Je rĂ©ponds Ă un concours : « GAGNER UN WEEK-END LIBERTIN FABULEUX ». Vous savez, ces concours Ă la con qu’on reçoit par mail. J’oublie ce machin jusqu’au moment oĂą je suis invitĂ©e, le 12 octobre, pas convoquĂ©e, Ă la capitale. Tous les frais sont payĂ©s : j’en profite pour passer deux jours entiers, avant, pour revisiter les lieux de mes anciennes aventures, de mes Ă©tudes d’ingĂ©nierie aux Arts et MĂ©tiers. ExcitĂ©e comme une puce je passe une dernière nuit seule. Enfin je vais me prĂ©senter après avoir pris une douche crapuleuse. Je suis propre de partout, mĂŞme de l’intĂ©rieur du vagin et de cul. Neuve comme un sou neuf, prĂŞte Ă braver la terre entière des pisses froids.Je suis Ă l’adresse indiquĂ©e Ă l’heure prĂ©vue : je ne veux manquer aucun moment de ce « FABULEUX » moment. Je suis un peu déçue : je suis seule, pour le moment. Une jeune et jolie femme m’accueille dans un appartement meublĂ©e grand siècle.
– Veuillez-vous mettre Ă votre aise, dans la pièce suivante.Ce qui signifie ? Je passe une porte, entre dans une pièce avec un lit. Je me mets Ă l’aise en enlevant la veste et les chaussures. J’attends. Pas longtemps. Entre un homme nu. Nu sans rien me dire. Sa queue est placide. Une autre porte s’ouvre, un autre homme nu en sort. Puis encore une autre porte. Un troisième homme. Un peu affolĂ©e je regarde autour : il n’y a plus de porte. Le premier homme me demande poliment, très poliment si
– Voulez-vous que nous fassions l’amour Ă plusieurs ?
– Oui, je veux bienJe me demande Ă qu’elle sauce je vais ĂŞtre dĂ©vorĂ©e. Ce contact est plutĂ´t refroidissant. Et avoir trois bites rien que pour moi, un dĂ©but ou le dĂ©but. Est-ce que je dois me dĂ©shabiller seule ? Je reste en attente, ils sont deux près de moi. J’ai un peu mal au bas ventre. J’ai le pressentiment que je vais bien jouir. Ils sont presque contre moi. Leurs mains s’activent autour de ma petite personne. Je suis nue en quelques secondes. J’aurais prĂ©fĂ©rĂ© que ça dure longtemps. Ils ne se retiennent plus : ils sont contre moi, je sens la chaleur de leur corps, de leur main. Un des trois me caresse, me pelote dans les règles. C’est agrĂ©able d’ĂŞtre le centre des câlins. Je sens contre moi se lever les queues. Ils sont donc trois. Je peux les avoir les uns après les autres ou les trois Ă la fois. Je choisis le trio. J’ai assez de place pour les accueillir. Avant je veux les toucher moi aussi. Je veux gouter les trois bites. La première a gout un peu Ă urine, l’autre Ă savonnette, le dernier Ă cyprine (il a du baiser il n’y a pas longtemps : il jouira moins vite.)Je suis embarrassĂ©e, je n’ai jamais dirigĂ© une baise Ă quatre. Je vais sur le lit, je m’y Ă©tends. Et comme une idiote j’attends. Pas longtemps. Le plus grand est contre moi, elle me fait Ă©carter les jambes. Sans pudeur je le fait, en me disant qu’il va me baiser. Pas encore, il s’installe dans mes jambes, sur le ventre. Je vois sa pine s’Ă©craser sur le drap. Sa tĂŞte vient sur moi doucement. Il me donne des bisous, entre les cuisses, bisous espacĂ©es de quelques centimètres. Il monte toujours très lentement. Mon Dieu que j’ai envie. Il arrive enfin presque sur la chatte. Si elle avait la parole, elle miaulerait de dĂ©sespoir. Je veux sa bouche, ses lèvres, sa langue. Si je m’Ă©coutais je me toucherais seule.Il arrive vers moi, je sens maintenant sa langue qui farfouille la chatte. Ce n’est quand mĂŞme pas difficile Ă trouver ce petit bout. Je remue comme s’il me baisait. A force de bouger il est sur moi, sans mon con, sur le clitoris. Il caresse bien, sa langue fait des miracles en me donnant de petits orgasmes. Il met deux doigts dans ma fosse aux plaisirs. La vache, c’est bon, je vais partir, je pars, je jouis. Il se lève avec sa queue bien dure, bien bandĂ©e. Il aurait bien pu me la mettre. Il me laisse tomber. Je vais me lever quand un deuxième vient vers moi, dans la mĂŞme position que le premier. Il lèche au moins aussi bien. Sauf qu’il entre sa langue dans le paradis. Il y fit des choses inconnues. Il doit lĂ©cher le point G pour me faire sursauter ainsi. Je reste les bras ouverts en croix sur le lit, les jambes grands ouvertes et sa langue qui transperce les traditions. Je suis sur un nuage bleu.Le dernier s’occupe de moi en me tournant compĂ©temment. Je suis le ventre, les seins Ă©crasĂ©s. Il caresse mes fesses longuement savamment. Il ouvre la raie avec les mains. Il Ă©carte tout, je sens mĂŞme mes lèvres obĂ©ir Ă ses volontĂ©s. Et mon petit trou qui ne demande rien Ă personne a de la visite. Je pense qu’il met ses doigts : non c’est sa langue qui caresse. C’est nouveau pour moi, pour mon anus, mais c’est bon, jouissif : j’en jouis bien malgrĂ© moi.Ce dernier amant me remet sur le dos, Il va enfin me baiser. Non, il monte sa queue, me la donne Ă manger. Ma bouche est de taille Ă le satisfaire. J’espère qu’il donnera sa semence : j’aime bien le gout mi salĂ©, mi Ă©picĂ©. C’est la bite qui sentait la cyprine. Je goute les reliquats d’une une baise et un gland bien souple. Mes lèvres s’attardent sur le petit creux juste en bas, il y a longtemps que je laisse de cotĂ©s le mĂ©at. J’enfourne Ă moitiĂ© la queue. Les couilles font parties de mes caresses, mĂŞme si en vĂ©ritĂ© je cherche son cul. J’adore faire naviguer un doigt dans le cul ouvert d’un homme quand je lui tire son jus.Il me laisse, descend vers mon ventre. Il veut me baiser, je suis lĂ pour ça. Je prends sa queue, je la dirige vers mon coffre Ă jouissance. Il est en moi. Nous faisons les gestes nĂ©cessaires. Je prends mon pied. Je suis bien ainsi emmanchĂ©e. Je jouis comme une reine. Ils me laissent Ă peine le temps d’une courte jouissance. Je suis retournĂ©e avec mon baiseur : il est sous moi. C’est Ă moi Ă baiser. C’est aussi bon. Je sens un autre type tripoter mes fesses. Si c’est pour ma branler le cul : c’est dĂ©jĂ fait. Ce n’est pas un doigt qui vient, c’est une autre pine. Je vais connaitre enfin la double pĂ©nĂ©tration ; Ça fait mal, ça fait du bien ??? Trop tard pour rĂ©flĂ©chir.Je me suis fait enculer plusieurs fois avec plaisir. Je sens bien la bite contre mon anus. Je me dĂ©crispe. Il pose sa queue contre mon cul. Je le sens bien entrer. Il s’enfonce Ă fond. C’est bon, c’est bon de sentir les deux queux en moi. Elles se croisent, elles me font plaisir. Je suis pleine de bites. Je suis une pute de me donner ainsi. C’est dĂ©licieusement salace. J’ouvre la bouche sous ce plaisir ravageur. J’y reçois l’autre bite qui attendait. Heureuse d’ĂŞtre totalement remplie de queue, de bites de pines. Je prends mon pied au sĂ©rieux : je jouis sans cesse un bon moment. Et ce sperme plein la bouche Ă dĂ©border avant d’avaler…….Je n’ai plus de sexe en moi, je fini de jouir. Je suis moulue, totalement vidĂ©e. J’ai bien gagnĂ© mon week-end fabuleux. J’en ai eu plein les fesses. Souvenirs impĂ©rissables.