ma veste, et je vais me mettre en position, dans notre chambre, leur porte est comme la dernière fois, juste poussĂ©eIl la caresse, disant, on a plus de temps ce soir, elle rĂ©pond oui, tu m’as 50 minutes Ă ton entière disposition, il se demande comment ils vont faire faire quand j’arriverais, elle dit ce qu’on avait dĂ©cidĂ©, qu’il remette sa veste, et elle, elle mettra les fleurs dans un vase, me laissant croire qu’il vient juste d’arriver moins de 5 minutes avantIl la caresse partout, la fouille, elle gĂ©mit, il avait pris le gode, il l’a gode, il l’a complimente, « qu’est que tu es belle, bandante », lĂ -dessus, il ne peut pas dire le contraire, il lui rentre le gode dans l’anus en lui roulant le clito, elle le repousse, car elle apprĂ©cie de trop, le gode rentre complètement, contrairement a quand je suis lĂ , ou elle ne se lâche qu’une fois bien excitĂ©e, lĂ , elle le fait bien avant, disant, « hummm, oui encule moi, j’adore qu’on m’encule, oui bouffe ma chatte, bouge le bien dans mon cul, dĂ©fonce le, oui suce, suce, ho putain, ça y est, haaaaa merde, je jouis, je jouis, haaaaaaa encore, plus fort, plus vite, dĂ©fonce-moi »J’adore voir et entendre Marie jouir ainsi, mĂŞme si lĂ , j’entends plus que je ne vois, il l’a fait mettre en levrette, la suce encore, la gode, il lui donne le gode et lui dit, va, y gode toi, que je te regarde faire, Marie adore cela, se masturber devant un autre, quelques annĂ©es plus tard, quand l’ADSL est arrivĂ©, elle a souvent obĂ©i Ă des types qui la regardait en cam, masquĂ©e bien Ă©videmment, montrant tout ce que le type voulait, sauf le visage bien sĂ»rPour le moment, c’est en live que ça se passe, elle se vibre le clito, s’enfile le gode, Marie n’est pas silencieuse au lit, elle commente, « hummm, regarde mon clito, il aime que je le vibre, et ma chatte, regarde ma chatte, je mouille comme une salope, Marie adore ĂŞtre traitĂ©e, quand on ne le fait pas, c’est elle qui le fait, donnant ainsi un indice Ă celui qui surement n’ose pas, cela fonctionne, le client comprenant ce qu’elle attend, lui rĂ©pond,  » c’est vrai ça, tu es une salope, elle dit oui, une vraie salope, il redemande, une salope ou une pute, elle dit, je suis tout, continu a me parler comme çaIl lui dit, une salope, ça s’enfile, il faudrait que je te bise ou t’encule, elle lui dit, « oui, dans le tiroir, là  », il ne comprend pas et l’ouvre, il voit les capotes et dit, « tu veux que je te baise, « elle dit, « oui, je veux tout, vite », voyant qu’il prend une capote, elle ne peut retenir son orgasme, elle dit, « haaa trop tard, trop tard, je jouis, haaa »Pendant qu’elle jouissait, il a enfilĂ© sa capote, lui disant de rester comme cela, elle continuait Ă se goder, il arrive derrière elle, et rentre Ă fond, elle lance un grand oui, en lui demandant d’ĂŞtre dĂ©foncĂ©, il la lime lentement, ne voulant surement pas jouir de suite, il donne le rythme, elle en demande plusJe dĂ©couvre une Marie que je ne connaissais pas, son comportement par rapport a quand je suis prĂ©sent, est complètement diffĂ©rent, avec l’effleureur, je pensais que c’Ă©tait le rapport dom/soum entre eux, mais lĂ non, je le vois baiser Marie, mais je n’ai aucune pointe de jalousie, intĂ©rieurement, je serais mĂ©mĂ© Ă le guider, pour dire, « oui va y rentre bien a fond, donne des grands coups »Il ressort et comme je m’en doutais, il prĂ©sente sa verge au bord de sa rondelle, elle dit, « ho non pas par là  », mais disant cela, elle tend son cul vers lui, il lui dit, « mais si petite salope, ca va te plaire, regarde tu vois, ça rentre tout seul, tu aime ça apparemment, hein salope que tu aime », elle rĂ©pond en haletant, « oui, j’aime ça qu’on m’encule, va y bourre moi bien, plus fort, encore »Ils changent de position, se mettent sur le cĂ´tĂ© puis il se met sur le dos, il lui demande de pivoter, ensuite, c’est Marie qui s’aidant de ses bras, fait les mouvements, elle le regarde, elle sent qu’il va jouir et s’active pour qu’il jouisse, il la traite encore puis explose, comme avec moi, marie Ă un malin plaisir Ă le faire jouir, victoire de la femme sur l’homme, mĂŞme si cela sonne le glas de la pĂ©nĂ©trationComme tout homme, quand on a un sexe qui pendouille entre les jambes, on se sent con, il retire sa capote et va dans la salle de bains, comme je m’y attendais, j’ai Ă©tĂ© me cacher dans notre chambre jusqu’Ă ce qu’il revienne, il la caresse, elle commence Ă gĂ©mir Ă nouveau, il la suce des deux cotĂ©s, il aurait bien aimĂ© remettre ça, mais son sexe n’avait pas repris assez de duretĂ© pour mettre la capote, il a dĂ» se contenter d’une branlette avant qu’elle passe Ă la doucheAvant de se laver, elle lui a fait une proposition, « que prĂ©fĂ©rez-vous, repartir chez vous maintenant et revenir la semaine prochaine pour le mĂŞme motif ou restez dĂ®ner quand mĂŞme », il choisit de pouvoir revenir, il remmène ses fleurs et elle lui dit, « je dirais que vous avez appelĂ© en annulant pour ce soir, Ă cause d’un client important de dernière minute », je n’ai rien entendu de cela, marie me la racontĂ©, je l’ai vu partir de loin, il me restait 10 minutes avant d’arriverComme je ne suis pas sensĂ© avoir Ă©tĂ© lĂ , j’attends l’heure dite, puis après avoir essayĂ© les clefs dans la serrure, je m’aperçois que celle de Marie son encore dedans, je ne peux donc pas ouvrir avec ma clef normale, je sonne, puis elle vient m’ouvrir enveloppĂ© dans une serviette, je fais l’Ă©tonner qu’il ne soit pas lĂ , elle m’explique sa proposition, je l’embrasse, je suis excitĂ©, je commence Ă la caresser, mais elle me dit, « tu ne prĂ©fères pas attendre que je reprenne des forces », je lui dis qu’elle a raisonComme je ne lui demande pas comment cela s’est passĂ©, elle m’en fait la remarque, je lui dis, « c’est ton jardin secret, tu n’es pas obligĂ© de me le dire, c’est moi qui t’ai proposĂ© ce type, une seule chose compte, as-tu pris beaucoup de plaisir », elle me dit, « oui, mais parce que c’est nouveau avec lui, ça m’excite plus, toi, tu m’embrasse, lui, il me mange, c’est diffĂ©rent », je lui dis qu’on est entièrement en phase la dessus, en moi-mĂŞme, je repense au coureur de 100 mètres et le marathonien, les 100 mètres, nous ne les feront jamais ensemble, on les fera chacun avec un ou une autreOn ne l’a rappelĂ© que 3 semaines après, seulement lĂ , elle lui a dit de venir pour 17h45, la diffĂ©rence, c’est que j’avais enregistrĂ© sur le tĂ©lĂ©phone le numĂ©ro de la cabine et je l’avais intitulĂ© Ă Henri boulot, rien de nouveau, mĂŞme façon de faire, sauf qu’il ne s’est plus mis sous elle, il l’a besognĂ© dans les deux trous, a l’heure convenue, je rentre toujours en sonnant, car la clef ne rentre pas, je lui dis, ha, vous avez pu vous libĂ©rer, il s’est excusĂ© pour la dernière fois, nous avons Ă©changĂ© des politesses de faux culMarie s’est vite lassĂ©e par la suite, il ne venait qu’après un contrat ou nouveau client, toutes les six semaines en moyenne, elle prenait ça comme elle prenait les types au cinĂ©, il n’a jamais cherchĂ© Ă se l’accaparer, il y eut aussi des fois ou il ne se passait rien de sexuel comme ces fois-lĂ , uniquement des tripotages quand j’Ă©tais dans le bureau, il repartait en ayant eu quand mĂŞme sa branlette et Marie son orgasme avec ses doigtsToute cette histoire avec ce client, par moment me mettait mal a l’aise, mais l’hypocrisie devait primer, le client devait croire que Marie faisait cela pour les contrats, mĂŞme, s’il se doutait qu’elle y prenait plaisirIl devait croire que je ne savais rien de ce qui se passait, quant Ă moi, cela me plaisait qu’un autre lui donne ce plaisir, chose impensable avant Lucien, mais maintenant, je prĂ©fĂ©rais lui donner ce qu’elle avait envie, plutĂ´t qu’elle le prenne dans mon dos.Nous en avons souvent parlĂ© Ă ce sujet, j’avais craint un moment, qu’elle ne le fasse que pour me plaire, pour mon fantasme, mais elle m’a dit qu’elle y prenait beaucoup de plaisir Ă©galement, que si je ne voulais plus, elle arrĂŞterait, mais qu’elle le regretterais, comme pour certains clients, c’Ă©tait OK, et pour d’autres, non, cela me confortait, je savais aussi qu’elle prĂ©fĂ©rait, que je la pousse avec un autres qu’elle ne voulait pas, plutĂ´t que faire cela avec un qu’elle aurait choisis, ce qui fait que bien souvent, quand je devinais un homme qu’elle apprĂ©ciait, je faisais celui qui la force vers lui, la nature humaine est très complexeĂ€ suivre